Pour défendre l'App Store, Apple dégaine encore une fois des études favorables
Apple lance de nouveau l'offensive pour défendre son business, au travers de deux (!) nouvelles études sur l'économie des apps iOS. La première d'entre elles, consacrée aux petits développeurs, est à prendre avec les pincettes d'usage étant donné que les données sont fournies par Apple, qui de plus a « supporté » l'étude. L'autre document lié à l'économie des apps iOS et Android aux États-Unis a été réalisé de manière indépendante.
Rien qu'au mois d'avril, la Pomme a financé deux études, l'une sur la politique d'encadrement du suivi publicitaire, l'autre sur l'état de la concurrence dans l'App Store. On ne doute pas du sérieux de ces états de lieux, réalisées par des économistes et des professeurs.
Mais le fait qu'elles soient commanditées par Apple et que leurs conclusions lui sont extrêmement favorables laisse tout de même planer un parfum pas très délicat de gros sabots. Ce d'autant que le constructeur ne commande pas ces études au hasard. Des deux côtés de l'Atlantique, les régulateurs s'apprêtent à frapper fort contre les pratiques d'Apple, que ce soit sur l'App Store ou sur d'autres sujets liés à la concurrence.
L'approche de la WWDC pousse aussi logiquement le constructeur à communiquer sur les bienfaits de son activité, que ce soit pour les développeurs comme pour l'économie en général. On apprend donc que l'App Store et tout l'écosystème qui gravite autour étaient à l'origine de 2,2 millions d'emplois aux États-Unis l'an dernier.
Les revenus tirés de cette activité par les petits développeurs (jusqu'à 1 million de dollars de chiffre d'affaires par an et moins d'un million de téléchargements par an) ont augmenté de 113 % entre 2019 et 2021 ; c'est plus du double que pour les développeurs plus importants. Aux États-Unis, la hausse est de 118 %, en france c'est carrément 122 %.
Il s'agit pour Apple de mettre en lumière les opportunités offertes par l'App Store. En creux, c'est aussi une manière de dire aux régulateurs que si les choses allaient si mal, les développeurs ne seraient pas aussi nombreux à se précipiter dans la boutique (ce à quoi on pourrait répliquer qu'ils n'ont pas vraiment d'autre choix !). En 2021, 24 % des développeurs fraîchement inscrits provenaient d'Europe, 23 % de Chine, 14 % des États-Unis. Plus de 90 % des développeurs sur l'App Store sont de « petits » développeurs qui peuvent profiter du programme Small Business pour bénéficier d'une commission de 15 %.
@fte
Vous faites preuves de mauvaise foi. Toutes personnes qui a connu l’informatique des années 90 sait les difficultés pour les développeurs ne serait-ce que d’exister. Les années 2000 et internet massif ont fortement aidé, mais il n’y avait que quelques studios, bien organisés qui avaient suffisamment de visibilité pour exister. Et puis il fallait avoir la capacité d’amortir les coûts de gestion.
L’app store a été l’explosion. Et il suffit de regarder pour s’en rendre compte.
Mais oui, comme il ne quantifie pas (et c’est logique parce que c’est très compliqué) vous pouvez vous lancer dans la brèche en expliquant que tout le monde n’en vie pas. Ce qui est vrai et normal. C’est un marché et tout le monde ne peut pas y être gagnant. Toutefois contester que ce fut un immense facilitateur pour la possibilité de vivre de ses développement, c’est de la mauvaise foi.
Alors oui, on peut faire comme beaucoup et contester la part d’Apple dans la répartition des recettes. On peut aussi contester le contrôle d’Apple et les restrictions. On peut contester le fait qu’ouvrir l’iPhone s’est réduire sa sécurité. On ne peut pas contester qu’avant l’app store ce marché n’existait pas et que ce marché est un très bon terreau pour développer son entreprise.
L’app store a été l’explosion.
Plus précisément c'est la centralisation des applications qui a permis l'explosion.
Et il suffit de regarder pour s’en rendre compte.
Oui si on regarde du côté des supermarchés qui centralisent eux aussi il y a eu un énorme succès. Mais les supermarchés étaient (et sont toujours) en concurrence avec les canaux de distributions traditionnels (petits bouchers/fromagers/poissonniers/etc...) et ils sont aussi en concurrence entre-eux (bah oui il n'y a pas que Leclerc).
D'ailleurs du côté de la vente en ligne on retrouve aussi en premier ceux qui ont le plus gros catalogue (Amazon, Cdiscount, etc...). Et si tu es un petit commerçant, tu as tout intérêt à te mettre sur ces plateformes pour avoir plus de visibilité plutôt que de ne rester que sur "ton domaine que personne ne connaît".
Bref, le problème ce n'est pas l'AppStore, ce sont ses règles (et il me semble avoir montré qu'il était possible d'avoir du succès tout en ayant des règles permettant l'ouverture et/ou la concurrence).
@bibi81
Tout à fait. La centralisation permet la visibilité et la rentabilité.
Du coup, c’est très étonnant de voir l’app store comme un monopole, parce que les plateformes ne manquent pas. Celles qui fonctionnent par contre…
Du coup, c’est très étonnant de voir l’app store comme un monopole
Bah non puisque sur iOS il n'y a que l'AppStore.
@bibi81
Faux.
Un, j’ai des web app et des SaaS sur mon iPhone.
Deux, considérer que l’iPhone est un marché en lui-même est absurde. « Il n’y a que des Leclerc dans Leclerc. Monopole ! »
Et du coup, vous ne défendez pas les développeurs, mais les agrégateurs d’applications. Du coup, vous espérez qu’il y aura encore plus de sous traitance et de pression sur les développeurs.
Deux, considérer que l’iPhone est un marché en lui-même est absurde.
Ben non, les applications Android fonctionnent elles sur un iPhone ?
« Il n’y a que des Leclerc dans Leclerc. Monopole ! »
Ben non, iOS n'est pas un magasin, donc "que Leclerc dans Leclerc" n'a aucun sens.
Et du coup, vous ne défendez pas les développeurs, mais les agrégateurs d’applications.
Toujours pas, permettre la concurrence entre agrégateurs ce n'est pas les défendre, c'est tout le contraire.
@bibi81
Alors pour l’avoir vécu dans beaucoup de domaines, ce qui arrive dans CA cas, c’est que les grossistes pressent les fournisseurs jusqu’à ce que ses derniers meurent.
Quand aux applications android, elles sont identiques à celle de l’iPhone. Donc oui elles s’installent ailleurs.
@Nesus :
« Quand aux applications android, elles sont identiques à celle de l’iPhone. Donc oui elles s’installent ailleurs. »
Ceci est bien évidemment totalement faux.
C'est toujours assez incroyable de voir sur Internet comme certaines personnes balancent des affirmations qui constituent de purs mensongs, et ce sans sourciller. :-/
@webHAL1
Si ce n’est pas vrai, c’est un choix du développeur. Il y a même moyen de faire qu’un seul développement pour plusieurs plateformes. Donc non, je n’ai pas à sourciller, puisque c’est vrai. Même si, oui la majorité font deux développement, mais en fait comme pour tous les métiers.
@Nesus :
Tiens, on est passé de "les applications iOS s’installent ailleurs" à "il y a un moyen de faire qu’un seul développement pour plusieurs plate-formes". Amusant.
J'imagine que l'échange se poursuivrait en :
"C'est les mêmes technologies."
Puis :
"Le langage de programmation est identique."
Et :
"En termes d'approche c'est la même chose."
Bref, ça revient à dire qu'écrire un poème ou rédiger une démonstration de physique c'est similaire, puisque dans les deux cas on se sert de mots. Mais après tout, c'est vrai écrivain et physicien c'est le même métier...
Au final, la réalité c'est qu'une application iOS est complètement inutile sur Android, elle ne pourra RIEN faire et le développement sur les deux plate-formes n'est PAS pareil.
@webHAL1
Certes, mais ce n’est pas un argument. C’est la réalité du marché. Au même titre qu’une app mac, n’est pas une app iOS. Qu’une app Windows 11 n’est pas une app Windows 98. Qu’une app ps4 n’est pas une app ps5.
Je veux bien qu’on m’explique que je simplifie pour être facilement compréhensible. Maintenant, je sais extrêmement bien ce qu’est de fabriquer une app et je sais où se situe le travail. Et dire qu’une app sur iOS n’est pas réutilisable, c’est faux.
Parce que un le plus gros travail est déjà fait (et c’est pas du tout le code) et de deux, il y a des moyens de passer d’une plateforme à l’autre sans avoir besoin de tout recommencer.
Du coup, on peut devenir précis et perdre le début de la conversation et la réalité du fait que nous discutions pour s’enfermer dans autre chose pour à la fin tout discréditer, pas de problème. Toutefois, ça ne changera pas les faits. iOS n’est qu’une plateforme parmi d’autres.
@Nesus :
Tout à fait. Une application Mac n'est pas identique à une application iOS, et elle ne s'exécutera pas sur ce système. Par contre, une application Windows 98 tournera dans la grande majorité des cas sur Windows 11 sans aucun travail supplémentaire du développeur.
Et ce n'est pas "simplifier" que de dire qu'une application iOS fonctionne sur Android, c'est tout simplement faux. Tout comme c'est faux de dire que "le gros du travail" est fait et que, finalement, c'est juste un choix du développeur de sortir son application sur un système ou un autre. La meilleure preuve de cela est le fait qu'il existe quantité d'applications Windows qui n'existent pas sur macOS ou Linux, car leur portage (oui, "portage", avec ce que ça implique de travail et de temps) n'en vaut pas la chandelle pour le développeur. Et c'est encore davantage le cas pour les jeux vidéo, ou l'optimisation est capitale.
Et, bien sûr, comme toujours, essayer de présenter le monde de manière binaire avec des représentations telles que "le développeur doit soit TOUT recommencer à zéro, soit il n'a AUCUN effort à faire pour que son application Android tourne sur iOS" se révèle totalement stérile. Le fait qu'une partie du travail, généralement une petite partie, puisse être réutilisée ne change rien aux faits que :
1. Une application d'un système est totalement inutile sur un autre.
2. Deux versions d'une application pour deux systèmes différents ne sont en aucun cas identiques.
@Nesus
"Vous faites preuves de mauvaise foi."
Depuis quand bases ses conclusions sur des critères mesurables plutôt qu’un doigt mouillé est faire preuve de mauvaise foi ?
Je n’ai pas dit que le doigt mouillé avait tort par ailleurs. Des critères mesurables permettraient de le dire (ou non).
Je note en outre que tu confirmes que c’est un doigt mouillé. Es-tu de mauvaise foi également ?
"Toutes personnes qui a connu l’informatique des années 90 sait les difficultés pour les développeurs ne serait-ce que d’exister."
Ah bon ? Toutes ? Il se trouve que j’ai connu. Il se trouve que ma première vente était à six chiffres. Je n’ai pas connu les mêmes années 90 semble-t-il.
J’ai un doute… je parle de 1990, pour lever une ambiguïté.
"Les années 2000 et internet massif ont fortement aidé"
Oh ?
"L’app store a été l’explosion."
Oh ?
Pourquoi ? Est-ce que le fait que le marché du smartphone a explosé et que l’app store est le seul moyen d’accès à ces téléphones qui n’appartiennent pas à leur constructeur, conjugué à l’explosion des usages d’internet auparavant, en mobilité depuis, aurait une rapport ?
Non, forcément, c’est le seul concept d’app store qui est responsable. Évidemment. Un doigt mouillé suffit car tout le monde venant de 1990 le sait.
"Et il suffit de regarder"
Ah oui, facile, en effet.
"pour s’en rendre compte."
Sinon quoi ? On est aveugle ? Ou peut-être un peu limité ? Ou carrément un imbécile ?
"Mais oui, comme il ne quantifie pas (et c’est logique parce que c’est très compliqué)"
On est dispensé de justification mesurable si c’est très compliqué ? Putain mais pourquoi on s’emmerde avec le LHC très très compliqué si le mesurable est facultatif dès que ça se complique !
Oh oui merde, science, faits mesurables, que des trucs chiants.
Bref. Tellement de bla bla juste pour dire que affirmer suffit, ceux qui n’y croient pas sont des cons.
Je n’adhère pas.
@fte
Ok, vous voulez être de mauvaise foi, restez-le. Si déformer les propos vous aide à vous rassurer, tant mieux.
En attendant juste critiquer les faits parce que l’interlocuteur ne donne pas de données chiffrées (ce que vous ne faites pas non plus au passage) ne fait pas avancer grand chose.
J’aurais pu vous donner plein d’exemple de store qui ont aussi bénéficiés d’internet, qui ne sont pas Apple et qui ont lamentablement échoué. Mais j’ai n’y l’envie de chiffrer, ni le temps à perdre à essayer de convaincre quelqu’un qui a décidé qu’il avait raison.
Du coup, je vais juste vous redonner une donnée 2017, on comptait 13,6 millions de devs dans les apps mobiles. La progression a été de 20% jusqu’à 2019. 60% des revenus de ces devs venaient de l’AppStore. Alors que la part de marché d’android était de 80%. Du coup, j’attends votre retour (précis et documenté vu que c’est absolument nécessaire d’après votre dernière réponse) pour m’expliquer en quoi l’app store a été une contrainte. Mais bon, vous allez encore me raconter que le marché du smartphone, c’est que Apple, et qu’il n’y avait qu’un accès aux téléphones (parce qu’avant appel bien évidemment, il n’y avait pas de marché de l’app sur téléphone, d’ailleurs le Smartphone n’existait pas ! Évidemment que suis-je bête).
BlackBerry et Nokia apprécient beaucoup qu’on les efface d’un revers de la main parce que comme il n’y a pas de chiffres, il ne pas y avoir d’observation.
Juste pour info, les données viennent de l’Insee qui les ont reprise de SlashData, parce que bon quand on veut jouer à l’idiot autant y aller jusqu’au bout.
@Nesus
"Ok, vous voulez être de mauvaise foi, restez-le. Si déformer les propos vous aide à vous rassurer, tant mieux."
Déjà arrivé aux attaques personnelles ?
Good talk. Bonne fin de semaine.
@fte
« J’ai un doute… je parle de 1990, pour lever une ambiguïté. »
Ben moi, en 1890, j’ai fait mieux, 10 chiffres pour mes cartes Hollerith qui faisaient chanter La Marseillaise et vous n’aurez pas l’Alsace et la Lorraine a une machine à vapeur.
Tssss.
Petit joueur.
@FloMo
On va *imposer* de "proposer" plein d'apps en imposant de gérer tout la distribution.
Votre usage du verbe "proposer" est incorrect, proposer relève d'une offre, donc d'un choix.
Le choix n'a pas existé, la "proposition" a été directement lié à l'achat d'un appareil par le client d'apps pour cet appareil.
> Et franchement, chacun y trouve son compte.
Chacun, non. Sinon y'aurait pas d'enquètes ni de procès, 2 trucs qui nécessitent une ouverture de plainte, hors on ne se plaint pas quand on trouve son compte.
> Jusqu'à preuve du contraire, aucun autre modèle n'a été aussi rentable
> pour les petits développeurs.
Jusqu'à preuve du contraire, pour pouvoir comparer il faut permettre cette comparaison. Hors aucune compétition frontale d'un autre modèle n'est autorisé sur iOS.
> C'est un très gros acteur qui gagne plein d'argent en en faisant gagner à des petits acteurs.
Et ?
Les opérateurs de réseau mobile aussi sont des très gros acteurs. C'est pas pour autant qu'ils ont obtenu le droit de préléver une commission sur tout usage qui génère des revenus à ses utilisateurs, alors même que le réseau est resté leur propriété et les utilisateurs sont des abonnés, pas des propriétaires d'une copie de l'infrastructure.
Par ailleurs y'a pas que l'aspect économique à prendre en compte.
Y'a l'aspect légal. Position de monopole, donc risque d'abus de cette position. C'est donc normal que les soupçons d'abus de cette position soit examinés, et si ils se confirment que le régulateur appliquent les conséquences. C'est pas comme si l'abus de position dominante était autorisée jusqu'ici, hein, pour rappel. Ne pas confondre lenteur juridique avec "ils veulent changer les règles !". Les règles existaient déjà, la lenteur juridique fait juste croire l'inverse, alors que c'est juste de l'impunité.
Qui restera dans tous les cas extrêmement rentable, même quand la fin de la fête sera sifflée.
@ byte_order
> on ne se plaint pas quand on trouve son compte
« trouver son compte » est une notion relative.
Le petit développeur sera content de pouvoir vivre de son travail.
Mais pour le gros capitaliste de base, il suffit que les bénéfices de son entreprise baissent pour justifier des licenciements. Et les grands médias approuvent ces "licenciements boursiers", ils nous disent quand ça rechigne que l'erreur des patrons a été de ne pas être assez "pédagogiques" (sic - cf. Michelin).
Cela montre que le capitaliste de base n'en a jamais assez.
S'il peut trouver un moyen pour faire baisser les taxes qu'il doit payer, pour éviter de payer les cotisations sociales, et s'il peut employer des esclaves, il le fera, comme l'Histoire nous l'a bien montré. Ou alors il délocalise comme savent si bien le faire les grands patrons français.
@byte_order
"Position de monopole, donc risque d'abus de cette position. C'est donc normal que les soupçons d'abus de cette position soit examinés, et si ils se confirment que le régulateur appliquent les conséquences. C'est pas comme si l'abus de position dominante était autorisée jusqu'ici, hein, pour rappel."
J’étais d’accord avec le reste, mais ça je n’y arrive pas: un abus de position dominante, c’est sur un marché global, pas sur un marché privé. Le marché global des applications sur téléphone est ouvert, et Apple n’y est pas dominant (80/20 en faveur d’Android). Le procès d’abus de position dominante de Microsoft était lié au fait que Microsoft imposait son navigateur (nouveau marché ouvert du web) du fait de sa position dominante sur le marché des ordinateurs (98% du marché à l’époque). Rien dans la situation d’Apple ne ressemble à ça.
Après qu’Apple permette à d’autres boutiques et d’autres moyens de paiement de s’installer sur iOS je suis pour. Mais il ne s’agit pas d’un abus de position dominante. Ce n’est d’ailleurs pas ce qui lui est reproché.
@pat3:
En effet, le problème se situe plus dans le fait qu'Apple m'interdise sur un matériel m'appartenant de contracter ce que je veux avec qui je veux. Si on le pousse à la position dominante, si Apple avait + de 50% de part de marché, alors c'est un simple démentellement qui serait opéré. D'un côté le hardware de l'autre le soft.
@FloMo
Ça fait du bien à lire et ça m’évite d’avoir à l’écrire. Quand je lis que les devs n’ont pas là choix… faut vraiment avoir une très petite mémoire.
"l'autre sur l'état de la concurrence dans l'App Store."
Ah ben cool, parce que justement ce n'est pas la concurrence DANS l'appstore qui pose le plus de problème, ni même ce contre quoi des éditeurs se battent....
Je me trompe ou c'est en 2020 que le programme Small Business (joli nom marketing pour cacher la division de sa commission par deux pour l'immense majorité des apps proposées sur son store) ?
Un hasard, sûrement, si les études regardent la période 2019-2021.
Et l'impact du Covid sur la croissance de la demande, évidement, c'est également dû à l'AppStore. Rien à voir avec les confinements massifs, ni l'explosion du télétravail, ni l'argent épargné par les gens sur leurs dépenses de transport d'avant...
Ce genre d’études financée par les marques elles mêmes est un grand classique, rien de choquant que les conclusions soient très favorables.
Ce genre d’études financée par les marques elles mêmes est un grand classique, rien de choquant que les conclusions soient très favorables.
Plus précisément les études financées par les marques qui ont une conclusion défavorable à la marque partent dans la corbeille alors que celles qui ont une conclusion favorable sont publiées dans les médias ;)
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