HTC aurait laissé tomber l'idée de racheter Palm, après avoir pu prendre connaissance de ses comptes et constaté le peu de synergie qu'offrait une telle opération affirme Reuters. D'autres que HTC auraient décliné, Dell fut cité ainsi que Huawei, un gros équipementier télécom.

En revanche Lenovo s'affirmerait aujourd'hui comme le plus sérieux des candidats à la reprise, une manière pour lui de mettre le pied sur le marché américain des smartphones où il n'a aucune présence.

Les avis sont néanmoins partagés parmi les investisseurs ou analystes interrogés par Reuters. Certains y voient une opportunité stratégique, d'autres au contraire jugent la marque Palm affaiblie et l'opération difficile à rentabiliser à moyen terme.

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