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Le stockage cloud à vie chez pCloud profite d'une réduction exceptionnelle 📍

Article sponsorisé

lundi 17 novembre à 08:35

Services

Les formules à vie fleurissent à chaque Black Friday. Certaines disparaissent six mois plus tard, laissant les acheteurs avec des comptes fantômes...

Mais pCloud propose ce modèle depuis des années, et leur longévité mérite qu'on s'y attarde.

La question de la viabilité économique

Comment une entreprise survit-elle en ne facturant qu'une fois ? pCloud génère des revenus via trois canaux : les achats uniques de plans à vie, les formules mensuelles pour ceux qui préfèrent étaler, et les modules additionnels (Encryption, Pass) vendus séparément.

Leur base installée de 22 millions d'utilisateurs crée un effet de masse critique. Même si une partie d'entre eux a payé une seule fois, les nouveaux arrivants alimentent le flux de trésorerie. Le modèle tient depuis 2013 ; ce n'est pas une start-up volatile.

Pass : un gestionnaire de mots de passe qui ne vous piste pas

pCloud Pass appartient à cette catégorie de logiciels qui ne devraient plus être optionnels. Générer des mots de passe complexes, les stocker chiffrés, les remplir automatiquement : c'est la base d'une hygiène numérique décente.

La différence avec les concurrents comme Bitwarden ou 1Password ? Pass est intégré à l'écosystème pCloud. Si vous prenez déjà le pack 3en1, vous n'avez pas à jongler entre plusieurs abonnements. Et contrairement aux gestionnaires gratuits qui monétisent vos métadonnées, Pass fonctionne avec le même chiffrement côté client que le reste de pCloud.

Compatibilité complète : navigateurs (Chrome, Firefox, Safari, Edge), applications mobiles (iOS, Android), extensions pour tous les systèmes. La synchronisation est instantanée. Vous créez un mot de passe sur votre ordinateur, il apparaît sur votre téléphone.

Collaboration : partager sans perdre le contrôle

Le télétravail a transformé le partage de fichiers en geste quotidien. pCloud permet trois approches graduées.

  1. Les liens publics : vous générez une URL, quiconque la possède accède au fichier. Pratique pour envoyer un document volumineux sans saturer une boîte mail.
  2. Les invitations de dossiers : vous ajoutez des collaborateurs spécifiques, ils voient et modifient le contenu en temps réel.
  3. Les requêtes d'archives : vous créez un lien que d'autres utilisent pour déposer des fichiers dans votre espace. Utile pour collecter des livrables auprès de plusieurs personnes.

pCloud Backup s'occupe de sauvegarder automatiquement les dossiers critiques de votre machine. Si votre disque dur rend l'âme, vous récupérez tout. C'est inclus, pas un module supplémentaire.

La galerie photo : un détail qui change tout

Accumuler 50 000 photos et ne jamais les regarder, c'est le drame moderne. pCloud Photos tente de résoudre ça en organisant automatiquement vos images par date. L'interface affiche une timeline, vous sautez directement à 2018, 2015, 2009. Vous excluez les dossiers professionnels pour ne conserver que les moments personnels.

L'éditeur photo n'est pas Photoshop. Mais pour ajuster rapidement la luminosité d'un portrait, appliquer un filtre Vintage à une photo de voyage, ou recadrer un cliché mal cadré, il suffit. Et surtout, vos fichiers ne quittent jamais l'environnement pCloud. Pas d'export vers une application tierce qui pourrait les indexer ou les analyser.

Souveraineté : où dorment vos données ?

pCloud vous fait choisir entre deux zones géographiques : Luxembourg (Europe) ou États-Unis. Cette décision a des implications légales. Le Luxembourg applique le RGPD, avec ses contraintes strictes sur l'exploitation des données personnelles. Les États-Unis obéissent à des régulations différentes, notamment le CLOUD Act qui autorise certaines réquisitions gouvernementales.

La domiciliation suisse de pCloud ajoute une couche. La Suisse n'appartient ni à l'UE ni aux accords de surveillance des Five Eyes. Les procédures d'accès aux données y sont plus lourdes.

Combiné au chiffrement côté client d'Encryption, votre configuration devient résistante à la plupart des scénarios d'intrusion administrative ou judiciaire. Ce n'est pas de la paranoïa : c'est de l'ingénierie.

Les promos du Black Friday

  • Pack 3en1 : 599 € (-60 %)
  • 1 To : 199 € (-54 %)
  • 2 To : 279 € (-53 %)
  • 10 To : 799 € (-58 %)

Calculons pour le 2 To. Un abonnement Dropbox Plus (2 To) coûte 11,99 € par mois, soit 143,88 € par an. Sur cinq ans : 719,40 €. Sur dix ans : 1 438,80 €. pCloud demande 279 € une fois. Même en ajoutant l'inflation, l'écart demeure considérable

À qui ça s'adresse ?

Si vous payez déjà un abonnement cloud mensuel et que vous commencez à calculer combien ça coûtera sur une décennie, cette offre a du sens. Si vous jonglez entre trois services (cloud, gestionnaire de mots de passe, chiffrement), le pack 3en1 centralise tout.

Si vous manipulez des données sensibles (dossiers médicaux, informations financières, contrats juridiques) le chiffrement côté client d'Encryption justifie à lui seul l'investissement.

La promotion court jusqu'au 29 novembre. Après, les tarifs remontent. Ce n'est pas une tactique d'urgence artificielle : pCloud fait ce Black Friday chaque année, mais les prix en dehors restent effectivement plus élevés. À vous de décider si l'équation fonctionne !

👉 Je fonce sur l'offre pCloud du Black Friday 2025

Apple TV propose une promo pour garder ses abonnés grâce à un nouveau dispositif de l’App Store

Nicolas Furno

lundi 17 novembre à 08:20

Services

En voulant résilier mon abonnement Apple TV avant la fin du renouvellement, j’ai eu la surprise de voir cette interface qui me proposait une alternative. Je pouvais annuler le service de streaming normalement, ou alors rester abonné quelques mois de plus pour un prix réduit. Au lieu des 9,99 € par mois normalement demandés, Apple me proposait ainsi deux mois à 4,99 €, avant de repasser sur le tarif normal au-delà.

L’écran de l’app TV qui me propose un choix : annuler immédiatement Apple TV ou bien prolonger mon offre à tarif réduit. Image iGeneration.

Ce type d’offres n’a rien de révolutionnaire dans le milieu, c’est même assez classique. Les entreprises préfèrent vous garder comme client abonné, avec un moyen de paiement toujours actif associé à votre compte, quitte à perdre un petit peu d’argent au passage. C’est une meilleure option que d’espérer votre retour par la suite et c’est un choix rationnel pour l’entreprise. Si ces propositions étaient beaucoup plus fréquentes à l’époque où il fallait systématiquement appeler le service client pour annuler son abonnement, elles n’ont pas disparu.

De fait, je n’ai pas eu cette offre commerciale en appelant Apple TV, c’est un tout nouveau mécanisme imaginé par l’App Store qui a été mis en œuvre ici. Une nouvelle API, présentée au cours de l’été, est toujours en développement et elle n’est toujours pas accessible publiquement, même si d’autres développeurs peuvent demander un accès. En attendant, le concurrent pommé de Netflix semble être le premier à l’activer et après un simple message incitant à rester abonné au même prix, l’entreprise exploite maintenant la possibilité d’offrir une promotion aux clients.

App Store : une nouvelle API pour convaincre les clients de ne pas se désabonner

App Store : une nouvelle API pour convaincre les clients de ne pas se désabonner

Je ne prévois pas de profiter de cette offre pourtant généreuse, car j’ai vu tout ce que je voulais sur le service de streaming. Pluribus ne sera pas complète avant le 26 décembre et il faudra également attendre plusieurs semaines pour que les nouvelles saisons de Palm Royale ou même de Shrinking soient complètes. Je m’abonnerai probablement plutôt à la fin de l’hiver, pour davantage rentabiliser mon mois d’abonnement.

Si vous regardez ces séries à la semaine, vous pouvez tenter le coup de bluff en faisant un tour sur l’écran de résiliation de votre abonnement. Qui sait, vous aurez peut-être deux mois à prix réduit, vous aussi…

iPhone Air (805 €), iPad A16 (324 €) et iPad Air M3 (464 €) : les meilleures offres du jour

Christophe Laporte

dimanche 16 novembre à 17:30

iPhone

Entre un iPhone Air qui tombe à 805 €, un iPad A16 presque à son prix plancher (324 €) et un iPad Air M3 affiché à 464 €, les promotions du jour valent le détour. Code BLACK15 obligatoire dans tous les cas.

iPhone Air : le compte à rebours avant les 800 €

Il s’agit d’un petit jeu que l’on mène en interne. N’hésitez pas à participer dans les commentaires. La question est simple : à quelle date l’iPhone Air passera-t-il sous la barre des 800 € ? On n’en est plus très loin.

Aujourd’hui, vous pouvez obtenir le téléphone mal-aimé d’Apple pour 805 €. Pour bénéficier de ce tarif, il suffit d’entrer le code BLACK15 lors de la commande.

La chute des prix de l’iPhone Air reste impressionnante. Rappelons que ce modèle est vendu 1 229 € sur l’Apple Store. Dès la mi-octobre, il était déjà passé sous les 900 € chez Rakuten. Depuis, son tarif poursuit sa dégringolade et se rapproche dangereusement du seuil des 800 €.

Image : Apple

Il s’agit d’un modèle d’importation référencé A3260. Aucun problème particulier à signaler : ce modèle en provenance des USA gère davantage de bandes réseau que la version européenne, ce qui en fait même un compagnon de voyage idéal, notamment si vous vous rendez en Amérique.

Si vous hésitez à acquérir ce modèle, nous vous proposons deux lectures : notre test de l’iPhone Air et le retour des possesseurs d’iPhone Air sur notre forum. A vous de vous faire votre avis.

Promo : l’iPad A16 à 324 €

Si vous cherchez un iPad à prix réduit, cette promotion mérite également le détour. L’iPad A16 tombe à 324 €, soit quasiment son plus bas niveau à ce jour.

Il s’agit d’un modèle d’importation vendu sur Rakuten. Pour obtenir ce tarif, il faut là aussi saisir le code BLACK15. À noter que le même modèle est proposé à 349 € sur Amazon. À vous de trancher.

L’iPad A16 n’a sans doute pas les prétentions des modèles Pro, mais il reste un très bon compromis pour la navigation web, la bureautique légère ou les usages multimédias du quotidien. La présentation d’iPadOS 26 a d’ailleurs remis un coup de projecteur sur cette gamme, toujours appréciée pour son excellent rapport qualité-prix.

Test de l

Test de l'iPad A16 : il fait l'essentiel sans zèle

Dans notre test, l’iPad A16 avait récolté la note de 3/5. Nous avions salué ses performances solides, ses 128 Go de stockage en standard et un tarif bien positionné. En revanche, son écran montrait clairement son âge, et l’absence de compatibilité avec Apple Intelligence pouvait refroidir les utilisateurs les plus technophiles.

Reste qu’à ce prix, on se montre logiquement moins exigeant sur la qualité de la dalle. D’autant que, pour la majorité des usages quotidiens, ChatGPT ou d’autres outils en ligne peuvent aisément compenser l’absence des fonctions d’Apple Intelligence.

Promo : l’iPad Air M3 à 464 €

Reste que si votre budget le permet, nous ne pouvons que vous recommander de mettre un peu plus et d’opter pour l’iPad Air M3, proposé aujourd’hui à 464 €. Il a rarement été affiché à un tarif aussi attractif. Plusieurs références figurent dans la liste ; nous vous conseillons celle vendue par OnePro.

Image : iGeneration

Pour 140 € de plus, vous accédez à une tablette nettement plus puissante, avec une durée de vie logicielle qui sera sans doute bien supérieure. Elle est également bien mieux taillée pour tirer parti d’iOS 26. Là encore, il s’agit d’un modèle d’importation, ce qui n’a jamais posé problème pour un iPad. N’oubliez pas de saisir le code BLACK15 lors de la commande.

Test des iPad Air M3 : ils ne manquent pas d’air

Test des iPad Air M3 : ils ne manquent pas d’air

iPadOS sur iPhone 17 Pro Max : un hack qui pose les bonnes questions

Christophe Laporte

samedi 15 novembre à 22:02

iPhone

Oui, vous ne rêvez pas : il s’agit bel et bien d’un iPhone 17 Pro Max faisant fonctionner iPadOS 26. Il est assez étonnant de voir un Dock omniprésent tout en bas d’un iPhone, des fenêtres se chevaucher…

À l’heure de l’intelligence artificielle générative, on pourrait crier au fake. Sauf que son auteur, Duy Tran, est un habitué de l’exercice. Il y a quelques mois, il avait publié une vidéo du même style dans laquelle on voyait des applications macOS fonctionner sur un iPhone XS

Un bidouilleur fait tourner des applications macOS sur un iPhone XS

Un bidouilleur fait tourner des applications macOS sur un iPhone XS

Sur X, il explique exploiter une faille connue depuis un certain temps déjà permettant de modifier MobileGestalt. Selon lui, cette faille est utilisée pour contourner certains mécanismes d’iCloud. La mauvaise nouvelle, c’est que ses expérimentations vont bientôt prendre fin. La faille en question a été rapportée à Apple, qui l’a corrigée dans la dernière bêta d’iOS 26.2.

iOS 26.2 bêta 2 : tour d’horizon des nouveautés

iOS 26.2 bêta 2 : tour d’horizon des nouveautés

Quels éléments d’iPadOS sur un iPhone pliable ?

iPadOS sur iPhone peut prêter à sourire en 2025, mais la question se posera sans doute autrement lorsque Apple sortira son iPhone pliable l’année prochaine. Déplié, ce modèle pourrait atteindre une diagonale d’écran de 7,8 pouces, soit à peu de chose près la taille d’un iPad mini.

Tout ce que l

Tout ce que l'on sait du futur et premier iPhone pliant

Cela soulève deux ou trois questions intéressantes. Est-ce que le téléphone pliable d’Apple reprendra certains éléments d’interface d’iPadOS ? Sera-t-il équipé d’un Dock ou encore d’un système de gestion de fenêtres ? Cela commence à être envisageable.

Il y a un dernier point qui n’a pas encore beaucoup été évoqué dans les rumeurs : la prise en charge de l’Apple Pencil. En 2019, il s’était murmuré que l’iPhone 11 Pro Max pourrait le prendre en charge. Cela n’avait pas été le cas. Mais avec un écran aussi grand, la question devrait, là aussi, revenir sur la table.

La rumeur du support de l

La rumeur du support de l'Apple Pencil sur les iPhone refait surface

Apple Pay : vers une intégration plus limpide du réseau Conecs pour les titres-restaurant

Stéphane Moussie

samedi 15 novembre à 11:59

iPhone

Conecs, le réseau qui sous-tend la majorité des cartes de titres-restaurant en France, est en passe d’être pris en charge nativement sur Apple Pay. Une évolution qui devrait fluidifier les transactions liées à ces titres spéciaux.

D’après des ressources dénichées par @aaronp613, iOS 26.2 pourrait ajouter la compatibilité Apple Pay pour les cartes Conecs en France. Conecs, c’est l’opérateur technique qui gère les transactions des titres-restaurant, comme Edenred (Ticket Restaurant), Pluxee ou UpDéjeuner. C’est en quelque sorte l’équivalent de Visa ou Mastercard, mais spécialisé dans ce mode de paiement réservé aux salariés. On reconnait les cartes compatibles au logo « Conecs » inscrit dessus.

Image Conecs

Là, vous vous dites peut-être : « mais ma carte Edenred/Swile/UpDéjeuner/autre est déjà dans Wallet et je paie mes repas avec depuis des années. » C’est vrai, mais cela cache plusieurs subtilités. Il faut plonger dans la mécanique de la monétique pour comprendre ce qui se joue.

D’un côté, certaines cartes, notamment celle de Swile, s’appuient essentiellement sur le réseau Mastercard, comme une carte bancaire classique. De l’autre, certaines cartes physiques sont cobadgées, c’est-à-dire qu’elles sont compatibles à la fois avec Conecs et un autre réseau de paiement.

Lorsque ces cartes cobadgées sont utilisées via Apple Pay, c’est le second réseau qui prend le relais, puisqu’Apple Pay ne gère pas encore Conecs. En conséquence, le terminal de paiement du restaurateur ou du commerçant ne reconnait pas la transaction comme un titre-restaurant, les plafonds et restrictions alimentaires ne s’appliquent pas automatiquement, et les remboursements ne suivent pas le circuit traditionnel. C’est plus souple pour le client, mais moins fiable pour le commerçant, qui subit aussi une commission supplémentaire.

Image Edenred

Vers une prise en charge de Conecs plus limpide

Comme l’explique Numerama, dans le cas de Swile, sa carte Mastercard intègre les règles légales : le terminal voit un paiement bancaire standard et c’est Swile qui applique en temps réel les contraintes propres aux titres-restaurant, comme le plafond quotidien de 25 €.

Quand une carte dématérialisée Conecs passe par un contournement — on dit qu’elle est « tokénisée » via Visa/Mastercard/CB — , elle est traitée comme une carte bancaire ordinaire. Le terminal ne détecte plus un titre-restaurant et ses règles ne sont plus appliquées automatiquement. L’émetteur tente alors de rattraper tout cela côté serveurs, avec une fiabilité inégale. D’où la volonté de mieux intégrer Conecs dans ce parcours.

La prise en charge prochaine de Conecs sur Apple Pay n’est pas une surprise. Lors d’une table ronde organisée en mars, Renan Le Bot, un des dirigeants du groupement CB, avait annoncé que l’intégration serait prête « avant l’été ». Elle aura pris manifestement plus de temps que prévu, mais elle semble désormais imminente.

Le réseau franco-français CB, qui s'attache depuis quelques années à contrer les Américains Mastercard et Visa sur le paiement mobile, va conserver un rôle primordial, servant de partenaire pour l’intégration. « On a choisi CB comme partenaire pour nous digitaliser. Ça nous permet, vis-à-vis des X-Pay [portefeuilles mobiles, ndlr], de mutualiser les investissements », expliquait alors Astrid Hémain, directrice marchands et opérations chez Pluxee.

Après Apple Pay, CB prévoyait de rendre Conecs compatible avec Google Pay « après l’été ». Quant à Samsung Pay, aucun projet n’était sur la table au printemps dernier, faute d’« appétence » du secteur à ce stade.