Après une année 2013 qui a servi de mise en route, les montres et bracelets connectés devraient largement gagner en popularité cette année. D'après une étude de GfK 35 000 montres connectées et 30 000 bracelets ont été vendus en France l'année dernière. L'institut prévoit que les ventes fassent plus que doubler en 2014 pour atteindre 150 000 unités (montres et bracelets confondus).
À l'heure actuelle, 62 % des personnes interrogées (2 502 interviews réalisées) ont déjà entendu parler de ce type de produit, et 7 % savent exactement de quoi il s'agit — vous en faites certainement partie si vous lisez régulièrement iGeneration. 31 % des Français n'en ont, eux, jamais entendu parler. Le pourcentage monte à 49 % en ce qui concerne les bracelets.
GfK s'est aussi intéressé aux usages attendus par les consommateurs. En premier lieu, il s'agit de la connexion avec un smartphone pour recevoir les notifications de mails, SMS, etc. En numéro 2, les applications de santé, pour suivre par exemple sa fréquence cardiaque. Puis vient la gestion des appels et enfin les usages sportifs. Autant de fonctions qu'un produit comme la Galaxy Gear est capable d'assurer, mais pas encore de manière optimale.
Une autre étude, cette fois réalisée aux États-Unis, offre un autre éclairage intéressant sur l'informatique vestimentaire. Le Nike FuelBand est le traqueur d'activités le plus connu (57 % des gens en ont entendu parler) et c'est aussi celui que les gens sont le plus susceptible d'acheter (13 %)... mais ils auront du mal à passer à la caisse étant donné que l'équipementier a prévu de se concentrer sur le logiciel au détriment du matériel.
On remarque également que les intentions d'achat sont assez basses. Le Gear Fit, qui est à la fois un traqueur d'activité et une montre connectée, n'apparait pas dans cette étude.
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