Vous accumulez les cartes de visite ? Vous avez la flemme de les rentrer manuellement et vous n'avez pas envie d'acheter un scanner rien que pour ça ? Comme dit la publicité d'Apple, il y a une application pour cela.

Cardreader se propose de faire le "sale travail" pour vous. Vous prenez une photo de la carte en question et le logiciel se charge du reste. Il intègre le moteur de reconnaissance de caractères d'ABBYY Mobile. Il est recommandé d'utiliser cette application avec un iPhone 3GS, en raison de sa mise au point automatique.

Concrètement, l'application est prometteuse, mais nécessite d'être amélioré. Le système fonctionne bien à condition que la carte de visite soit simple et que les conditions d'éclairage soient bonnes. L'application détecte relativement bien les différents champs correspondant aux informations sur la carte de visite.

Il est possible d'éditer les données puis Cardreader [1.0 - US] vous propose de l'enregistrer directement dans votre carnet d'adresses. Prix : 5,99 €.

La sérieuse panne et la perte de données qui avait touché les utilisateurs du Sidekick est en voie de trouver une issue dans laquelle Micorosoft paraît avoir (un peu) limité la casse (voir l'article Sidekick : mauvais cloud pour Microsoft).

Dans une lettre à ses clients l'éditeur explique être en mesure de récupérer tout ou presque de leurs données. Seule une "minorité" risque de se trouver orpheline. Cette restauration va se faire par étapes pour chaque type de données (contacts, calendrier, photos, etc). Le Sidekick en effet ne dispose pas de logiciel client permettant de conserver une copie de ses infos personnelles sur son ordinateur, tout est stocké en ligne.

Une absence de procédures de sauvegardes des comptes utilisateurs avait été évoquée comme source des problèmes pour la remise en service rapide des comptes clients. Microsoft explique qu'une panne système a entraîné une perte de données dans la base principale ainsi que dans ses sauvegardes.

Sauvegardes il y avait donc, mais apparemment tout n'était pas d'équerre sur ce point. Microsoft affirme qu'il va revoir ses processus de sauvegardes afin de mieux préserver l'intégrité de leur contenu. Reste la mauvaise image produite par cet accident et qui risque d'être plus difficile à remettre d'aplomb.

Après Adobe qui annoncé que Flash CS5 facilitera la création d'applications pour iPhone OS (lire : Flash CS5 permettra de développer des applications iPhone), c'est au tour de TapLynx de mettre en avant son framework de création d'applications iPhone.

Nécessitant peu de connaissances en termes de programmation, le SDK TapLynx a notamment permis la création de l'application D:All Things Digital.

Pour créer une application avec Taplynx, il faut évidemment payer les 99$ de l'iPhone Developer Program, le SDK lui-même étant gratuit. On pourra ensuite construire l'application à partir d'éléments graphiques, le SDK facilitant la mobilisation des API de l'iPhone OS sans (presque) avoir à coder. Evidemment, une application créée avec TapLynx ne sera jamais aussi bien optimisée qu'une application codée à la main par un développeur attentif, mais pour créer une (petit) application dédiée à un site Internet, TapeLynx sera un bon début. N'espérez cependant pas vous en servir pour réaliser le prochain jeu à le mode sur l'App Store…

Beaucoup trouvent les smartphones utilisant Google Android un peu lents, et ils n'ont en effet pas tort : tous les smartphones Android partagent le même processeur, un Qualcomm à 528 MHz basé sur le core ARM11, qui n'est pas un foudre de guerre.

Alors qu'Intel ou AMD ont la main sur la production de leurs processeurs, même s'ils ne possèdent plus ou presque d'usines sous leur nom, ARM ne produit pas du tout de processeurs, mais préfère concevoir les architectures, et licencier ses technologies à des fondeurs comme Samsung ou Qualcomm. Ce fonctionnement, s'il permet à ARM de continuer à investir massivement en recherche et développement, pose néanmoins le problème du délai entre la conception d'un processeur et sa sortie effective sur le marché. Les ARM 11 utilisés par les téléphones sous Android, mais aussi l'iPhone EDGE ou 3G, remontent ainsi à 2003 ! Quant au Cortex A8 utilisé par Apple dans l'iPhone 3GS et Palm dans le Pre, et qui est largement plus rapide que l'ARM 11, sa conception remonte à 2005.

Le Cortex A8 est deux fois plus grand (il est gravé en 65 nm contre 45 nm pour l'ARM 11), et deux fois plus cher que l'ARM 11. Ce n'est pas un problème pour Apple ou pour Palm, qui vendent des smartphones haut de gamme, ce qui se reflète sur l'étiquette, et donc sur les performances. Pour HTC, dont le but est de vendre un maximum de téléphones à un coût tiré vers le bas, le Cortex A8 n'est simplement pas une alternative : plus petit et beaucoup moins cher, l'ARM 11 est le seul processeur viable pour ses téléphones — sans compter que Google Android est très bien conçu pour cette puce. Seul problème, donc, des performances parfois un peu limitées.

Alors qu'Apple insiste sur l'intégration du logiciel et du matériel, et propose un matériel "décent" pour faire tourner son logiciel (l'iPhone 3GS a largement amélioré les choses de ce côté-là), Google se trouve aujourd'hui dans une position désagréable où la qualité de son logiciel est parfois dégradée par des limites matérielles qui ne sont pas de son fait. Cela pourrait bientôt changer : Samsung pourrait annoncer des smartphones sous Android avec une version survitaminée de l'ARM 11, mais surtout avec des Cortex A8 (qui passeront bientôt au 45 nm), et le Acer Liquid et le HTC Dragon seront très certainement équipés d'un processeur Qualcomm Snapdragon… qui est tout simplement cadencé à 1 GHz !

Via Engadget

L'édition suisse de 20 Minutes révèle deux nouveaux cas d'iPhone craquelés. Les deux appareils sont des iPhone blancs (sans plus de détails sur le modèle précis) achetés dans la même boutique de Bienne.

Le premier iPhone s'est craquelé lors d'un voyage en train : "Ma copine était avec des amis dans le train il y a environ deux semaines. Soudain, son iPhone a commencé à vibrer tout seul. Comme elle n'arrivait pas à arrêter les vibrations, elle a décidé de l'éteindre. C'est alors que l'écran s'est complètement désintégré dans sa main. Elle n'a pas vraiment été blessée, mais cet incident l'a choquée et elle s'est mise à pleurer". Au sujet du deuxième cas, aucune information complémentaire n'est donnée.

L'iPhone qui s'est craquelé dans le train.

Les deux personnes malchanceuses se sont adressées directement à Apple, qui a pris en charge les appareils. Pour le moment, ni l'un ni l'autre n'ont reçu de nouvel iPhone ou eu de plus amples informations de la part de la firme à la pomme.

Google Wave, le futur standard de la communication en ligne qui mêle messagerie instantanée, email, groupes de discussion, et plus, fonctionne bien sur iPhone, d'après les "happy fews" qui font partie du beta-test. Sachant que le moteur a été optimisé pour les navigateurs à base de Webkit, rien de surprenant donc à ce que Mobile Safari gère bien le service (malgré une alerte qui pourrait laisser penser le contraire).

Cependant l'intégration va un peu plus loin puisque si vous en faites une application sur le springboard à partir d'un signet, Google Wave utilisera une fonction de l'iPhone pour s'afficher en plein écran.

Pour faire mieux encore, il ne manquera plus qu'une application dédiée.

Voir également:

Google Wave marche bien sur Mac

Wave : la communication revisitée par Google

Via iPodNN

L'iPhone peut donner un peu de vie à votre voiture : l'application Viper SmartStart vous permet de commander le verrouillage ou le déverrouillage des portes depuis votre appareil, de même que l'ouverture du coffre, le démarrage du moteur, ou encore de repérer votre voiture sur un parking. Il faudra cependant que votre véhicule soit équipé du matériel idoine ainsi que l'abonnement au service pour que cela fonctionne.

Mais encore plus fort, le projet « Spirit of Berlin » de la Freie Universitaet consiste à piloter entièrement la voiture avec l'iPhone ! Un système de caméra embarqué transmet l'image du point de vue du pilote sur l'écran de l'iPhone, un bouton pour la pédale des gaz, un autre pour les freins, on tourne l'iPhone pour tourner le volant, et la voiture répond au doigt et à l'œil ! Par contre il vaut mieux rester près du véhicule pour ne pas sortir de la zone de couverture du wifi pour que ça fonctionne, mais ça rappelle furieusement une scène du film "Demain ne meurt jamais". Ne reste plus qu'à coupler ça avec une application de GPS.