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Cyberattaque chez Autosur : vos données roulent sans vous, mais Incogni peut freiner l’hémorragie 📍

Article sponsorisé

samedi 12 avril 2025 à 11:10 • 0

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Encore une cyberattaque. Fin mars, c’est Autosur, l’un des réseaux les plus connus de centres de contrôle technique en France, qui a vu ses serveurs se faire dépouiller. Quatre millions de dossiers clients exfiltrés : noms, prénoms, adresses postales, e-mails, numéros de téléphone, et cerise sur le capot, les plaques d’immatriculation. Une fuite massive, silencieuse et terriblement concrète.

Ce n’est pas juste une brèche informatique, c’est un coup de pied dans la porte d’entrée de la vie privée. Et dans cette histoire, le pire n’est pas ce qui est volé — c’est ce qui peut en être fait. Sauf qu’il existe une façon de reprendre la main, ou du moins de limiter les dégâts : Incogni.

Quand le pare-brise numérique vole en éclats

Une base client comme celle d’Autosur, c’est une petite mine d’or pour les cybercriminels. Vous avez le nom, le mail, la plaque d’immatriculation… de quoi lancer des campagnes de phishing ciblées plus crédibles qu’un courrier de la CAF. Voire usurper une identité pour une fraude à l’assurance, ou revendre le tout à un courtier de données qui ne posera pas trop de questions.

Et c’est là qu’on touche au cœur du problème : ces données ne s’évaporent pas. Elles circulent. Elles sont recroisées, revendues, utilisées pour alimenter des profils — parfois même sans que vous ayez jamais cliqué sur accepter.

Incogni, c’est quoi au juste ? Un agent de nettoyage… juridique

Incogni, développé par Surfshark, n’est pas un antivirus, ni une IA qui crypte vos photos de vacances. C’est un outil légalement armé. Vous lui donnez mandat, et lui se charge d’aller frapper aux portes des courtiers de données pour leur dire : « Ce profil, vous le supprimez. C’est la loi. »

C’est l’équivalent d’un avocat numérique qui agit dans l’ombre pour effacer vos traces des bases de données les plus douteuses. Et contrairement aux promesses creuses de certains services soi-disant “confidentiels”, Incogni s’appuie sur des textes juridiques solides — RGPD en Europe, CCPA aux États-Unis — pour contraindre les entreprises à coopérer.

Peut-il empêcher une cyberattaque ? Non. Peut-il en limiter les conséquences ? Clairement.

Dans le cas d’Autosur, soyons clairs : si vos données sont déjà parties dans la nature, Incogni ne pourra pas les rapatrier à coups de courriers recommandés. Mais là où le service devient précieux, c’est en amont… et en aval.

En amont, parce qu’Incogni contacte des dizaines (voire centaines) d’acteurs qui, de près ou de loin, collectent ou revendent vos données. Moins vous êtes exposé dans ces bases, moins les dégâts d’une fuite comme celle d’Autosur peuvent s’amplifier par effet domino.

En aval, parce que si vous prenez conscience de votre exposition après coup, Incogni peut lancer une opération de nettoyage préventif. Les fuites de données attirent toujours les parasites — autant les devancer.

La cybersécurité ne se résume pas aux entreprises

On l’oublie trop souvent : la protection des données n’est pas uniquement du ressort des entreprises. Bien sûr, Autosur aurait dû mieux sécuriser ses systèmes. Mais chaque individu a aussi un levier d’action : choisir ce qu’il expose, savoir où ses données se trouvent, et faire le ménage régulièrement.

Dans ce ménage, Incogni est l’équivalent d’une société de désinfection numérique. Elle ne promet pas une stérilité totale, mais elle agit avec méthode, sur les zones à risque, et avec une légitimité que peu de services peuvent revendiquer.

Car Incogni, c’est un peu le service qu’on aurait aimé connaître avant que nos données ne fassent le tour du web. Pas besoin d’être juriste ou geek : on s’inscrit, on donne mandat, et le service s’occupe de demander – légalement – la suppression de nos infos auprès des courtiers de données. Résultat ? Moins de spam, moins de profilage, et surtout moins cette impression d’être à poil sur Internet.

Le tout pour 7,29 € par mois ou 12,99 € à l'année, sans engagement. Est-ce que ça les vaut ? Quand on voit à quelle vitesse les fuites de données se multiplient, on dirait bien que oui. Incogni ne promet pas l’invisibilité, mais il redonne du contrôle, du concret, du soulagement. Et parfois, ça suffit à respirer un peu mieux en ligne.

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