Ouvrir le menu principal

iGeneration

Recherche

Actualités

Attendre l’iPhone 18 Pro ou craquer pour le 17 Pro ? Nos dix raisons pour trancher

Christophe Laporte

jeudi 20 novembre à 07:19

iPhone

C’est la bonne surprise de l’année pour Apple. Les ventes d’iPhone ont à nouveau le vent en poupe depuis plusieurs mois. Le phénomène s’est accéléré avec la commercialisation de la nouvelle gamme à la rentrée, qui se trouve enfin assez facilement dans le commerce.

Où trouver un iPhone 17, 17 Pro et 17 Pro Max en stock ? 🆕

Où trouver un iPhone 17, 17 Pro et 17 Pro Max en stock ? 🆕

La question que vous vous posez peut-être après avoir lu nos tests — et les nombreux retours glanés sur Internet — est toute simple : faut-il craquer dès aujourd’hui pour un iPhone 17 Pro ou patienter jusqu’à son successeur l’année prochaine ? Pour vous aider à trancher, nous avons rassemblé plusieurs arguments qui devraient vous permettre d’y voir plus clair.

Test des iPhone 17 Pro et 17 Pro Max : le Pro est-il devenu de trop ?

Test des iPhone 17 Pro et 17 Pro Max : le Pro est-il devenu de trop ?

5 bonnes raisons de patienter jusqu’à la sortie de l’iPhone 18 Pro

Des puces plus performantes : l’A20 et un modem Apple

Les iPhone 18 Pro devraient inaugurer la puce A20, gravée en 2 nm par TSMC. Ce nouveau procédé augmente la densité de transistors et doit apporter un gain d’environ 15 % en performances et 30 % en efficacité énergétique par rapport à l’A19 des iPhone 17. Apple utiliserait en plus le packaging WMCM, qui permet d’intégrer la RAM directement sur la même plaquette que le CPU, le GPU et le Neural Engine. À la clé : des échanges plus rapides et une meilleure autonomie, notamment pour les tâches liées à Apple Intelligence.

Les iPhone 18 Pro auraient un A20 gravé très fin et une 5G sans Qualcomm

Les iPhone 18 Pro auraient un A20 gravé très fin et une 5G sans Qualcomm

Un modem Apple au coeur de l’iPhone 18 Pro

Autre nouveauté attendue : l’arrivée du modem C2, qui succédera au C1 de l’iPhone 16e et au C1X de l’iPhone Air. Cette génération prendrait en charge le mmWave 5G aux États-Unis, tout en offrant de meilleurs débits et une consommation réduite. Cette avancée s’inscrit dans la stratégie d’Apple visant à réduire progressivement sa dépendance à Qualcomm et à reprendre le contrôle complet de la partie réseau de l’iPhone.

Image : Apple

Jusqu’à présent, l’adoption de ces modems maison a été une réussite que ce soit sur l’iPhone 16e comme sur l’iPhone Air

Le modem C1 s’en sort mieux que le Qualcomm de l’iPhone 16 en conditions réelles

Le modem C1 s’en sort mieux que le Qualcomm de l’iPhone 16 en conditions réelles

De gros progrès dans la photo et la vidéo en perspective

Les iPhone 18 Pro pourraient introduire une nouveauté importante côté photo : un objectif à ouverture variable. D’après Digital Chat Station, le capteur principal de 48 Mpx — la caméra « Fusion » chez Apple — serait capable de modifier physiquement l’ouverture, une première sur l’iPhone. Jusqu’ici, les modèles Pro utilisaient un ƒ/1,78 fixe, sans possibilité d’ajustement.

iPhone 18 Pro : Apple préparerait un objectif à ouverture variable pour le module principal

iPhone 18 Pro : Apple préparerait un objectif à ouverture variable pour le module principal

Avec une ouverture variable, l’utilisateur pourrait laisser entrer plus de lumière en faible luminosité ou, au contraire, fermer le diaphragme pour obtenir une profondeur de champ plus marquée, comme sur un reflex. Ming-Chi Kuo avait déjà évoqué cette évolution fin 2024.

Un capteur photo développé en collaboration avec Samsung

Apple préparerait aussi un changement notable dans la chaîne d’approvisionnement. Samsung travaillerait sur un capteur empilé en trois couches, baptisé PD-TR-Logic, et destiné à l’iPhone 18 selon la rumeur. Ce type d’architecture permettrait une meilleure réactivité, moins de bruit et une dynamique plus large. Jusqu’ici, Sony fournissait l’intégralité des capteurs photo de l’iPhone : l’arrivée de Samsung marquerait donc un tournant pour la gamme 2026.

Un bouton Commande de l’appareil photo plus fiable

Apple envisagerait de revoir le bouton Camera Control sur les iPhone 18 afin d’en réduire le coût de fabrication. Sur l’iPhone 17, ce bouton combine une surface en cristal de saphir avec deux technologies : un capteur capacitif pour les gestes et un capteur de pression pour distinguer tapotements, pressions et balayages.

Les iPhone 18 auraient un bouton moins cher pour commander l

Les iPhone 18 auraient un bouton moins cher pour commander l'appareil photo

Selon le compte Weibo Instant Digital, Apple supprimerait la couche capacitive pour ne conserver que la détection de pression, tout en préservant l’ensemble des fonctionnalités associées. L’objectif n’aurait donc rien à voir avec une réduction des usages, mais plutôt avec une volonté d’alléger une pièce jugée trop coûteuse — et responsable d’un volume important de réparations après-vente.

Bouton "Commande de l’appareil photo". Image iGeneration.

5 bonnes raisons de ne pas attendre l’iPhone 18 Pro

La vie est trop courte, et les fêtes de fin d’année approchent à grands pas. Si vous avez envie de vous faire plaisir — ou d’offrir un cadeau vraiment marquant — l’iPhone 17 Pro constitue déjà un choix très solide. Les promotions commencent à tomber, le modèle est parfaitement stabilisé, et il n’y a plus d’effet de première génération à redouter. Bref, voici quelques bonnes raisons de ne pas attendre sagement 2026 et de céder dès maintenant aux sirènes de l’iPhone 17 Pro.

Image : iGeneration

Un appareil toujours plus lourd et plus épais

Un premier bruit de couloir laisse entendre que l’iPhone 18 Pro Max serait légèrement plus épais que l’iPhone 17 Pro Max. Cette évolution porterait son poids autour de 243 grammes, dépassant ainsi l’iPhone 14 Pro Max, qui reste pour l’instant le modèle le plus lourd jamais vendu par Apple.

L’iPhone 18 Pro Max encore plus épais et plus lourd ?

L’iPhone 18 Pro Max encore plus épais et plus lourd ?

La raison de ce châssis épaissi n’est pas encore connue, mais la piste la plus crédible reste l’intégration d’une batterie plus généreuse. L’autonomie, c’est toujours bon à prendre — à condition que l’iPhone ne se transforme pas non plus en haltère de poche.

Un design qui ne devrait que peu évoluer

Les premières rumeurs laissent entendre que la gamme iPhone 18 Pro conservera en grande partie le design introduit avec l’iPhone 17 Pro. Le bloc photo arrière resterait identique, avec ce « plateau » surélevé et ses trois objectifs disposés en triangle. Les diagonales d’écran ne bougeraient pas non plus : 6,3 pouces pour l’iPhone 18 Pro et 6,9 pouces pour le modèle Max, des formats inaugurés avec la génération 16 Pro.

L’iPhone 18 Pro pourrait bien abandonner son dos au design bicolore

L’iPhone 18 Pro pourrait bien abandonner son dos au design bicolore

Le seul changement esthétique pourrait concerner le dos. Apple envisagerait d’abandonner le dos bicolore de l’iPhone 17 Pro pour revenir à quelque chose de plus uniforme. Le procédé de fabrication du verre arrière aurait été revu afin de réduire l’écart de teinte entre le Ceramic Shield 2 et le cadre en aluminium, afin d’obtenir un rendu plus cohérent.

Argument ultime : c’est la seule année où vous pourrez acheter un iPhone orange

Un iPhone qui pourrait coûter plus cher

C’est une marotte qui revient systématiquement sur le tapis dès qu’un nouvel iPhone approche : va-t-il coûter plus cher ? La question peut sembler routinière, presque mécanique, mais cette fois, le contexte lui donne un relief particulier. Toute l’industrie fait face à une flambée des coûts sur plusieurs composants clés, à cause de l’intelligence artificielle. Le passage au procédé de gravure 2 nm pour les puces A20, déjà présenté comme « salé » en interne, renchérirait sensiblement la facture : TSMC appliquerait un tarif en nette hausse par rapport aux générations actuelles.

Le 2 nm s’annonce salé : Apple pourrait payer (beaucoup) plus cher ses puces A20 pour l

Le 2 nm s’annonce salé : Apple pourrait payer (beaucoup) plus cher ses puces A20 pour l'iPhone 18 Pro

À cela s’ajoutent des tensions sur d’autres éléments critiques — mémoire, modules photo — dont les prix repartent à la hausse après plusieurs trimestres de calme. Dans ce contexte, l’hypothèse d’un iPhone 18 Pro plus onéreux en 2026 n’est plus seulement un marronnier : c’est un scénario que Cupertino devra peut-être réellement assumer.

L’iPhone 17 Pro, c’est du costaud !

L’iPhone 17 Pro a suffisamment de recul pour que l’on sache exactement à quoi s’en tenir. Plusieurs mois après sa sortie, les retours utilisateurs sont largement positifs : les performances sont au rendez-vous, l’autonomie est satisfaisante, la chauffe reste bien maîtrisée et aucun défaut de conception majeur n’a émergé. Les premières mises à jour d’iOS ont par ailleurs corrigé les petits comportements de jeunesse observés lors du lancement.

En clair, l’iPhone 17 Pro est un modèle abouti. Il est maintenant largement disponible dans le commerce et les premières promotions commencent à faire leur apparition.

L’année prochaine, la star ce sera l’iPhone pliable

Tout laisse à penser que 2026 devrait être marquée par l’arrivée du premier iPhone pliable. Il ne fait guère de doute que ce sera la star médiatique de la rentrée prochaine. Ce modèle ouvrirait une nouvelle catégorie dans la gamme, avec un écran d’environ 7,8 pouces une fois déplié, proche de l’iPad mini, et une interface réadaptée pour ce format.

Dans un tel contexte, l’iPhone 18 Pro risque mécaniquement d’être relégué au second plan. Mais le souci, c’est que vous risquez d’être tenté par ce modèle et que celui-ci devrait couter extrêmement cher.

BOE se fait claquer la porte au nez par Apple pour la fourniture d’écrans d’iPhone

Greg Onizuka

mercredi 19 novembre à 21:30

iPhone

En 2022, BOE Displays faisait déjà parler d’elle en mal chez Cupertino, en modifiant des éléments des dalles qu’elle fournit à Apple sans prévenir son client. Aujourd’hui, la firme chinoise ne semble pas beaucoup plus fiable, obligeant Apple à mettre en pause sa collaboration avec ce fournisseur concernant les dalles des iPhone 17, comme le rapporte AppleInsider.

Un écran OLED souple, tel que BOE souhaiterait en fournir à Apple en 2026. Image BOE.

Apple a donc tranché, c’est l’heure de la valse des fournisseurs pour l’iPhone 17 : Samsung rafle la mise tandis que BOE, déjà figurant, se voit fermer la porte au nez. En coulisses, c’est une guerre froide technologique qui se joue, où un pixel défaillant peut valoir des millions perdus. Derrière la façade léchée du design californien, chaque dalle OLED cache une lutte féroce pour la fiabilité et l’innovation.

En plus de ses problèmes de production, BOE aurait modifié ses dalles OLED sans prévenir

En plus de ses problèmes de production, BOE aurait modifié ses dalles OLED sans prévenir

BOE, acteur chinois prêt à tout pour s’imposer (il ambitionnait encore en 2022 de dépasser LG en tant que fournisseur), croyait tenir sa chance. L’entreprise a ainsi gonflé ses capacités jusqu’à la centaine de millions de panneaux par an. Mais la réalité est brutale : Apple lui a ouvert la porte… pour le seul marché chinois, et l’a tenue à l’écart de la scène mondiale. Il faut dire que les ambitions mondiales de BOE se fracassent sur le mur du déficit de rendement – 85% quand Samsung tourne à plein – et une réputation ternie par les bidouilles non autorisées de 2022. Au final, BOE qui plafonnait à 1% du gâteau doit céder ses options de vente à Samsung.

C’est le LTPO qui a tué dans l’œuf les ambitions de BOE. Pour Apple, impossible de faire l’impasse sur cette technologie lui permettant des taux de rafraîchissement variables. Pendant que Samsung et LG maîtrisent l’art, BOE accumule les échecs techniques. Pour Cupertino, hors de question de rejouer le feuilleton des écrans mal calibrés ou des lots pas à la hauteur vus sur certains iPhone précédents : la sanction, c’est le déclassement immédiat.

Pour s’assurer d’une production la plus unifiée possible, Apple a de toute façon choisi de se baser sur les écrans M14 de Samsung. Las de faire des compromis et des calibrations au cas par cas sur les écrans des différents fournisseurs, cette fois un seul modèle sert de ligne conductrice à tous, ce qui vient encore embêter BOE qui est aux prises avec un litige concernant certains brevets de Samsung.

En plus de ces déconvenues, BOE accumule décidément les problèmes, étant dans le viseur de l’administration américaine qui la soupçonne de collusion avec le gouvernement chinois. Si l’enquête menée par les services US devait aller jusqu’au bout, l’entreprise pourrait se voir complètement fermer le marché américain, rangée dans la case des entreprises liées au complexe militaro-industriel de l’Empire du milieu.

Si BOE a encore des espoirs pour l’avenir, ceux-ci s’amoindrissent au fur et à mesure que le temps passe : après les erreurs de 2022, le manque de qualité de 2025 pourrait bien lui valoir une fin de collaboration définitive avec Apple, alors qu’elle ambitionnait encore récemment d’être parmi les fournisseurs de l’iPhone Fold.

Royaume-Uni : le procès contre iCloud pourrait être gagné par Apple par manque de moyens du plaignant

Greg Onizuka

mercredi 19 novembre à 21:00

Services

Si en tant qu’européens nos yeux sont très souvent tournés vers le DMA concernant Apple, l’Union européenne n’est pas le seul endroit où les avocats de la firme ont de quoi travailler plus que de raison : la Grande-Bretagne a son lot de procès en cours, comme le rappelle MacRumors.

Récemment, Apple s’est vue refuser le droit de faire appel de la décision du tribunal britannique concernant un abus de position dominante sur l’App Store, ayant conduit à une compétition amoindrie et des prix artificiellement élevés, entre autres du fait des commissions prélevées par Cupertino sur chaque achat. Potentiellement, Apple risque des dommages et intérêts supérieurs à 1 milliard de dollars.

Mais c’est une autre affaire qui concentre actuellement les ténors engagés par la firme à la pomme : l’association de consommateurs Which, mandatée par certains adhérents, a lancé une procédure contre Apple pour pratiques anticoncurrentielles concernant iCloud, indiquant que Cupertino empêche les utilisateurs d’aller voir ailleurs en limitant les possibilités de sauvegarde alternative sur ses appareils, les forçant ainsi à passer au palier supérieur de stockage iCloud, et donc à payer un abonnement supplémentaire à Apple.

Royaume-Uni : une action de groupe contre Apple et son offre iCloud

Royaume-Uni : une action de groupe contre Apple et son offre iCloud

La plainte portant sur le fonctionnement d’iCloud depuis le 1er octobre 2015 jusqu’à nos jours, elle pourrait si Which venait à gagner engendrer plus de 4 milliards de dollars de dommages et intérêts à payer pour Apple, et la pomme use donc de toutes les ficelles possibles pour gagner, voire empêcher la tenue du procès. Et le financier du procès vient possiblement de lui offrir une excuse sur un plateau d’argent : Litigation Capital Management (LCM), qui est derrière la procédure et gère les comptes de celle-ci, a perdu 99 % de sa valeur depuis novembre 2024, ne pesant plus que 16 petits millions de dollars.

Pour Apple, la question de la solidité de l’organisme se justifie : si Cupertino vient à gagner le procès, ou si un appel doit être lancé, LCM a-t-elle les reins assez solides pour payer les frais de la procédure, qui devront être remboursés au gagnant ? Apple indique que la situation financière de LCM aurait dû être rapportée bien plus tôt, afin de pouvoir prendre les dispositions nécessaires, que ce soit du côté des plaignants comme de l’autre. Si la procédure se poursuit pour le moment, le tribunal devra se prononcer sur le sujet, et est bien entendu attendu de pied ferme par Apple.

Test du Osmo Mobile 8 : le stabilisateur de DJI s'ouvre à DockKit, pour un suivi dans toutes les apps

Félix Cattafesta

mercredi 19 novembre à 20:30

Accessoire

Après Insta360, c’est au tour de DJI de se lancer sur le créneau des stabilisateurs compatibles DockKit pour le suivi. C'est une technologie Apple qui permet à un iPhone de contrôler un stabilisateur motorisé pour suivre une personne, directement intégrée dans iOS et donc dans toutes les apps. Le fabricant chinois a récemment mis à jour son DJI Osmo Mobile dans une huitième version gagnant une prise en charge du framework d’Apple. Autrement dit, il est possible de s’en servir avec différentes apps iOS sans forcément se limiter à celle du fabricant.

Le stabilisateur DJI. Image iGeneration

Le produit est affiché à un tarif similaire à la concurrence avec comme atout sa bonne intégration aux autres accessoires DJI et l’arrivée d’un suivi panoramique à 360° pour plus de flexibilité. S’il ne se démarque pas particulièrement, il reste l’un des seuls stabilisateurs du marché à être compatible DockKit. Est-ce une bonne affaire ? Réponse dans notre test.

Un stabilisateur, mais à quoi ça sert ?

Commençons par rappeler brièvement le concept. Les stabilisateurs sont des espèces de perches à selfie électroniques qui vont faire en sorte de maintenir stable votre téléphone quand vous vous déplacez en filmant. L’idée est de rendre les mouvements de caméra très fluides tout en permettant d’en faire plus avec son smartphone. iOS offre une bonne stabilisation de base, mais un tel gadget est intéressant pour les vidéastes ou ceux cherchant à faire de belles photos de vacances.

Le produit se présente donc comme une sorte de poignée dépliable sur laquelle on peut greffer une pince aimantée pour smartphone. DJI propose un module 100 % MagSafe plus pratique, mais qui n’est pas inclus et vendu 19 €. Je n’ai pas eu l’occasion de le tester, mais c’est un achat à sérieusement envisager, tant enlever et remettre son iPhone dans la pince peut devenir énervant à la longue. Un petit trépied est embarqué en bas de la poignée, tandis que l’on peut déplier la base sur 21,5 cm comme une perche à selfie.

Une promenade à la plage pour un test. Image iGeneration

Trois boutons physiques sont présents à l’avant : un pour changer de mode, un pour lancer l’enregistrement et un troisième pour alterner entre la caméra avant et arrière. Ceux-là ont plusieurs fonctions supplémentaires quand on appuie deux ou trois fois, ce que vous pourrez découvrir via un manuel heureusement très clair. Certains raccourcis sont plus évidents que d’autres, il faut quelques séances d’utilisation pour s’en souvenir. On peut alors rapidement passer du mode portrait au paysage, lancer une vidéo, recentrer la vue ou tourner le téléphone à 180° pour utiliser les capteurs arrière.

Elon Musk se dit prêt à intégrer Grok à Siri

Félix Cattafesta

mercredi 19 novembre à 17:45

Ailleurs

Elon Musk propose de venir à la rescousse de Siri. Le patron de Tesla s’est dit prêt à aider Apple en y intégrant le tout frais Grok 4.1 de xAI. La déclaration a été faite en réponse à un tweet sur sa plateforme X et a de quoi surprendre quand on se souvient qu’Elon Musk a menacé d’attaquer Apple en justice il y a quelques mois, précisément à propos de Grok.

Le milliardaire américain avait accusé Cupertino de mettre en valeur ChatGPT sur l’App Store au détriment de Grok en août dernier. Il se demandait pourquoi son app n’était pas dans la section Incontournables de l’App Store malgré ses bons scores, contrairement au service d’OpenAI. Il a peu après porté plainte contre les deux entreprises, les accusant d’entente illégale.

Elon Musk porte plainte contre Apple et OpenAI pour entente illégale

Elon Musk porte plainte contre Apple et OpenAI pour entente illégale

Apple s’étant défendu en rapportant qu’il était « de notoriété publique » qu’elle avait l'intention de s'associer à d'autres chatbots IA à l'avenir. Si rien n’a été lancé officiellement pour le moment, les rumeurs voudraient que Google puisse prochainement y intégrer son Gemini en plus de ChatGPT. Cupertino s’est vue forcer la main au Japon, où les utilisateurs pourront bientôt choisir d’activer Alexa, Gemini ou un autre assistant à la sortie d’iOS 26.2.

Siri perd l

Siri perd l'exclusivité de son bouton au Japon avec iOS 26.2

Dans tous les cas, Apple a prévu d’ouvrir son système à d’autres assistants IA suite au fiasco de ses avancées dans le domaine. Grok pourrait donc finir par arriver, mais on serait surpris qu’il soit dans les starting-blocks : le tchatbot a dérapé de nombreuses fois sur des sujets variés, ce qui ne plaît sans doute pas à Apple. On peut s’attendre à ce qu’elle privilégie ses concurrents moins clivants.

La nouvelle tombe alors qu’Elon Musk vient de mettre en ligne la version 4.1 de Grok, qui raisonne de manière plus efficace tout en étant plus créatif. Le modèle est également moins sujet aux hallucinations et a un ton visant à rendre les conversations plus proches de celles que l’on aurait avec un véritable assistant humain.