Test de The Pearl Keshi : la babasse musicale pleine de basses de Cabasse

Anthony Nelzin-Santos |

Si je vous demande de citer une entreprise française renommée pour ses enceintes connectées alimentées par des amplificateurs débitant plusieurs centaines de watts et vendues pour plusieurs milliers d’euros, vous me dites ?

Perdu !

Il ne fallait pas répondre « Devialet », mais « Cabasse ». L’entreprise bretonne née en 1950, qui fut notamment responsable de la sonorisation du cinéma « Le Grand Rex », continue de produire des enceintes traditionnelles. Reprise par Canon en 2006, Cabasse est finalement tombée dans l’escarcelle du fabricant de luminaires connectés Awox, avant d’être rejointe par le spécialiste belge de la domotique Chacon.

Le logo de Cabasse sur le caisson The Pearl Sub.

Ce qui est devenu le groupe Cabasse évolue au confluent de l’acoustique et de l’électronique, comme en témoigne la collection d’enceintes connectées « The Pearl », rondes et nacrées comme des perles précieuses. L’enceinte Akoya munie d’un hautparleur tri-axial (1 590 €) est une déclinaison miniaturisée de l’enceinte The Pearl originale (2 990 €), et la gamme est chapeautée par la Pelegrina, moins une enceinte qu’une sculpture musicale (25 000 €).

Le système Keshi fait figure d’exception dans cette gamme d’enceintes tout-en-un, puisqu’il est formé d’un caisson de basses et d’une paire d’enceintes, proposé à 2 490 €. L’ensemble est livré dans une imposante malle pleine de polystyrène expansé, qui renferme une demi-douzaine de pochons en tissu et une grosse boite pleine de câbles.

Notre exemplaire est passé entre les mains d’autres journalistes, ce qui explique son état. iPhone 13 Pro pour l’échelle.

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