En France comme ailleurs, la variété des titres est limitée aux succès de librairie (par exemple les titres de la New York Times Best Seller's List aux Etats-Unis) : le catalogue manque à la fois de densité et d'épaisseur. Il semble que cela soit dû à la bataille féroce que se livrent Apple et Amazon en coulisses, la firme de Cupertino ayant par exemple laissé passer un contrat avec Random House, un des plus grands éditeurs américains (il détient 32 maisons d'édition aux Etats-Unis et en Grande-Bretagne), filiale du groupe Bertelsmann (RTL, Prisma Presse, Gruner + Jahr).
Les autres points faibles de l'iBookstore résideraient dans l'absence d'un système de recommandation à la Genius et dans des prix élevés, deux points qu'Apple pourrait régler.