« Nous l’avons déjà enrichie en novembre 2012 [la formule à 2€]. Mais je pense que nous ne sommes pas au maximum des possibilités. L’attente est forte. Et, là encore, nous allons y répondre d’une autre manière… » (lire Free améliore son forfait à 2 €). De ce que l'on sait, Free dispose encore d'une marge - dans les deux sens du terme - de manoeuvre avec ce petit forfait, qui lui permet d'envisager de nouveaux services.
Ce qui est plus compliqué avec le forfait proposant de la data puisque sa consommation est fixée contractuellement avec Orange. Le seuil serait déjà atteint à Paris, à l'inverse des autres régions (lire Free Mobile : de bons résultats et une itinérance avec "un volume maximal"). Il serait donc plus difficile de le faire évoluer.
Xavier Niel ne donne pas plus de détails sur ses prochaines offres avec les téléphones inclus, sinon qu'il veut procéder autrement que ses concurrents. Quant au différend avec Google, Niel en rejette à nouveau l'entière faute sur le groupe américain et d'ajouter qu'il le fait pour servir, à terme, les intérêts de ses clients. En résumé, il faut prendre son mal en patience - sans jeu de mot - devant les téléchargements anémiques sur YouTube, l'App Store et consorts.