Les écrans OLED, pour faire varier leur luminosité, utilisent depuis très longtemps le principe PWM, pour Pulse-Width Modulation (Modulation de Largeur d’Impulsion chez nous les grenouilles). Si cette technologie est simple et éprouvée, elle représente un gros inconvénient pour certaines personnes sensibles aux clignotements.
Apple propose avec la nouvelle gamme d’iPhone 17, que ce soit le « standard », le Air ou les Pro/Pro Max, une possibilité de désactiver cette modulation d’impulsion. La fonction est appelée « Display Pulse Smoothing », et si Cupertino ne donne pas d’indice sur la façon dont l’écran est géré sans l’utilisation du PWM, il sera intéressant de voir le résultat, sachant que la pomme indique que la désactivation de cette fonction peut poser quelques limites :
[Display Pulse Smoothing] désactive la modulation de largeur d’impulsion afin de proposer une autre méthode pour atténuer l’affichage OLED, ce qui permet d’obtenir un affichage plus fluide à faible luminosité. La désactivation de la MLI peut, dans certains cas, affecter les performances d’affichage à faible luminosité.
C’est en anglais, mais les images clignotantes parlent d’elles-mêmes.
Si les personnes sensibles à ces écrans clignotants sont peu souvent médiatisées, le souci peut être relativement handicapant. Si vous avez mal aux yeux, des maux de tête en utilisant votre téléphone, votre ordinateur, ou en regardant la télévision, vous êtes peut-être sujet à ce mal, qui se révèle particulièrement avec les écrans OLED. N’hésitez pas à consulter votre médecin dans ce cas, qui vous proposera les examens nécessaires.
Après des années de plaintes, Apple a enfin cédé et va proposer un écran 120 Hz sur l’iPhone « de base ». L’iPhone 17 dispose en effet d’une dalle ProMotion qui reste aussi constamment allumée, même quand le smartphone est en veille. Un changement crucial pour certains, qui privilégiaient justement la déclinaison Pro pour profiter de son écran plus fluide et jamais noir.
L'iPhone 17. Image Apple.
Avec la gamme iPhone 17, l’écart entre le modèle standard et haut de gamme s’est de nouveau réduit. Faut-il prendre un iPhone 17 Pro, ou l’iPhone 17 peut-il vous suffire ? Décortiquons ensemble les fiches techniques et les grosses différences entre ces deux modèles, vendus respectivement à partir de 1 329 € et 969 €.
Un écran enfin au niveau
L’iPhone 17 a surtout progressé au niveau de son écran, qui est désormais en tout point identique à celui de l’iPhone 17 Pro. Les deux ont une même dalle de 6,3" avec la même définition de 2 622 x 1 206 pixels à 460 ppp. La luminosité de pointe de 3 000 nits est similaire, et on y retrouve dans les deux cas une Dynamic Island.
Surtout, les deux dalles sont maintenant ProMotion. Elles peuvent donc osciller entre 1 Hz et 120 Hz pour des animations plus fluides et un rendu plus agréable à l’œil, tout en réduisant la consommation …
Il y a quelques semaines, la norme Qi2 25 W (anciennement Qi2.2) a été officialisée, et Ugreen a été une des premières marques à proposer des produits compatibles. La batterie de la marque, d'une capacité de 37 Wh (10 000 mAh) est déjà en promotion sur Amazon, à seulement 59 € au lieu de 90 €. Elle est annoncée à 76 €, mais une réduction de 22 % est appliquée automatiquement au moment de payer, ce qui descend le prix à 59,27 €.
La batterie d'Ugreen, compatible Qi2 25 W et donc MagSafe. Image Ugreen.
C'est un modèle compatible Qi2 avec des aimants, ce qui implique qu'elle est aussi compatible MagSafe et se fixe magnétiquement sur la majorité des iPhone depuis les modèles 12 (à l'exception du 16e). Elle se charge en USB-C et peut aussi fournir de l'énergie à un périphérique USB-C avec son câble intégré. Sur un iPhone récent — iPhone 16 et 17 —, elle peut charger avec une puissance de 25 W, tout comme sur les récents Google Pixel 10.
On a longtemps vu les VPN comme un outil de barbouze numérique : pour masquer son IP, échapper à la censure, télécharger dans l’ombre. Mais ce temps-là est révolu.
Aujourd’hui, utiliser un VPN est aussi banal qu’activer le mode sombre. C’est un réflexe de bon sens, surtout si vous êtes sur Mac ou iPhone, et que vous en attendez un peu plus que de simples jolis pixels.
CyberGhost, c’est un peu le SUV du VPN : massif, confortable, prêt à tout encaisser, y compris le binge-watching nocturne sur Netflix Canada ou une partie de Fortnite sur un Wi-Fi d’aéroport. Et en ce moment, l’abonnement 2 ans fond comme une raclette en août : 2,03 €/mois, –254 € d’économies, 4 mois gratuits, et une garantie de remboursement 45 jours pour les indécis.
Pourquoi CyberGhost est le VPN qui comprend les Mac et les iPhones
Les utilisateurs Apple le savent : on n’achète pas un Mac pour faire comme tout le monde. On veut du design, de la stabilité, de la vitesse — et un écosystème qui ne nous crache pas à la figure dès qu’on tente une manœuvre un peu osée. C’est précisément là que CyberGhost fait mouche.
Pas besoin d’être ingénieur réseau pour le configurer : l’appli macOS est fluide, bien intégrée, compatible depuis macOS High Sierra (10.13) jusqu’à Sonoma. Et côté iPhone ? Même confort. Une app iOS élégante, réactive, avec un bouton unique pour tout protéger. Vous passez d’un réseau 4G à une borne Wi-Fi douteuse au bistrot ? Un clic, et votre trafic est chiffré.
Streaming ? Aucun souci. CyberGhost dispose de serveurs optimisés pour Netflix US, Prime Video, Disney+, et même France Télé quand vous êtes à l’étranger (coucou les expatriés). La vitesse de connexion est impressionnante : fibre ou pas, on télécharge, on streame, on joue en ligne sans lag ni buffer.
Téléchargement ? On n’est pas là pour juger. Mais si vous utilisez des protocoles P2P, sachez que CyberGhost a des serveurs dédiés, discrets et performants, le tout avec une politique stricte de non-conservation des logs.
Gaming ? C’est l’un des rares VPN à proposer une latence optimisée sur Mac. Pas parfait pour l’eSport, mais largement suffisant pour des sessions sans chute de ping, y compris sur Steam ou Apple Arcade.
Sept appareils protégés en même temps, et votre vie privée, aussi
À ce tarif-là, CyberGhost ne se contente pas de sécuriser un unique appareil : l’abonnement couvre jusqu’à sept connexions simultanées. Mac, iPhone, iPad, mais aussi Android, PC, voire votre routeur domestique si vous voulez tout chiffrer d’un coup. Le tout, avec une seule licence.
Côté confidentialité, le service est hébergé en Roumanie, un pays qui n’appartient à aucun réseau de surveillance comme les Five Eyes. CyberGhost applique une politique stricte de non-conservation des logs, régulièrement auditée, et ses serveurs tournent sans disques durs. Tout passe par la RAM, ce qui garantit que rien ne persiste une fois le serveur redémarré.
Le service est certifié par des audits indépendants, et les serveurs tournent en RAM uniquement : aucune donnée n’est écrite sur disque. Quand c’est coupé, c’est effacé.
Une offre limitée, mais une garantie de 45 jours pour se raviser
On a tous déjà payé pour un service en se disant « ça a l’air bien », avant de s’apercevoir qu’on s’en servira jamais. Là, vous avez 45 jours pour vous faire rembourser. Même si vous avez utilisé le service tous les jours, même si vous avez maté toute la saison 5 de Fargo via un serveur danois. C’est simple, clair, et sans conditions douteuses.
L’abonnement passe de plus de 290 € à 49,05 € pour 2 ans + 4 mois, soit 2,03 €/mois. On parle de 254 € économisés sur un service premium, avec zéro pub et zéro données revendues.
Après de nombreuses années d’attente et de promesses, Spotify lance enfin son mode Lossless, et ce sans surcoût supplémentaire pour les abonnés Premium. Le déploiement a déjà commencé dans plusieurs pays : Australie, Autriche, République tchèque, Danemark, Allemagne, Japon, Nouvelle-Zélande, Pays-Bas, Portugal, Suède, États-Unis et Royaume-Uni.
La France n’est pas encore concernée, mais Spotify assure que la fonctionnalité sera disponible dans plus de 50 pays d’ici octobre, donc on croise les doigts. Un message en français annonçant la nouveauté apparaît déjà à l’ouverture de l’app, ce qui laisse penser que l’Hexagone sera bientôt servi. Les abonnés Premium recevront une notification dans l’application dès que le Lossless sera activé sur leur compte.
Ce nouveau mode permet d’écouter des morceaux en streaming jusqu’en 24 bits / 44,1 kHz au format FLAC, la meilleure qualité proposée par Spotify, donc. Ce n’est toutefois pas le niveau le plus élevé du marché : Apple Music, Tidal et Qobuz offrent du Hi-Res FLAC jusqu’en 24 bits / 192 kHz. Dans les faits, la différence est imperceptible avec le matériel et les oreilles les plus courantes, mais cela chagrinera peut-être les audiophiles très pointilleux. Spotify profitera peut-être de cette marge pour introduire une offre « deluxe » plus chère.
Le Lossless est compatible avec les mobiles, ordinateurs et tablettes, ainsi qu’avec de nombreux appareils prenant en charge Spotify Connect, comme ceux de Sony, Bose, Samsung, Sennheiser et bien d’autres. La compatibilité sera élargie le mois prochain aux enceintes Sonos et aux appareils Amazon.
Le message annonçant l'arrivée prochaine de la nouveauté en France. Image iGeneration.
Le mode Lossless vient s’ajouter aux autres options de qualité sonore dans les réglages. Il doit être activé manuellement sur chaque appareil. Pour une expérience optimale, Spotify recommande d’écouter la musique sans perte avec un appareil connecté en Wi-Fi et avec des écouteurs filaires ou bien des enceintes Spotify Connect. Le Bluetooth, limité en bande passante, compresse en effet le signal.
Spotify Premium est facturé 12,14 €/mois en individuel et 21,24 €/mois en formule familiale (ou 18,21 €/mois sans livres audio pour les abonnés existants). Des tarifs supérieurs à ceux d’Apple Music, proposé à respectivement 10,99 € et 16,99 €/mois.