L'OS choisi n'est pas cité (mais une variété d'Android largement personnalisée comme sur le Kindle Fire semble évidente) ni les prix, caractéristiques ou date de lancement.
Amazon travaillerait avec Foxconn International Holdings, une division du groupe qui s'occupe déjà des terminaux de Nokia et de Motorola, mais pas ceux d'Apple.
Un autre volet sur lequel Amazon déploierait quelques efforts est celui des brevets sur les technologies sans fil. Bloomberg relève qu'un nouveau cadre, Matt Gordon, a rejoint Amazon en mai dernier pour superviser l'acquisition et l'investissement dans les brevets. L'homme travaillait auparavant pour Intellectual Ventures, une société connue du domaine et spécialisée dans le négoce de propriétés intellectuelles. Il s'agit pour Amazon de dresser un cordon sanitaire autour de son appareil afin de limiter autant que possible les conflits en justice qui émaillent l'actualité.
Amazon aurait envisagé précédemment d'acheter un lot de brevets auprès d'InterDigital, avant que cette dernière n'annonce à la mi-juin qu'elle en avait vendu 1 700 sur la 3G et la 4G - une partie seulement de ses actifs en la matière - à Intel pour 375 millions de dollars (303 millions d'euros).