Il y a quelques semaines, Apple retardait la sortie d'une série Apple TV avec Jessica Chastain, The Savant. La série devait sortir fin septembre, mais se trouve toujours dans les limbes du service d'Apple. Cette semaine, c'est une autre série Apple TV qui disparaît : The Hunt (Traqués en français). La série française avait été annoncée fin septembre pour une sortie début décembre, mais elle a totalement disparu des radars.
Une image encore en ligne. Image Apple.
Le communiqué de presse de lancement de la série avec Benoît Magimel et Mélanie Laurent renvoie sur une erreur 404, la page de la série indique qu'elle n'est plus disponible, la page officielle n'est plus en ligne et la bande-annonce a été supprimée de YouTube. Vous l'avez compris, Apple a traqué (🥁) toutes les informations sur cette série pour les faire disparaître, à quelques semaines de la sortie.
Traqués. Image Apple.
Pour le moment, il n'y a aucune raison évoquée pour cette disparition. Dans le cas de The Savant, c'était nettement plus explicite : la série devait montrer Jessica Chastain luttant contre des terroristes d'extrême droite, et le contexte — l'assassinat de l'influenceur d'extrême droite Charlie Kirk — ne s'y prêtait visiblement pas. Pour The Hunt, la raison est plus nébuleuse. Mais ce n'est visiblement pas une sortie retardée, tant toutes les informations sur la série ont été supprimées, façon 1984.
Le synopsis selon Allociné, comme Apple a supprimé toutes les informations.
Franck et ses amis passent leurs weekends à chasser ensemble. Ils se retrouvent un jour face à un groupe de chasseurs qui les prend pour cible sans raisons apparentes. L’un d’entre eux est touché. Franck et ses amis répliquent puis réussissent à s’échapper de justesse. Ils décident de garder l'incident secret, et Franck tente de reprendre une vie normale aux côtés de sa femme Krystel. Mais très vite, le groupe se sent observé, et pire, traqué par ces hommes qui semblent prêts à tout pour se venger...
À l’occasion du Black Friday, le chargeur MagSafe Apple 25 W avec câble d’un mètre est en promotion à 34 € au lieu de 49 € sur Amazon. C’est le prix le plus bas à ce jour. Ce galet magnétique permet de recharger par induction les iPhone 16 et les iPhone 17 jusqu’à 25 W, soit la puissance sans fil maximale. Avec les iPhone 12 à 15, la puissance est de 15 W. Et avec les plus anciens, elle est seulement de 7,5 W.
Un iPhone 16 qui charge en MagSafe à près de 25 W. Image iGeneration.
Le chargeur MagSafe de 1re génération est lui aussi en promo autour de 34 €, mais il est limité à 15 W, alors autant choisir celui qui peut grimper jusqu’à 25 W.
Le galet d’Apple est le chargeur magnétique pour iPhone toujours le plus compact à ce jour. Il peut s’intégrer dans divers accessoires, notamment des supports, pour être utilisé un peu différemment. Compatible Qi2, il peut aussi alimenter beaucoup d’autres appareils, comme des smartphones Android ou le boîtier des AirPods.
Île-de-France Mobilités avait rassemblé la presse hier, jeudi 20 novembre 2025, à l’occasion du lancement officiel de nouveaux terminaux de paiement dans les bus de la région. Pour les usagers particuliers, il est maintenant possible d’acheter un ticket à l’unité en utilisant une carte bancaire sans contact ou son iPhone ou Apple Watch grâce à Apple Pay. Le ticket est alors vendu plus cher (2,5 €) qu’en l’achetant en amont sur un passe Navigo ou son smartphone (2 €) et il ne peut pas servir pour une correspondance. Reste que c’est la première fois que l’on peut emprunter les transports en commun franciliens uniquement avec une carte de paiement et sans acheter de titre de transport.
Est-ce une initiative appelée à être généralisée à tous les modes de transports en commun de la capitale ? Rien n’est tranché encore, mais Île-de-France Mobilités a confirmé à nos confrères de Numerama que des réflexions étaient en cours et qu’une décision allait être prise d’ici le mois d’avril 2026. Comme dans de nombreuses autres villes françaises (Lyon, Bordeaux, Toulouse…) et surtout comme à Londres qui montre l’exemple depuis 13 ans, la régie des transports pourrait adopter le standard Open Payment. Cela permettrait alors de voyager avec une carte bancaire physique ou bien sa variante virtuelle stockée dans un smartphone, sans avoir à acheter un ticket au préalable.
Pour rappel, le principe est simple : en entrant sur le réseau de transports en commun, on s’enregistre grâce à une empreinte bancaire liée à sa carte de paiement. À chaque correspondance, on utilise la même carte et les éventuels coûts associés sont ajoutés à sa note virtuelle, jusqu’à atteindre un plafond quotidien. En fin de journée, la somme nécessaire est prélevée, soit le plafond en question, soit moins si on a peu voyagé. Du point de vue des utilisateurs, c’est vraiment très simple, mais c’est du côté de l’organisme en charge des transports que cela peut coincer.
De fait, si la région Île-de-France adoptait le système, il faudrait remplacer tous les portiques pour leur ajouter un lecteur de carte bancaire. Même en partant de l’hypothèse que l’on pourrait supprimer les portiques de sortie grâce à la bascule sur le ticket unique1, le projet coûterait tout de même plus de cent millions d’euros et ce serait un chantier immense, le plus gros pour IDFM puisqu’il impliquerait une refonte totale du système de gestion des tickets.
Le système actuel repose sur la puce NFC des smartphones et permet même d’acheter des tickets depuis l’app Cartes d’iOS. Impressionnant, mais pas forcément plus simple à comprendre qu’un paiement direct avec Apple Pay. Image iGeneration.
C’est probablement le frein principal et Valérie Pécresse semblait moins enthousiaste que ses propres équipes à ce sujet, si l’on en croit les propos rapportés par Numerama. La région voudrait s’assurer que cela apporterait un vrai gain aux usagers, en particulier ceux qui n’habitent pas sur place et qui sont souvent perdus avec le système actuel. Pour l’avoir tout juste expérimenté moi-même, je confirme que c’est une horreur incompréhensible, alors j’espère de tout cœur que l’on aura à terme la simplicité de l’Open Payment dans la capitale.
L’implémentation actuelle enfin complète au printemps 2026
En attendant, Île-de-France Mobilités en a aussi profité pour annoncer que le système actuel va enfin être complété au printemps 2026. Le Navigo sur mobile, qui présente surtout l’avantage de ne pas avoir nécessité de changement matériel sur le réseau, ne gérait toujours pas les abonnements annuels et les cartes Imagine R des étudiants. Ce devrait finalement être le cas dans quelques mois et les abonnés devraient alors pouvoir ajouter une copie virtuelle de leur carte en plastique dans leur téléphone ou sur leur montre connectée.
Ces abonnés étaient très nombreux, puisque les deux offres sont les plus avantageuses pour tous ceux qui prennent les transports en commun tous les jours. Jusque-là, ces usagers devaient continuer de valider avec la carte Navigo en plastique et la version mobile ne gérait que les titres pour les usagers occasionnels ainsi que les abonnements mensuels. On savait que les options annuelles devaient arriver en 2026, on ne savait pas quand exactement. L’attente ne devrait plus être trop longue…
On peut désormais acheter un ticket à 2,5 € pour les métros et RER qui couvre toutes les zones. Le ticket à 2 € destiné aux bus et tramways est facturé 2 € et de la même manière, il est valable partout. Les portiques de sortie étaient indispensables pour savoir quelles zones vous empruntiez et facturer en fonction de ce critère, mais tout cela n’est plus d’actualité pour les tickets individuels. Ça reste nécessaire pour les abonnements Navigo qui se font toujours sur la base des zones, peut-être que cela changera toutefois à terme. ↩︎
Google a surpris son monde hier en ouvrant une passerelle permettant de partager facilement des fichiers entre un iPhone et un Pixel 10. Concrètement, une mise à jour logicielle rend interopérables AirDrop et son équivalent sur Android, Quick Share.
Passé l’effet de surprise, une question s’est rapidement imposée : comment une telle passerelle a-t-elle pu être mise en place sur le plan technique ? D’autant que si Google a multiplié les prises de parole à ce sujet, Cupertino, de son côté, brille par son silence.
De quoi alimenter un scénario qui a vite circulé sur les réseaux : et si Google avait développé cette fonctionnalité sans l’accord d’Apple ? Interrogé par Android Authority, le groupe a réagi via un communiqué :
Nous avons accompli cela grâce à notre propre implémentation. Celle-ci a été minutieusement examinée et validée par nos équipes internes en charge de la confidentialité et de la sécurité, et nous avons également fait appel à une société tierce spécialisée en sécurité pour tester la solution par des tests d’intrusion.
Autrement dit, Google a développé cette solution de son côté. Apple a-t-il été consulté d’une manière ou d’une autre ? Difficile à dire. Derrière cette initiative, on retrouve en tout cas une volonté claire : rapprocher les utilisateurs des deux plateformes et s’attaquer au fameux « syndrome de la bulle verte », qui irrite une partie du public. Voici ce qu’un porte-parole de Google a déclaré peu après le lancement de cette fonctionnalité :
Notre objectif est d’offrir à nos utilisateurs une expérience de partage de fichiers simple et sécurisée, quelle que soit la personne avec laquelle ils communiquent. Comme pour le RCS et les alertes de traqueurs inconnus, nous accueillons toujours favorablement les opportunités de collaboration afin de résoudre les problèmes d’interopérabilité entre iOS et Android
Que va faire Apple ?
Comme nous l’expliquions récemment, les relations entre Apple et Google sont complexes. Les deux sociétés savent parfois travailler main dans la main, comme on l’a vu avec l’intégration du RCS dans Messages, la détection des traqueurs inconnus ou encore la simplification du transfert de cartes SIM entre smartphones. À l’inverse, sur certains terrains, elles se rendent coup pour coup.
Manifestement, cette affaire « AirDrop » relève plutôt de la seconde catégorie. Jusqu’ici, Cupertino n’a jamais vu d’un très bon œil les initiatives visant à créer des passerelles non officielles entre iPhone et Android, surtout lorsqu’elles empiètent sur ses services maison. L’épisode Beeper en est un bon exemple.
En rétro-ingénierant iMessage et ses mécanismes de chiffrement, l’application était parvenue à faire apparaître des bulles bleues sur Android. Une prouesse technique, mais qu’Apple avait rapidement neutralisée en bloquant l’accès à ses serveurs.
Beeper voulait centraliser toutes les messageries
Le cas de Google est toutefois d’une autre ampleur. D’abord par son poids : on ne parle pas d’une start-up, mais de l’un des géants du secteur. Ensuite par la méthode : l’annonce est publique, le déploiement déjà amorcé, et la fonctionnalité présentée comme officielle, avec un volet sécurité mis en avant.
Pourquoi le cas Google n’est pas celui de Beeper
Surtout, le contexte a changé. AirDrop est aujourd’hui dans le viseur de la Commission européenne, qui souhaite voir émerger de la concurrence sur iOS. L’objectif affiché de Bruxelles est clair : renforcer l’interopérabilité entre plateformes.
Dans ce cadre, une réaction brutale de la part d’Apple lui donnerait du grain à moudre. À l’inverse, tolérer — même tacitement — cette « porte dérobée » offrirait à la firme un argument politique à faire valoir. Une sorte de partie de billard à plusieurs bandes, à haut risque.
Entre les pressions réglementaires croissantes, notamment en Europe, et les débats récurrents autour de l’ouverture de son écosystème, un blocage frontal de cette interopérabilité pourrait aujourd’hui coûter plus cher à Apple qu’un simple laisser-faire. Reste à voir si Cupertino choisira de temporiser… ou de replonger dans un bras de fer.
En lançant ce projet, Google savait très probablement que le terrain était miné. Et sur ce terrain-là, le coup est plutôt bien joué.
En l’espace de quelques années, les AirTags se sont imposés dans le quotidien de nombreux utilisateurs. Lorsqu’on y a goûté, il devient difficile de s’en passer tant le réseau Localiser brille par sa précision.
Le principal défaut des AirTags, finalement, reste leur prix : 29,99 € l’unité et 110 € le pack de quatre. Et encore, il s’agit là de tarifs en promotion : Apple vend le traqueur 39 € (et on a déjà vu de meilleures offres par le passé). Mais si vous souhaitez acheter des AirTags en particulier, mieux vaut patienter : la deuxième génération est attendue d’un moment à l’autre.
Si vous voulez des traqueurs en format jeton, c'est-à-dire qui s'accrochent à des clés ou se glissent dans un sac, il y a un large choix de modèles compatibles. Les traqueurs tiers perdent la localisation précise à courte distance, qui reste l'apanage des AirTags (et qui nécessite un iPhone récent, sauf le 16e), mais tous les modèles intègrent a minima un trou pour accrocher le traqueur à des clés (par exemple), alors qu'Apple impose une housse pour cet usage basique.
Si les modèles noname se trouvaient uniquement sur Aliexpress et autres (comme l'iTag) il y a quelques années, vous trouverez facilement des modèles à bas prix sur Amazon — comme ici, à 17 € les quatre — ou tout simplement dans les chaînes de magasins spécialisés. Action, Kruidvat et d'autres proposent des traqueurs dans le même ordre de prix (vers 5 € pièce), mais ils ont généralement quelques défauts... et ne sont pas disponibles en ligne. Ils font le boulot pour retrouver un objet perdu grâce au réseau d'Apple, mais la finition est moyenne, l'autonomie plus faible que chez Apple (plutôt de l'ordre de six mois lors de nos tests empiriques) et ils manquent parfois de stabilité (vous devrez parfois enlever et remettre la pile). Nous n'allons pas vous les déconseiller pour autant : si vous êtes conscients des limites, ils font le travail demandé pour un prix très faible.
Des traqueurs noname.
Entre les AirTags et les modèles à très bas prix, il y a quelques marques qui tentent de trouver une place. Nous pouvons citer eufy — nous avons testé un de leurs modèles — ou Ugreen (nous les avons aussi testés). Les traqueurs eufy ou Ugreen valent entre 10 et 15 € lors des promotions (9 € chez Ugreen pour le Black Friday) et dans les deux cas, vous pourrez en obtenir quatre pour à peu près le prix d'un seul AirTag (35 € chez eufy, 30 € chez Ugreen). Ils offrent une meilleure finition, une petite protection contre les projections d'eau et — selon nos essais — une bien meilleure autonomie. Un de nos traqueurs eufy a par exemple fonctionné presque 18 mois sur une pile CR2032, avec une vérification régulière de son fonctionnement. Eufy a aussi ajouté quelques fioritures avec une app iOS dédiée, alors qu'Ugreen, pour les amateurs, a aussi une gamme pour les smartphones Android ou les smartphones Samsung et une variante qui se recharge en USB-C. Il faut aussi évoquer Chipolo, une marque qui propose plus de fonctions sur ses traqueurs (comme une compatibilité Android) mais qui sont à un prix trop proche des AirTags (35 €, 28 € pendant le Black Friday) pour devenir réellement intéressants.
Ces petites balises ne sont cependant pas adaptées à tous les usages. Il est par exemple assez difficile de les glisser dans un portefeuille. Les différents fabricants ont donc pensé à ce cas de figure, avec trois générations de produits. La première génération (comme la carte d'eufy) est à éviter : ce sont des cartes jetables, qui offrent une bonne autonomie (deux à trois ans) avec un compromis gênant : la batterie n'est pas amovible ni rechargeable. Une fois qu'elle est vide, il faut donc en racheter un. La seconde génération intègre la possibilité de charger la batterie, avec un câble USB et une interface généralement propriétaire. Un choix intéressant, mais il faudra évidemment éviter de perdre le chargeur. Enfin, quelques modèles proposent aussi une charge en Qi. C'est une solution pratique, le même chargeur qu'un smartphone suffit, mais qui a le défaut de réduire un peu l'autonomie.
Le produit le plus simple — et le moins cher — est encore à mettre au crédit d'Ugreen. Vendu moins de 20 €, le FineTrack Slim Smart Finder Tag peut se glisser dans un portefeuille sans le déformer et le prix est correct. La carte se recharge avec un câble USB propriétaire, mais la marque offre un bon suivi, et le produit est bien fini. Eufy propose une carte équivalente pour environ 25 €, avec les mêmes contraintes sur la charge, mais avec le choix d'une prise USB-C femelle, qui simplifie les choses.
Nomad propose également une gamme intéressante avec la Tracking Card Air (35 €, 26 € en promotion) et la nouvelle Tracking Card Pro (45 €). Cette dernière, tout juste annoncée, est particulièrement bien pensée. L’accessoiriste a conçu son traqueur de manière à ce qu’il ressemble presque trait pour trait à une carte de crédit. Futé ! Et surtout, les deux cartes se rechargent en Qi (et donc en MagSafe), ce qui simplifie les choses : vous ne risquez pas de perdre l'adaptateur USB propriétaire que vous n'utilisez qu'une fois tous les six mois.
Les vols de vélo sont malheureusement un véritable fléau. Même avec un bon antivol, on n’est jamais totalement à l’abri d’une mauvaise surprise. Les traqueurs Bluetooth qui utilisent le réseau d'Apple offrent donc un bon compromis entre efficacité et prix. Les modèles GPS de certaines grandes marques sont un peu plus efficaces et peuvent vous communiquer directement la position du vélo, mais ils sont aussi beaucoup plus onéreux et moins discrets.
C’est là que l’idée d’AirBell devient intéressante. La marque propose une sonnette de vélo dotée d’un compartiment suffisamment discret pour accueillir un AirTag. L’accessoire est vendu un peu moins de 20 € (12 € pendant le Black Friday), ce qui en fait une solution simple et efficace pour ajouter une couche de sécurité supplémentaire à votre deux-roues, avec une solution assez discrète.
Le fabricant commercialise également une version Pro, plus aboutie encore. Cette fois, nul besoin d’insérer votre propre AirTag : le traqueur est directement intégré dans la sonnette. Le tout pour 45 € (31 € en promotion). L’AirBell Pro peut fonctionner jusqu’à un an sans intervention. Et lorsque la batterie arrive en fin de vie, le remplacement est on ne peut plus simple : l’appareil utilise une pile bouton CR2032, un format standard que l’on trouve partout et qui se change en quelques secondes. Le fabricant Obrit dispose d'un modèle du même genre, qui se visse directement sur le cadre et offre une autonomie de trois ans selon le constructeur, avec deux piles CR2032, le tout pour 45 €.
Le chargeur de voyage qu’on n’oublie plus
Il vous est sans doute déjà arrivé d’oublier un chargeur dans un hôtel ou un Airbnb. Twelve South pense avoir trouvé la parade avec le PlugBug, le tout premier chargeur USB-C compatible avec le réseau Localiser d’Apple. Livré avec plusieurs adaptateurs internationaux, ce bloc est pensé pour les déplacements et pour éviter ce genre de mésaventure. Proposé en deux versions (50 W ou 120 W), il vise clairement les voyageurs qui veulent un chargeur unique capable d’alimenter tous leurs appareils…
Image : iGeneration
Le chargeur 50 W doté de deux ports USB-C est proposé actuellement à 60 €.
Les voyages peuvent aussi rimer avec stress : bagage perdu, valise oubliée à l’aéroport… Pour limiter ces désagréments, SBS propose le Track My Lock, un cadenas TSA doté d’un localisateur compatible avec le réseau Localiser d’Apple. Il offre un verrouillage à combinaison à trois chiffres, une alarme sonore d’environ 60 dB et se recharge en USB-C, le tout dans un format compact (45 × 43 × 14 mm) et léger. L’idée est simple mais pertinente : associer protection physique et géolocalisation intelligente pour permettre aux utilisateurs de suivre leurs bagages sur leur iPhone ou d’être alertés en cas d’oubli. Prix : 30 € (20 € en promotion). Pour les bagages, Satechi a aussi des modèles prévus pour se fixer sur une valise, avec de quoi écrire votre nom et une batterie rechargeable en Qi. Ils sont vendus 45 €, mais la marque est une habituée des promotions et il est à 30 € pour le Black Friday.
Pour terminer, rappelons que certains produits Apple participent aussi au réseau et fonctionnent de facto comme un traqueur. Le porte-cartes MagSafe de la marque peut se localiser s'il est détaché de son iPhone, et le boîtier des AirPods Pro 3 est un traqueur comme un autre.