Amazon active le prêt des livres Kindle

Anthony Nelzin-Santos |

Kindle Quelques mois après l'avoir annoncé, Amazon a activé la possibilité de se prêter des livres Kindle. Pendant les 14 jours que dure le prêt (sur tout appareil compatible Kindle, ce qui inclut les appareils iOS), seul l'emprunteur pourra lire l'ouvrage (normal).

Prêter un e-book Kindle ne sera cependant pas aussi simple que de prêter un bon vieux bouquin : l'éditeur ou les ayants droit pourront désactiver cette fonction, comme ils sont déjà nombreux à le faire pour la synthèse vocale afin de ne pas concurrencer les livres audio. Le seul avantage du système est qu'on sera certain de récupérer son livre à la fin de la durée de prêt…

Via The Digital Reader

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#Amazon #Amazon Kindle
avatar iCook | 
Face à cette fonction, j'ai l'impression d'une bonne idée (partager des documents tout en montrant l'importance des ayants droits ) et en même temps d'une fonction tout à fait ridicule (quel intérêt d'imiter le papier pour perdre l'avantage de la duplication facile que procure le numérique)
avatar TazBurger | 
Malheureusement, ça ne fonctionne pour l'instant que pour les lecteurs américains qui veulent prêter leurs livres...
avatar osx31 | 
Je trouve qu'on devrait pouvoir donner les livres et applications.
avatar master_bate | 
On peut déjà avec la fonction faire un cadeau sur iTunes.
avatar osx31 | 
non, je parle de donner un livre qu'on a acheté, après l'avoir lu. Comme un vrai livre quoi. Puisqu'il y a des des DRMs, ce ne devrait pas être difficile. Une fois donné, on n'aurais plus le droit de le lire.
avatar iCook | 
Les éditeurs ne voudraient pas cela, s'il y a un élément qui intéresse avant tout ces derniers, c'est le fait que les fichiers numériques vont tuer le marché de l'occasion. Si on introduit la possibilité de donner son fichier à quelqu'un, les gens en profiteront directement pour relancer le principe de revendre ce qu'ils ont lu, il suffirait par exemple de mettre une annonce et après le paiement, de donner son fichier, et cette transmission de biens culturels a le très grand défaut de pouvoir se transmettre de personnes en personnes sans que l'éditeur y gagne sa thune. On n'imagine même pas à quel point ils rêveraient de faire interdire l'occasion que ce soit les bouquineries, disquaires d'occaz' ou les ventes en ligne :-)
avatar crifan | 
On peut toujours scanner page par page son kindle, et en faire un pdf... C'est long ok, mais acheter un truc dematerialisé sans pouvoir en faire ce que je veux, j'appelle cela du vol. Ne pas pouvoir revendre un livre a 15€ telechargé, c'est consommé con ( pardon )

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