L'iPhone 4 dévoile ses prix en Angleterre

Florian Innocente |

Plus près de nous que le Japon, c'est en Angleterre que Vodafone a laissé échapper (fuiter ?) les prix de l'iPhone 4G. Le 16 Go sera vendu 263 € et le 32 Go à 390 €. Les clients devront s'engager sur des forfaits démarrant à 34 € mensuels sur deux ans ou 41 € sur 18 mois.

Vodafone met le quota data mensuel à 1 Go (point d'illimité donc), le double de son concurrent O2. Enfin, Virgin a déclaré être en discussion avec Apple pour la distribution du smartphone, ce qui porterait, si accord il y a, le nombre d'opérateurs disposant de l'iPhone à quatre dans le pays. Rappelons que demain SFR doit ouvrir les pré-commandes en France.

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Les prix de l'iPhone 4 dévoilés… au Japon

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Le blues des développeurs sur consoles portables

Arnaud de la Grandière |

Alors qu'on entend régulièrement des plaintes de développeurs éconduits de l'App Store, ou encore les satisfécits de ceux qui ont rencontré quelque succès sur le magasin d'Apple, en revanche ceux qui travaillent sur Nintendo DS ou Sony PSP se font autrement plus discrets. Et pour cause, leur contrat leur interdit de faire part de leurs ventes.

Le site Pockett.net a enquêté et interrogé quelques studios pour avoir le fin mot de l'affaire. Le bilan est pour l'heure mitigé concernant les plateformes de téléchargement des consoles de poche : si certains titres ont relativement bien marché peu après le lancement des magasins en ligne, les chiffres de vente depuis sont semble-t-il en deçà des espérances.

D'autre part, s'il est difficile de trouver une place au soleil sur l'App Store à cause de la pléthore de l'offre, Nintendo pour sa part préfère ventiler les sorties pour mieux les mettre en avant. L'inconvénient de cette démarche, c'est que les titres peuvent rester au placard des semaines, voire des mois durant, après avoir été validés. Le catalogue est mal mis en valeur, sur PSP il n'y a pas d'outil de recherche ni de sous-classement, et seul l'affichage de la totalité des titres est possible (sachant que le nombre de jeux est encore limité). Sur Nintendo DS, les développeurs ne peuvent pas fournir de codes promotionnels aux journalistes pour des tests ou pour des concours comme c'est le cas sur l'App Store. En outre l'ergonomie du DSIWare laisse quelque peu à désirer, avec nombre d'écrans à faire défiler avant d'arriver sur le jeu de son choix.

Quoi qu'il en soit les développeurs continuent malgré tout à s'investir sur ces plateformes. Le studio français Bip Media veut y croire : « quel est le consolier, aussi puissant soit-il, qui puisse dans un futur proche se passer d'un vrai service on-line qui fonctionne ? C'est pour cela qu'on a encore un peu d'espoir... Et qu'on continue à sortir des jeux sur ce channel ! Ca va forcement évoluer…»

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Microsoft : à la conquête des développeurs iPhone

Christophe Laporte |

Microsoft louche sur les développeurs iPhone. Elle essaie de convaincre ceux qui ont développé des jeux à succès sur l'App Store de s'intéresser à Windows Phone 7. La firme de Redmond est prête à tout pour les attirer, y compris financer le portage de leurs titres sur sa plate-forme.

Dans l'industrie du mobile, le phénomène est assez courant. Microsoft a déjà utilisé ce procédé l'année dernière pour convaincre certains développeurs de s'intéresser au Zune HD (lire : Microsoft veut séduire les développeurs iPhone ?). Cette manoeuvre n'a pas toujours été couronnée de succès d'ailleurs.

Selon PocketGamer.biz, porter une application de l'iPhone à Windows Phone 7 reviendrait assez cher, et ce, à cause des choix techniques de Microsoft. Sous Windows Phone 7, les développeurs ont le choix entre Silverlight et le framework XNA (C#).

Les éditeurs sont pour l'heure contraints de revoir entièrement leur code qui la plupart du temps est en C++. Toujours selon PocketGamer.biz, Microsoft chercherait à rendre le processus plus aisé, mais n'a rien annoncé à ce sujet pour le moment.

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iPhone 4 : tous les changements de A à Z

Anthony Nelzin-Santos |

Tout ou à peu près a été dit au sujet de l'iPhone 4, mais il y a quelques détails qui vous ont peut-être échappés. Quelles sont les véritables nouveautés de ce nouvel iPhone ? Qu'est-ce qui change vraiment ? Ce téléphone est-il aussi révolutionnaire qu'Apple veut bien le dire ? Précisions au long de l'alphabet.

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A comme A4
L'iPhone 3GS embarque un SoC Samsung doté d'un cœur processeur ARM Cortex-A8 cadencé à 600 MHz. L'iPhone 4, lui, s'offre un Apple A4, le même SoC que l'iPad — une puce qui conjugue processeur, puce graphique et mémoire.

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Côté processeur, l'A4 embarquerait un Cortex-A8 amélioré conjointement par les équipes d'Apple et de Samsung, la puce graphique étant une PowerVR SGX 535, tout comme l'iPhone 3GS. Il est possible que l'A4 de l'iPhone 4 soit différent de celui de l'iPad, et ne soit donc pas cadencé à 1 GHz : Apple explique avoir réduit sa taille pour laisser un maximum de place à la batterie.

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La batterie de l'iPhone 4, justement, est beaucoup plus grande que celle de l'iPhone 3GS. La puce A4 étant très économe, et la batterie étant plus grande, l'iPhone 4 a une autonomie supérieure de 40 % à celle de son prédécesseur.

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D comme deux capteurs
Le capteur photo/vidéo a toujours été le parent pauvre de l'iPhone : l'iPhone original n'avait qu'un capteur 2MP quand la concurrence passait à 3, et l'iPhone 3GS avait fait l'impasse sur l'enregistrement HD.

L'iPhone 4 corrige le tir : si la concurrence commence à passer à 8MP, le nouvel iPhone cale à 5MP, mais a l'intelligence de proposer non seulement un capteur plus grand, mais en plus un capteur rétro-éclairé, une technologie qui a commencé à faire son apparition dans les compacts grand public. Résultat : les photos devraient être moins bruitées, notamment en basse lumière. Les premières photos issues de l'iPhone 4 confirment, même s'il ne faut pas s'attendre à des miracles.

L'iPhone 4 ne sait toujours pas lire le Flash, mais a un flash, à LED. La concurrence utilise maintenant plutôt deux diodes, alors que l'iPhone n'en a qu'une, mais l'addition est bienvenue.

Enfin, l'iPhone 4 possède un deuxième capteur en façade, limité à 0,3MP (640x480 px). Cela suffira pour prendre des portraits destinés à créer un avatar ou une photo de contact, mais ce capteur sera surtout d’une tout autre utilité : il sera parfait pour la vidéoconférence.

F comme FaceTime
La vidéoconférence, puisqu'on en parle, s'appelle FaceTime chez Apple. On en a déjà beaucoup parlé : pour résumer, FaceTime est une réinterprétation de la visiophonie, préférant la qualité à l'ultra-mobilité. En effet, on ne pourra utiliser FaceTime qu'en Wi-Fi (du moins pour le moment), au profit d'une qualité accrue, grâce à l'utilisation de codecs de qualité (H.264 pour la vidéo, AAC pour la voix).

FaceTime est pour le moment réservé aux iPhone 4 : Apple a peut-être trouvé un filon pour forcer les familles à s'équiper de plusieurs téléphones. Mais comme FaceTime n'utilise que des technologies connues et reconnues, Apple souhaite en faire un standard documenté : d'autres fabricants pourraient donc l'adopter dans le futur, démultipliant les possibilités de cette nouvelle technologie (lire : FaceTime : quelques explications).

G comme gyromètre
Lorsque vous passez votre iPhone du mode portrait au mode paysage, ou lorsque vous vous servez de votre iPhone comme d'un volant dans un jeu de voiture, c'est l'accéléromètre qui se charge de détecter les mouvements de l'iPhone, et le logiciel suit. L'accéléromètre est capable de détecter une accélération linéaire sur trois axes (ascension/chute, pivotement à gauche/pivotement à droite, pivotement vers l'extérieur/pivotement vers soi) : le centre de votre iPhone reste fixe, et vous tournez votre iPhone autour de son centre.

Mais que se passe-t-il si vous souhaitez faire tourner votre iPhone autour de vous ? L'accéléromètre est incapable de détecter un tel mouvement. Apple a donc ajouté un gyromètre dans l'iPhone 4. Le gyromètre détecte des accélérations angulaires sur trois axes (roulis, tangage et lacet) : combiné à l'accéléromètre, on obtient une centrale inertielle, un capteur à six axes qui ouvre de nouveaux horizons, notamment pour les jeux — pour l'anecdote, on utilise les centrales inertielles dans la navigation aérienne.

Par exemple, l'accéléromètre vous permettra d'utiliser votre iPhone comme un volant en pivotant l'écran, et le gyromètre vous permettra de jeter un coup d'œil dans les rétros en déplaçant l'iPhone vers la gauche ou la droite. Ou plus simplement, vous pourrez jouer au Jenga en trois dimensions comme l'a fait Steve Jobs sur scène. Ou encore plus simplement, pouvoir pivoter l'écran de l'iPhone du mode portrait au mode paysage même quand l'iPhone n'est pas parfaitement perpendiculaire au sol.

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Les développeurs pourront tirer parti de ces deux capteurs de mouvements, qui peuvent être conjugués à la boussole pour obtenir des applications de réalité augmentée de précision grâce aux API CoreMotion. L'ajout d'un gyromètre pose des défis à Apple (ce n'est pas le capteur le plus facile à exploiter), mais permet à l'iPhone 4 de prendre de l'avance par rapport aux autres consoles portables en termes d'interaction.

[ pagebreak ] H comme HD
Si la caméra en façade est limitée à la vidéoconférence, la caméra à l'arrière de l'iPhone est désormais capable d'enregistrer des vidéos en HD. Il faudra se contenter de la définition 720p (1280x720 px) à 30 images par seconde.

Comme sur l'iPhone 3GS, on pourra taper sur une zone de l'écran pour mettre au point sur une photo. L'iPhone 4 ira plus loin, puisqu'il sera possible d'utiliser le tap-to-focus aussi lors de l'enregistrement vidéo, un autofocus semi-automatique que des appareils photo à plusieurs milliers d'euros n'ont pas !

Il faudra par contre s'habituer à remplir son iPhone un peu plus vite : l'iPhone 4 stagne à 16 ou 32 Go de mémoire, alors qu'un gigaoctet représente un peu moins d'une demi-heure de vidéo HD 720p.

I comme iMovie pour iPhone
S'il est possible d'éditer les films sur iPhone 4 comme on le faisait sur iPhone 3GS, la nouvelle génération d'iPhone mettra à profit son processeur A4 pour faire tourner une version d'iMovie spécialement adaptée (lire : iMovie, sur iPhone 4 seulement). iMovie avait été la première application de la suite iLife sur Mac (du temps de Mac OS 9), et est la première à débarquer sur iOS, tout un symbole.

Il sera possible de faire presque tout ce que l'on peut faire avec iMovie sur Mac avec iMovie pour iPhone : on pourra monter des clips, mélanger clips et photos (avec effet Ken Burns automatique), ajouter des transitions, une bande-son, etc. Pour se faciliter la tâche, des thèmes sont prévus : transitions et effets sonores sont alors automatiquement ajoutés. Petite déception cependant : pour le moment, iMovie pour iPhone et iMovie pour Mac ne savent pas fonctionner main dans la main. On ne pourra donc pas (encore ?) récupérer un projet créé sur iPhone sur le Mac.

Les mauvaises langues diront qu'iMovie est une nouvelle rente pour Apple : l'application de montage sera commercialisée sur l'App Store à 4,99 $, soit 3,99 € en Europe — et on peut parier qu'elle se vendra comme des petits pains.

M comme microphones
L'annonce est passée plutôt inaperçue, car ce n'est pas sa fonction la plus sexy (mais sera peut-être une des plus utiles) : l'iPhone 4 est doté de deux microphones. Le premier, en bas de l'écran, capte le son — ou plutôt les sons, tous les sons, de votre voix à celle des gens vous entourant en passant par le bruit ambiant.

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Le deuxième micro, en haut de l'écran, se charge de capter tous les sons, sauf celui de votre voix. Un module logiciel se charge ensuite de soustraire à ce qu'entend le premier micro ce qu'entend le second micro. Résultat : les bruits ambiants devraient disparaître ou presque, ne laissant que le son de votre voix.

M comme micro-SIM
Ce n'est pas une surprise : comme l'iPad, l'iPhone 4 utilisera une micro-SIM — cela prend moins de place. Ce qui veut aussi dire qu'il faudra penser à passer par votre opérateur pour vous faire livrer une micro-SIM si vous achetez votre iPhone nu (à moins que vous ne vous sentiez le courage de découper votre carte SIM actuelle).

R comme Retina Display
Le retina display, c'est le nom commercial de l'écran de l'iPhone 4. Un écran haute définition : 960x640 pixels, dans un écran de 3,5", cela donne une résolution de 326 pixels. Autant qu'à bout de bras, il sera impossible de distinguer les pixels, et qu'il devrait être presque aussi agréable de lire sur iPhone 4 que sur papier (lire : Retina Display : Apple exagère ?).

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L'écran de l'iPhone 4 aura donc presque autant de pixels que celui de l'iPad (78 %, lire aussi iPhone 4 vs 3GS : l'écran vu de près) : il faudra donc adapter ses applications avec des éléments graphiques en haute résolution. Si l'application n'est pas adaptée, le système se chargera de le faire automatiquement, du moins en partie : tous les éléments standards de l'iOS utilisés par une application, ainsi que les éléments textuels, seront par défaut rendus en haute résolution.

L'écran de l'iPhone 4 est aussi un écran IPS : pour résumer, les angles de vision seront bien meilleurs, ce qui signifie que l'on pourra plus facilement regarder à plusieurs sur l'écran d'un iPhone, parfait pour partager des photos ou un clip — un peu moins pour la lecture de SMS et de courriels dans le métro.

S comme Stainless Steel
Pour celui-là, on a dû tricher : le pourtour de l'iPhone 4 est en acier spécial. Il sert en fait de structure, un peu comme l'exosquelette d'un insecte : tous les éléments intérieurs sont logés en son sein, et la face avant et arrière du téléphone reposent dessus.

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Plus qu'une simple structure légère mais rigide, ce cadre joue aussi le rôle d'antenne. Le cadre est en effet divisé en deux parties, la première, plus grande, étant l'antenne GSM/3G, la seconde, plus petite, étant l'antenne Bluetooth, Wi-Fi, et GPS. Voilà qui devrait faire taire les critiques qui se plaignaient de la réception parfois assez aléatoire de l'iPhone (on croise quand même les doigts, ndlr).

V comme verre
Les faces avant et arrière de l'iPhone reposent sur ce cadre, et sont en verre. Encore une fois, ce n'est pas n'importe quel verre qui est utilisé, mais un verre alumino-silicaté.

Ce verre est plus résistant à la compression : on devrait entendre moins souvent parler de verre qui explosé inopinément, notamment dans le sud de la France, alors que certains estiment que la compression de la glace dans les poches de jean est une hypothèse pour expliquer la fragilisation du verre.

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Ce verre est aussi plus résistant aux rayures : le dos de l'iPhone 4 est en verre, mais devrait moins se rayer que le dos en aluminium de l'iPhone EDGE — sans même parler du dos en plastique des iPhone 3G et 3GS (ce verre est 30 fois plus dur que le plastique). Le verre est aussi plus rigide (20 fois plus que le plastique), mais à l'instar d'un roseau, il plie sans se briser, ce qui devrait là aussi participer à la solidité de l'ensemble.

Mais comme le verre, sur la face avant comme sur la face arrière, affleure à la surface du cadre, il est le premier élément qui sera exposé en cas de chute (lire : Le verre de l'iPhone 4 cassera toujours). Malgré toutes les promesses d'Apple, ce verre pourra donc toujours casser — on comprend pourquoi la firme de Cupertino a prévu des Bumpers, des petits anneaux de plastique entourant justement le cadre de métal de l'iPhone 4, et évitant donc de trop exposer le verre.

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Sur la face avant, le verre a enfin une dernière utilité : il ne recouvre plus l'écran, mais en est solidaire iPhone 4 : les pixels remontent à la surface. Cela permet un rendu des couleurs et une transmission de la luminosité parfaits, mais risque aussi de faire augmenter la facture en cas de chute : il faudra remplacer non seulement la glace, mais aussi l'écran à laquelle elle est collée.

Z comme zut
D'abord pour ceux qui viennent d'acheter un iPhone 3GS alors que les photos des prototypes d'iPhone 4 circulaient sur le Web depuis plusieurs semaines. Ensuite pour ceux qui sont engagés avec leur opérateur et ne pourront bénéficier d'un renouvellement vers l'iPhone 4 (même si on a entendu parler d'offres commerciales et de gonflement des points de fidélité à la fois chez Orange et chez SFR, d'autant plus si la fin du contrat approche). Enfin pour les plus pressés : l'iPhone est disponible en précommande dès demain, mais il faudra patienter jusqu'au 24 juin pour l'obtenir — Noël en été, on vous disait.

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Une application iPhone demain pour les Apple Store

Florian Innocente |

Apple lancerait demain sur l'App Store sa 12e application, cette fois à destination des clients de ses boutiques Apple Store. Lecteurs parisiens ou montpelliérains…

Selon IfoAppleStore, elle permettrait d'obtenir des infos techniques sur les produits en vente, de connaître les services proposés sur place, d'accéder au système de réservation Concierge et de s'inscrire pour les réservations du nouvel iPhone 4 (prévues justement à compter de demain).

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D'autres fonctions pour l'avenir sont évoquées, comme de scanner les codes barres des produits exposés pour obtenir plus d'infos, de voir sa présence signalée automatiquement lorsqu'on se présente pour un rendez-vous au Genius Bar ou pour recevoir des infos si l'on passe à proximité du magasin.

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Les prix de l'iPhone 4 dévoilés… au Japon

Florian Innocente |

352 € pour l'iPhone 4 en 32 Go et 281 € pour le 16 Go. Tels sont les prix du nouvel iPhone 4 au Japon (avec une conversion Yen/Euro directe). L'opérateur Softbank va les proposer sans subvention, avec des engagements sur 24 mois à tarifs réduits. Un autre détail, seul le modèle noir sera proposé, le blanc n'arrivant que dans un second temps, à une date indéterminée.

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AirStash : lecteur de cartes SD et serveur de médias pour iPhone et iPad

Florian Innocente |

AirStash est le nom d'un petit boitier (43 g) servant à la fois de lecteur de cartes SD et capable d'en streamer le contenu, par Wi-Fi, vers des appareils comme l'iPhone ou l'iPad. Doté d'une puce Wi-Fi (802.11g), après avoir appuyé sur son bouton d'activation, il apparaît comme le ferait une borne Wi-Fi.

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Ensuite, à partir d'un navigateur web comme Safari Mobile, on va consulter les fichiers stockés sur la carte SD que l'on aura inséré. S'il s'agit de photos, on peut les sauvegarder dans l'album de l'iPhone. Une interface plus sophistiquée est prévue avec les équipements Apple, afin de permettre notamment une gestion de listes audio.

Les fichiers d'iTunes, même avec DRM sont pris en charge (sauf les contenus vidéo obtenus en location). Quant aux vidéos ou aux fichiers musicaux stockés sur cette carte SD, ils sont accessibles et lisibles en streaming. Il est prévu à terme une fonction de déchargement par lot (AirStash utilise un firmware pouvant être actualisé).

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Cet AirStash contient une batterie rechargeable via le port USB. Le temps de recharge est de deux heures pour une autonomie annoncée de 5h en streaming vidéo. Le rayon d'action pour la liaison Wi-Fi est celui d'une petite pièce. Une future révision du firmware permettrait d'élargie ce rayon, mais aux dépens de l'autonomie. AirStash, lancé fin, mai, est vendu 100$ aux États-Unis et au Canada. Une distribution à l'international est envisagée.

via John Nack

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