L'édition suisse de 20 Minutes révèle deux nouveaux cas d'iPhone craquelés. Les deux appareils sont des iPhone blancs (sans plus de détails sur le modèle précis) achetés dans la même boutique de Bienne.

Le premier iPhone s'est craquelé lors d'un voyage en train : "Ma copine était avec des amis dans le train il y a environ deux semaines. Soudain, son iPhone a commencé à vibrer tout seul. Comme elle n'arrivait pas à arrêter les vibrations, elle a décidé de l'éteindre. C'est alors que l'écran s'est complètement désintégré dans sa main. Elle n'a pas vraiment été blessée, mais cet incident l'a choquée et elle s'est mise à pleurer". Au sujet du deuxième cas, aucune information complémentaire n'est donnée.

L'iPhone qui s'est craquelé dans le train.

Les deux personnes malchanceuses se sont adressées directement à Apple, qui a pris en charge les appareils. Pour le moment, ni l'un ni l'autre n'ont reçu de nouvel iPhone ou eu de plus amples informations de la part de la firme à la pomme.

Google Wave, le futur standard de la communication en ligne qui mêle messagerie instantanée, email, groupes de discussion, et plus, fonctionne bien sur iPhone, d'après les "happy fews" qui font partie du beta-test. Sachant que le moteur a été optimisé pour les navigateurs à base de Webkit, rien de surprenant donc à ce que Mobile Safari gère bien le service (malgré une alerte qui pourrait laisser penser le contraire).

Cependant l'intégration va un peu plus loin puisque si vous en faites une application sur le springboard à partir d'un signet, Google Wave utilisera une fonction de l'iPhone pour s'afficher en plein écran.

Pour faire mieux encore, il ne manquera plus qu'une application dédiée.

Voir également:

Google Wave marche bien sur Mac

Wave : la communication revisitée par Google

Via iPodNN

L'iPhone peut donner un peu de vie à votre voiture : l'application Viper SmartStart vous permet de commander le verrouillage ou le déverrouillage des portes depuis votre appareil, de même que l'ouverture du coffre, le démarrage du moteur, ou encore de repérer votre voiture sur un parking. Il faudra cependant que votre véhicule soit équipé du matériel idoine ainsi que l'abonnement au service pour que cela fonctionne.

Mais encore plus fort, le projet « Spirit of Berlin » de la Freie Universitaet consiste à piloter entièrement la voiture avec l'iPhone ! Un système de caméra embarqué transmet l'image du point de vue du pilote sur l'écran de l'iPhone, un bouton pour la pédale des gaz, un autre pour les freins, on tourne l'iPhone pour tourner le volant, et la voiture répond au doigt et à l'œil ! Par contre il vaut mieux rester près du véhicule pour ne pas sortir de la zone de couverture du wifi pour que ça fonctionne, mais ça rappelle furieusement une scène du film "Demain ne meurt jamais". Ne reste plus qu'à coupler ça avec une application de GPS.

Sony Music aurait refusé à iTunes la possibilité de vendre "This Is It", l'album posthume de Michael Jackson attendu pour le 25 octobre et dont un single vient d'être diffusé sur les ondes.

Selon Digital Music News qui s'appuie sur des confidences, Sony ainsi que les exécutants testamentaires de Jackson refusent de voir les morceaux de ce double album vendus à l'unité, comme il est de tradition sur iTunes (sauf ponctuellement des titres parfois inclus obligatoirement avec l'album).

Leur intérêt - financier il va sans dire - serait que les clients ne puissent qu'acheter l'album dans son intégralité. Dans l'affaire, c'est AmazonMP3 qui aurait tiré les marrons du feu en décrochant une exclusivité.

Les amateurs occasionnels de Micheal Jackson qui trouveraient la vente un peu forcée se consoleront probablement en sachant que le premier disque contient essentiellement les hits déjà archi-connus et ultra-téléchargés, encodés, copiés de Jackson - à l'exception du This is It proposé dans deux versions - et que le second CD offrira des interprétations encore inédites… des mêmes hits. Avec en bonus un poème "touchant" lu par l'artiste et baptisé "Planet Earth". A priori, pas de quoi faire suer la ligne ADSL.

[maj] Sony a démenti auprès du site Wired la rumeur selon laquelle cet album ne serait pas disponible sur iTunes. Il le sera, à compter du 27 octobre. Mais aucune réponse n'a été donnée sur la possibilité d'acheter les morceaux à l'unité. Le sujet fait encore l'objet de discussions entre les différentes parties.

Une fiche technique d'Apple s'attarde sur un bug de synchronisation rencontré avec iTunes 9 et que la récente mise à jour 3.1.2 d'iPhone OS n'a pas solutionné. La liste des morceaux formant une liste intelligente dans iTunes n'est pas reproduite dans le même ordre une fois passée sur l'iPod touch ou l'iPhone.

Apple donne quatre méthodes successives pour essayer de résoudre le problème. Cela va de la simple sélection de la liste et du choix de la commande "Copier dans l'ordre de la lecture" du menu contextuel à la création d'une nouvelle liste d'après celle qui existe déjà.

World of Goo est un jeu qui a été largement encensé par la critique pour son concept novateur, reposant essentiellement sur son moteur physique. Il s'agit de batir des constructions à l'aide de petites boules de goudron, afin de les mener à un tuyau symbolisant la sortie du niveau, en prenant en compte la gravité, le vent, la hauteur ou le poids de l'édifice, etc.

Le jeu, développé seulement par deux anciens employés d'Electronic Arts, a reçu deux prix en 2007, à la Game Developer Conference, et à l'Independant Games Festival. Il est disponible sur Windows, Mac OS X, Linux et Wiiware, et a été très piraté malgré son prix raisonnable de $20 (une copie achetée sur 10 installées). A l'occasion du premier anniversaire du jeu, le studio 2Dboy offre d'ailleurs une chance à chacun de se racheter en proposant d'acheter le jeu au tarif qui vous semblera raisonnable, ce qu'on ne saurait trop vous recommander.

C'est également à cette occasion que le studio annonce qu'une version iPhone est en cours de développement, elle est fluide sur iPhone 3GS, et ils espèrent la rendre jouable sur iPhone 3G. Le jeu devrait particulièrement bien se prêter à l'interface multitouch de l'iPhone.

Pinch Media offre aux développeurs un système de surveillance de l'utilisation qui est faite des applications pour iPhone et iPod touch. Ce système a permis de donner des statistiques intéressantes concernant le piratage des applications. Notons tout de même que les chiffres suivants sont imprécis et conservateurs dans la mesure ou certaines applications piratées ont vu leur système de surveillance désactivé, et toutes les applications ne font pas appel au système de Pinch par ailleurs. En un mot : les chiffres donnés sont des minimas.

Concernant les appareils "jailbreakés", La France arrive en dixième position avec 8% des appareils, et on note une corrélation entre le PNB des pays et leur taux de piratage : moins le pays est riche, plus les applications sont piratées.

Environ 60% des applications qui utilisent Pinch ont été piratées. Sur celles-ci, environ 34% des installations sont des versions piratées de l'application, soit la moitié environ des applications achetées.

On constate une tendance générale sur l'utilisation des applications piratées : elles connaissent un pic lorsque la version piratée est mise à disposition, qui dure environ 2 à 3 semaines, tout en déclinant. Ensuite, l'utilisation se fait plus faible quoi que toujours significative. De manière générale, on constate un taux de rétention plus faible qu'avec les applications payées. Il semble que les pirates sautent sur l'opportunité de la mise à disposition d'une application, puis s'en lassent relativement vite. La fréquence et la durée d'utilisation des applications est également plus faible. Il est à noter également que les applications, piratées ou non, semblent plus susceptibles de planter sur un appareil jailbreaké.

Enfin, l'étude tord le cou à un argument souvent avancé par les pirates, à savoir que le piratage permet de tester une application avant de l'acheter. Si tel était le cas, on devrait voir des taux de conversion en achat similaires entre les applications piratées et les version démo des applications qui sont disponibles sur l'App Store. Or on constate qu'en moyenne pour 14 applications "lite" téléchargées, 1 sera achetée (soit un taux de conversion en achat de 7,4%) alors que pour un achat, l'application aura été piratée 233 fois (soit un taux de conversion de 0,43%). De toute évidence, l'argument sert avant tout à se donner bonne conscience… L'argument du prix, souvent avancé concernant les albums ou les films, ne tient guère concernant l'App Store, quand on constate que nombre d'applications disponibles à 0,79€ (soit moins cher qu'une baguette de pain avec une bien meilleure durée de vie…) sont piratées gaillardement. Si on peut avoir de légitimes raisons de "jailbreaker" son appareil, pirater des applications à ce prix, ça n'est pas vraiment glorieux.