Il y a quelques mois, Google avait annoncé une nouveauté intéressante pour la version libre d'Android : la prise en charge des puces RISC-V. Mais la société a supprimé récemment une partie du code, un mouvement un peu étonnant.

RISC-V est un jeu d'instructions open source, qui permet à plus ou moins n'importe qui de proposer un processeur, sans devoir payer une licence ou se reposer sur des implémentations existantes. Nous avons déjà parlé de RISC-V dans une série d'articles pour les membres du Club iGen, et le jeu d'instructions est vu par certains comme le futur fossoyeur du x86 ou des puces ARM.

La révolution RISC-V (1/4) : l'Agence tous RISC

Après l'annonce d'un portage RISC-V d'Android AOSP (la version libre) en novembre 2023, beaucoup attendaient donc des appareils sous Android avec des systèmes sur puce RISC-V, et pas uniquement des montres. Mais Android Authority a remarqué que Google avait supprimé une partie du code récemment dans le noyau ACK (Android Common Kernel).

Ce noyau est un peu spécifique : si Android peut être vu comme une distribution GNU/Linux, le noyau ACK est un noyau Linux mais avec quelques modifications qui ne sont pas présentes dans les noyaux Linux officiels. Le noyau ACK sert de base aux noyaux GKI (Generic Kernel Image) qui sont ensuite déployés dans les appareils Android. Il y en a plusieurs pour une bonne raison : il existe de nombreuses versions d'Android. Comme Google ne certifie que les appareils qui emploient un noyau GKI et que la suppression du code RISC-V empêche la création du noyau GKI, il y a donc peu de chances de voir un appareil Android à base de RISC-V à court terme.

La raison du retrait du jeu d'instructions RISC-V n'est pas connue, mais plusieurs raisons peuvent expliquer ce changement. La première viendrait d'une pression des États-Unis dans leur bataille technologique contre la Chine : RISC-V ne dépend pas des USA et la fondation qui gère le jeu d'instructions a même été déplacée en Suisse il y a quelques années justement pour éviter les pressions gouvernementales. La seconde raison est purement technique : RISC-V évolue régulièrement et Google a peut-être décidé d'attendre que l'ensemble soit stabilisé, avec un socle commun. Actuellement, les puces RISC-V n'implémentent pas nécessairement toutes les instructions, avec parfois de grosses différences. Enfin, Google considère peut-être tout simplement que l'écosystème n'est pas mûr pour être déployé en masse.

Les Jeux olympiques approchent, et France Télévisions ne compte pas en louper une miette. Le diffuseur officiel a annoncé le lancement de la chaîne « Paris 2024 » à partir du 8 mai, qui permettra de suivre le parcours de 1625 km de la flamme olympique sur les différentes plateformes où france.tv est disponible (apps, navigateur, TV connectées…).

Dans son communiqué, France Télévisions met l’accent sur les technologies utilisées : la flamme sera suivie grâce à des drones et un « système novateur 100% basé sur le cloud et la 5G / Starlink ». La partie technique va se baser sur les outils et l'écosystème proposés par TVU Networks. On nous promet une approche écologique permettant d’économiser « plusieurs dizaines de tonnes d'émissions de CO2 » par rapport aux méthodes traditionnelles. Le communiqué précise :

Cette approche révolutionnaire s'applique à tous les aspects de la production de l'événement : la gestion des flux en direct, la réalisation multicaméras, la gestion des habillages graphiques, les commentaires, le mixage audio, l'intercommunication entre les équipes, et la diffusion. Pour assurer la couverture du parcours de la flamme, le projet utilise l'infrastructure AWS pour une expérience optimale.

10 heures de direct seront proposées chaque jour, présentant les relais de la flamme et des rediffusions des Jeux d’été des 40 dernières années. La chaîne continuera d’émettre après la cérémonie d’ouverture, donnant la priorité aux sports urbains et aux nouvelles disciplines olympiques : breaking, skateboard, surf, escalade, rugby à 7, basket 3x3 et BMX. La plateforme France.TV devrait avoir droit à un lifting et s’enrichir de contenus multiformats (podcasts, articles…) pour l'occasion.

Amazon applique une nouvelle réduction à l'iPhone 15 Pro Max qui est affiché en ce moment à 1 249 € dans sa version de base en 256 Go. C'est 230 € de moins que son prix normal. La livraison est possible pour ce vendredi 10 mai.

Comme précédemment — où ce modèle était déjà descendu mais à 1 270 € — c'est uniquement le coloris bleu du titane qui est concerné.

Faut-il encore répéter que les optiques de l’iPhone 16 repasseront à la verticale, dans une réminiscence de l’iPhone X censée favoriser l’enregistrement des vidéos « spatiales » ? À cette saison où les accessoiristes lancent les commandes pour la rentrée, ShopSystem nous a fait parvenir des photographies de moules, qui confirment les précédentes rumeurs. La marque française ajoute un petit détail : l’anneau MagSafe des futurs iPhone 16 et iPhone 16 Pro sera deux fois plus fin que celui des actuels iPhone 15 et iPhone 15 Pro.

Cette petite modification pourrait avoir de grandes conséquences pour les accessoiristes, qui devront peut-être revoir l’arrangement des aimants sur certains de leurs produits. Le diamètre extérieur de la couronne et la position de l’aimant d’alignement ne semblent pas avoir changé, ce qui devrait toutefois faciliter la transition. Les moules confirment aussi, s’il le fallait encore, le nouvel agrandissement des écrans.

iPhone 15 et iPhone 15 Pro : faut-il avoir la frite pour des images de moules ?

L'iPhone 16 aurait un look arrière hérité des iPhone X et 11

Il y a maintenant une myriade d’accessoires compatibles Localiser, allant de la trottinette au vélo en passant par le porte-clefs ou même les lunettes. Le site espagnol Mundo Xiaomi a fouiné dans le catalogue chinois du fabricant et a même déniché… une poussette embarquant une puce U1. Un produit au tarif très abordable étant donné qu’il est actuellement vendu 2 099 yuans sur le site du fabricant, soit environ 270 €.

Ce très gros AirTag pourra donc servir à promener un bambin de quelques mois jusqu’à 4 ans, et dispose d’une forme adaptative pouvant être modifiée au fil du temps. La poignée principale peut être ajustée sur 3 niveaux pour toutes les tailles de promeneurs. On peut entièrement le replier, ce qui lui donne alors les dimensions d’une valise cabine (63cmx58cmx38cm) pour un poids total de dix kilos.

Xiaomi affirme que son produit a été optimisé pour limiter les vibrations et protéger au mieux le développement du nourrisson, absorbant les chocs pour éviter les secousses au niveau de la tête ou de la colonne vertébrale. Les grosses roues pouvant tourner à 360º sont pensées pour différents types de sol, tandis que l’auvent supérieur cachera bien le bébé des rayons du soleil.

Ce modèle (baptisé « Peng » en référence à un oiseau géant de la mythologie chinoise) n’est malheureusement pas disponible en Europe pour le moment. Si les autres poussettes de Xiaomi ne sont pas vendues en France par les canaux officiels, on peut croiser les doigts pour que celle-ci finisse par arriver chez nous.

Ceux qui aiment l'iPhone 13 prendront le vert, ce n'est pas sa couleur la plus excitante, mais c'est celle qui a la meilleure réduction. Le modèle de 128 Go est encore descendu d'une marche à 579 €. La gamme était précédemment à 599 € au lieu de 749 € sur l'Apple Store.

L'iPhone 13 a la même puce A15 que l’iPhone 14, la 5G, le MagSafe ou encore un écran OLED de 6,1". Si c'est le 14 que vous visez plutôt, lui-même est à un bon prix en ce moment sur le coloris jaune.

Promo : l'iPhone 14 à 699 €, son meilleur prix

Les efforts d'Apple pour mettre au point un écran pliable sont montés d'un cran, affirme l'analyste Jeff Pu de Haitong International Securities, habitué à suivre l'activité de la Pomme. Dans une note il indique qu'Apple lancera fin 2025 la production en volume d'un écran d'une diagonale de 20,3 et qu'un iPhone pliable suivra fin 2026. Deux diagonales seraient à l'étude, 7,9" et 8,3".

Apple semble avoir accéléré ses travaux sur ces produits au vu de différents indices au sein de sa chaine de production, explique Pu. Ces premiers produits viseraient le très haut de gamme.

Autres sujets, autres rumeurs, l'analyste Ross Young de Display Supply Chain Consultants a entendu parler d'une arrivée de Face ID sous l'écran pour 2026 avec les iPhone 18 Pro.

La disparition des composants TrueDepth derrière l'écran a déjà débuté avec les précédentes générations d'iPhone, mais il reste du chemin pour ne conserver qu'un poinçon destiné à la caméra frontale (précédemment cet objectif semblait prévu pour 2025). Quant aux iPhone non Pro, ils pourraient en disposer fin 2027 à partir des iPhone 19.

Enfin, Young table sur l'utilisation généralisée d'un écran LTPO au lieu de LTPS en 2025, ce qui signifie qu'il faudrait encore attendre plus d'un an pour avoir ProMotion et l'écran toujours allumé sur des iPhone autres que les modèles Pro.

L'iPhone pliable ne s'ouvrirait pas avant 2027

iPhone ou iPad pliable, Apple travaillerait sur les deux