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Période d’essai, fonctionnalités : Orange donne des détails sur sa future option de SMS par satellite

Félix Cattafesta

mercredi 19 novembre à 10:57

Télécoms

Hier, Orange a annoncé l’arrivée imminente d’un service de SMS par satellite. Lancé le 11 décembre prochain, il va permettre au grand public d’échanger via la technologie Direct to Device (ou Direct to Cell), qui fonctionne comme une antenne-relais de téléphonie mobile dans l'espace ne nécessitant pas de matériel spécifique. L’opérateur a donné quelques détails supplémentaires à Next, qui a pu l’essayer en avant-première.

Image Orange

Rappelons que les iPhone ne seront pas compatibles dans l’immédiat. Seuls les Pixel 9 et 10 de Google auront cet honneur, mais d’autres modèles suivront par la suite. Pas de bol non plus pour les clients Sosh : la nouveauté sera réservée aux clients Orange 5G et 5G+.

Le service sera offert pendant 6 mois à partir du lancement avant d’être facturé 5 € par mois. Selon nos informations, les clients ayant accepté l’utilisation commerciale de leur IMEI et disposant d’un smartphone compatible seront automatiquement positionnés sur cet essai gratuit. Pour des raisons de sécurité, un délai de plusieurs jours est à prévoir avant l’activation.

Les SMS par satellite pourront ensuite être envoyés ou reçus en illimité depuis l’un des 36 pays éligibles. Il ne sera pas nécessaire d’avoir activé les données mobiles pour s’en servir, ce qui sera pratique à l’étranger afin d’éviter les hors forfait. Contrairement aux SMS d’urgence par satellite, l’utilisateur sera ici libre d’envoyer le texte qu’il veut et même sa position sous forme de coordonnées GPS.

Exemple de conversation par satellite. Image Orange

La connexion se fait via des satellites géostationnaires, situé à environ 36 000 km de la Terre. Le temps d’un aller-retour est de 240 ms, une limitation liée à la vitesse de la lumière. Il faudra donc prendre quelques habitudes par rapport aux messages classiques, comme le fait d’orienter son téléphone vers le satellite à l’envoi comme pour la réception. Les photos ne seront pas prises en charge, et il y a forcément un peu de latence. Selon Next, qui a pu essayer la nouveauté en avant-première, l’envoi et la réception se font « en quelques secondes ». Ces aspects moins pratiques font qu’on lui préférera sans doute le traditionnel roaming quand il est disponible.

Côté confidentialité, un responsable d’Orange a confirmé à Next que le service respectait le RGPD, tandis que son partenaire Skylo avait l’agrément de l’Arcep. Ils se basent sur les satellites de trois partenaires, à savoir Viasat, EchoStar et Immarsat. Skylo utilise des bandes de fréquences MSS aux alentours de 1,6 et 2 GHz, qui peuvent aussi servir à d’autres clients de Stylo. La fonction devrait être ouverte courant 2026 aux professionnels et aux entreprises.

Aqara commercialise une nouvelle tête thermostatique, connectée en Zigbee ou Thread

Nicolas Furno

mercredi 19 novembre à 09:30

Domotique

Aqara commercialise une nouvelle tête thermostatique, un appareil connecté qui vient remplacer la tête traditionnelle présente sur les radiateurs à eau. Le Thermostat de Radiateur W600 est vendu 50 € (promotion de lancement à la fin) et le produit présente l’avantage de fonctionner selon deux modes, à choisir en fonction de votre préférence. Par défaut, il travaille sur un réseau Thread et se connecte directement à la domotique par le biais du standard Matter. Si vous disposez d’un hub Aqara ou d’un contrôleur associé à une domotique ouverte comme Home Assistant, il est aussi possible de passer l’accessoire en Zigbee pour bénéficier de toutes ses fonctionnalités.

La tête thermostatique W600 en place sur un radiateur. Image Aqara.

Ce principe de la double connectivité est bien connu maintenant chez Aqara, on le retrouve sur tous ses les nouveaux produits de l’entreprise et je l’avais détaillé dans ce précédent test. Pour la tête thermostatique, le choix du Zigbee permettra surtout de lier plusieurs accessoires pour qu’ils fonctionnent de la même manière, ce qui est utile pour les pièces avec plusieurs radiateurs. On pourra aussi gérer un planning de chauffe depuis l’app Aqara, une fonctionnalité mal gérée par Maison par exemple.

En mode Zigbee encore, on pourra associer une W600 au thermostat W100 d’Aqara. Ce dernier est intéressant à la fois pour mesurer la température au milieu de la pièce et pour contrôler le chauffage avec ses boutons inclus. Si on privilégie Matter directement via Thread, il faudra prévoir d’autres dispositifs dans la domotique pour ajuster la consigne ou alors le faire directement sur la tête thermostatique, ce qui reste bien entendu possible.

Aqara présente quelques nouveautés, dont un thermostat sans fil et un kit de surveillance complet

Aqara présente quelques nouveautés, dont un thermostat sans fil et un kit de surveillance complet

Aqara annonce que son nouveau produit est plus silencieux (moins de 30 dB quand le moteur s’active) et bénéficie d’une meilleure compatibilité avec les radiateurs européens, tout en doublant l’autonomie des modèles précédents. Le fabricant indique ainsi que les deux piles AA incluses doivent tenir jusqu’à deux ans, ce qui est en effet élevé par rapport à ses concurrents. Si vous êtes intéressé, vous pouvez acheter un exemplaire sur Amazon à prix réduit pour le lancement : en saisissant le code AQARAW600 avant de payer, vous économiserez 15 %, soit 42,5 € au lieu de 50.

Le Hub M200 reprend le meilleur du M3 à petit prix

Autre nouveauté du jour pour Aqara, un nouveau pont de connexion avec l’arrivée du hub M200. Vendu 60 €, il prend la relève du hub M2 en l’améliorant avec plusieurs bonnes idées piochées du côté du hub M3, qui est toutefois quasiment trois fois plus cher. On retrouve ainsi deux modes d’alimentation au choix, soit de l’USB-C, soit de l’Ethernet PoE si vous disposez d’un switch qui intègre cette norme. Ce hub ne se contente pas non plus d’une puce Zigbee pour gérer jusqu’à 40 appareils Aqara, il dispose d’une puce Thread pour gérer jusqu’à 40 appareils Matter de toutes les marques. À ce titre, il peut devenir le centre de la domotique, si vous le souhaitez.

Le Hub M200 est un clone visuel du M2. Image Aqara.

Le M200 garde son émetteur infrarouge pour contrôler un téléviseur ou une climatisation. Autre petite nouveauté, on peut facilement le positionner au mur, voire au plafond, grâce à l’ajout d’un trou de vis sous la base. Enfin, il intègre toujours un haut-parleur, qui peut permettre de l’utiliser comme alarme.

iWork attend toujours son bain de Liquid Glass

Christophe Laporte

mercredi 19 novembre à 08:31

iOS

Voilà maintenant deux mois que iOS 26 et sa nouvelle interface Liquid Glass sont disponibles pour le grand public. Présentée comme une refonte majeure, cette interface avait suscité de nombreuses critiques lors de son dévoilement. Pourtant, sa mise à disposition n’a pas provoqué la vague de protestations que certains anticipaient. Apple semble toutefois avoir entendu une partie des remarques : à chaque mise à jour intermédiaire, l’entreprise ajuste par petite retouche Liquid Glass.

Apple : une transition sans stress

Avec le recul, ce qui surprend le plus, c’est la vitesse à laquelle les applications d’Apple adoptent les nouveaux canons graphiques d’iOS 26. Contrairement à ce que l’on pourrait imaginer, ce ne sont pas les grands ténors de la suite Apple qui ont bénéficié les premiers d’un lifting Liquid Glass. La firme a plutôt commencé par moderniser ses « petites » apps : Apple Invitation, TestFlight ou encore Assistance Apple ont été parmi les premières à inaugurer la nouvelle interface.

Apple adapte des apps supplémentaires à Liquid Glass, mais ça ne leur réussit pas forcément

Apple adapte des apps supplémentaires à Liquid Glass, mais ça ne leur réussit pas forcément

Ces dernières semaines, le mouvement s’est étendu à des applications plus ambitieuses. GarageBand, Photomator ou Pixelmator Pro ont chacun reçu une mise à jour, souvent modeste, qui se résument avant tout à une nouvelle icône. Le dernier en date à profiter de cette transition est Apple Configurator, qui rejoint à son tour la longue liste des apps déjà passées à Liquid Glass.

Assistance Apple : avant / après. Image iGeneration

iWork a fait l’impasse sur sa mise à jour estivale

Pendant ce temps, les applications de la suite iWork — Pages, Numbers et Keynote — attendent désespérément leur refonte. Apple a pourtant l’habitude de mettre à jour sa suite bureautique dans la foulée d’une nouvelle version d’iOS. L’an dernier, par exemple, Pages 14.2 était sorti dès le 17 septembre.

Historiquement, Apple maintenait un rythme assez régulier, avec trois mises à jour par an : une première au printemps (mars/avril), une seconde autour de juin, puis une troisième en septembre ou octobre. Ces dernières années, ce cycle était devenu presque prévisible.

Image : Apple

En 2024, la firme avait même accéléré la cadence avec une quatrième mise à jour publiée en décembre, visiblement dictée par l’arrivée d’Apple Intelligence. Un effort conséquent… qui contraste fortement avec le silence radio de cette année autour d’iWork.

Cette année, les trois applications bureautiques d’Apple ont bien reçu leur habituelle mise à jour de printemps, mais ont ensuite fait l’impasse sur leur version estivale. Un silence inhabituel qui interroge : que se passe-t-il exactement ? Comment expliquer un tel retard alors que toutes les autres apps maison basculent progressivement vers Liquid Glass ?

Keynote à la sauce Liquid Glass existe bel et bien

Keynote à la sauce Liquid Glass existe bel et bien

Que prépare vraiment Apple pour iWork ?

Quelques indices commencent toutefois à émerger. Des captures d’écran qui circulent ici ou là sur le site d’Apple montrent qu’une version de Keynote intégralement revue à la sauce Liquid Glass est bel et bien dans les tuyaux. Le chantier semble donc en cours… mais visiblement plus complexe ou plus ambitieux que prévu.

Keynote à la sauce Liquid Glass

On peut supposer — ou espérer — que cette prochaine mise à jour s’accompagnera d’une véritable refonte en profondeur des trois applications d’iWork. L’un des enjeux majeurs pour une suite bureautique moderne est désormais l’intégration de l’intelligence artificielle générative. Microsoft a déjà pris une longueur d’avance sur ce terrain : dans Excel, Copilot peut aider l’utilisateur à rédiger des formules, analyser un tableau ou structurer une feuille de calcul. Et Redmond a annoncé fin septembre l’arrivée d’un « mode Agent » dans Excel et Word, capable de découper automatiquement une requête complexe en plusieurs étapes tout en explicitant son raisonnement.

Microsoft renforce l’IA dans Word et Excel avec un nouveau mode Agent

Microsoft renforce l’IA dans Word et Excel avec un nouveau mode Agent

Est-ce une piste pour l’équipe de développement d’Apple ? On en doute tant la firme apparaît aujourd’hui en retrait sur ces sujets.

Pour l’heure, le mystère demeure. Mais si Apple prend plus de temps que d’habitude, c’est peut-être — espérons-le — pour livrer une version véritablement ambitieuse de Pages, Numbers et Keynote. Une refonte qui ne se limiterait pas à Liquid Glass, mais qui redonnerait un nouvel élan à une suite longtemps appréciée pour sa simplicité, sa cohérence et son élégance.

Meross commercialise également un détecteur de présence sans fil compatible avec Matter

Nicolas Furno

mercredi 19 novembre à 07:55

Domotique

Cela n’arrête pas ! Alors que l’on testait l’un des tous premiers détecteurs de présence sur pile destinés à Matter la semaine dernière avec le FP300 d’Aqara, les nouveautés arrivent toutes d’un coup sur ce segment. Deux jours après celui de SwitchBot, c’est au tour de Meross de présenter un produit sur le même segment. Le MS605 reprend l’aspect général du MS600, en fonctionnant sur une pile, ce qui permet de l’utiliser loin d’une prise. Le concept est à chaque fois le même : l’appareil intègre un détecteur de mouvements qui réveille le radar chargé ensuite de surveiller la présence grâce aux mouvements infimes.

Le MS605 ressemble comme deux gouttes d’eau au MS600, le câble en moins. Image Meross.

Pour rappel, la détection de présence se base sur un radar qui émet des ondes millimétriques, bien plus précises que les ondes infrarouges utilisées par les détecteurs de mouvements. Cela permet de suivre une présence, même si une personne reste assise, voire allongée : les mouvements les plus subtils sont toujours identifiés par le radar. En contrepartie, ce dispositif consomme bien plus d’énergie, ce qui veut dire qu’il a longtemps fallu se contenter de détecteurs alimentés en permanence. Ce n’est plus le cas désormais.

Meross a repris son détecteur de présence filaire comme base de ce nouveau produit. Le MS605 est ainsi visuellement identique au MS600, sauf qu’il n’a plus le câble USB qui était indispensable à son alimentation. En comparant les deux produits, le fabricant note que le radar inclus dans cette version sans fil est moins précis, qu’il travaille sur une distance plus courte (4 m maximum) et que l’appareil ne peut plus identifier la distance des personnes détectées. C’est logique, tous les modèles sur une pile doivent faire des concessions pour offrir une bonne autonomie et ce ne sont pas des fonctionnalités indispensables pour la majorité.

Test du Meross MS600, un détecteur de présence Matter compétent et pas cher

Test du Meross MS600, un détecteur de présence Matter compétent et pas cher

En parlant d’autonomie, Meross annonce jusqu’à trois ans grâce à sa pile CR123A, un standard un petit peu plus cher que les piles bouton choisies par Aqara même si on peut s’en tirer à moins de 2 € l’unité. Pour atteindre une telle durée de vie, le fabricant a aussi abandonné le Wi-Fi qui servait à connecter le MS600, au profit du Thread, bien plus économe. Pour exploiter l’appareil, vous aurez ainsi besoin d’un routeur de bordure Thread, ce qui signifie un HomePod mini, HomePod 2 ou une Apple TV 4K avec Ethernet dans l’univers Apple. Il est nativement Matter et pourra rejoindre tous les écosystèmes de domotique qui gèrent le standard.

Comme sur le FP300, Meross a prévu une option pour ajuster la distance de détection de la présence, avec toutefois une option supplémentaire et plutôt bien trouvée sur le papier. Dans l’app du fabricant, on peut diviser la zone devant le capteur en trois parties et les gérer différemment, pour n’identifier des mouvements qu’à un endroit ou pour créer des automatisations spécifiques. Ce n’est pas aussi sophistiqué que les zones du FP2 d’Aqara, mais c’est peut-être tout aussi efficace. Si je peux tester l’appareil, je ne manquerai pas d’essayer cette capacité originale.

Le MS605 permet de définir dans l’app trois zones en fonction de la distance et on peut même les gérer différemment dans la domotique, ici dans Maison. Image Meross.

Comme sur son précédent produit, Meross a intégré un capteur de luminosité qui est utile pour créer des automatisations plus intelligentes. Le capteur de mouvements basé sur les infrarouges peut être associé à un capuchon qui limite son fonctionnement en hauteur, une option intéressante pour éliminer les détections liées aux animaux. Enfin, on retrouve une fonction d’apprentissage « par IA », à exécuter quand la pièce est vide pour améliorer la détection en ne tenant pas compte des plantes ou rideaux qui bougeront en permanence. Par rapport au MS600, ce nouveau modèle a un dernier avantage qui est unique à ma connaissance sur ce marché : une certification IP67 qui permet d’envisager sereinement un placement dans une salle de bain.

Le MS605 est actuellement en précommandes sur le site du constructeur, avec des livraisons promises pour la fin du mois de décembre. Si c’est probablement raté pour en placer sous le sapin, cela reste une excellente affaire sur le papier : le détecteur de présence est vendu en temps normal à 37 €, mais il est en promotion à 31 €. On peut même le commander par paquets de deux, voire quatre, pour couvrir toutes les pièces.

WhatsApp va enfin gérer le multi-compte sur iPhone

Christophe Laporte

mercredi 19 novembre à 06:55

App Store

Mais que se passe-t-il dans la division WhatsApp ? Depuis quelques semaines, l’application de messagerie semble lancée dans un marathon de nouveautés : prise en charge des messageries tierces, arrivée d’un compagnon pour l’Apple Watch, mise à jour majeure de l’app Mac… 

Destins croisés : WhatsApp s’améliore sur Mac et se dégrade sur Windows

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WhatsApp va pouvoir discuter avec d’autres messageries en Europe

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WhatsApp enfin disponible sur Apple Watch

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Et ce n’est pas tout. Avez-vous déjà tenté de gérer plusieurs comptes sur un seul appareil ? C’est un enfer. Aujourd’hui, la seule solution consiste à installer WhatsApp Business pour prendre en charge un second compte. Autant dire que ce n’est ni élégant, ni vraiment pratique.

Bonne nouvelle : cette galère touche visiblement à sa fin. WhatsApp est en train de tester la prise en charge native du multi-compte dans la version bêta de son application pour iOS. Plusieurs testeurs voient désormais apparaître une nouvelle section dans les réglages, baptisée « Account List », qui permet d’ajouter un second compte puis de passer de l’un à l’autre en un instant, sans déconnexion et sans manipulation compliquée. Chaque compte conserve son historique, ses préférences et ses réglages de notification, ce qui rend le changement totalement transparent.

Concrètement, le passage d’un compte à l’autre se fait en un geste. Dès lors que deux profils sont configurés, il suffit d’ouvrir la section « Account List » dans les réglages pour afficher ses comptes et en sélectionner un. WhatsApp a même prévu des raccourcis : un appui prolongé sur l’onglet Réglages affiche directement la liste des comptes, et un double-tap sur cet onglet bascule immédiatement vers le compte suivant. La transition se fait sans redémarrage de l’application et sans authentification supplémentaire.

WhatsApp a également repensé ses notifications. Lorsqu’un message arrive sur un compte inactif, l’alerte indique clairement de quel profil elle provient. Cette précision évite toute confusion et permet de garder une vue claire sur ses différentes identités, qu’elles soient personnelles ou professionnelles.

Le multi-compte, une brique essentielle avant les pseudos

Si WhatsApp accélère aujourd’hui sur cette fonctionnalité, c’est aussi parce que l’app prépare une évolution majeure : la possibilité d’utiliser un pseudonyme en guise d’identifiant, à la place du numéro de téléphone. Cette transition nécessitera forcément une gestion plus souple de plusieurs identités au sein de la même application. Le multi-compte natif apparaît ainsi comme une brique essentielle de cette future architecture.

WhatsApp prépare l

WhatsApp prépare l'utilisation des pseudos pour masquer le numéro de téléphone

Pour le moment, cette nouveauté n’est disponible qu’à un nombre limité de testeurs via TestFlight. WhatsApp n’a pas encore communiqué de date de lancement officielle, mais l’avancement des tests laisse clairement penser que la sortie générale ne devrait plus tarder.