Acte II pour la Surface qui arrivera dans sa version Pro équipée de Windows 8 le 9 février. Un très léger retard sur le planning initial qui parlait de courant janvier. Cette tablette qui fera cette fois fonctionner toutes les applications Windows sera vendue d'abord aux États-Unis et au Canada. Microsoft a précisé que d'autres informations seraient données le jour J, sans plus de détails.
Contrairement à la version RT, la grande distribution est immédiatement associée à ce lancement. La première Surface n'y avait été mise en rayon qu'à la mi-décembre (lire Surface est en vente à la Fnac et chez Boulanger). Elle n'était au départ visible que dans une dizaine de Microsoft Store américains et sur le site de vente en ligne de son fabricant. Microsoft n'a à ce jour donné aucun chiffre permettant de juger de l'accueil fait à ce produit.
Dans les prochaines semaines, Microsoft entend distribuer l'actuelle Surface avec Windows RT dans 13 pays supplémentaires : Belgique, Suisse, Luxembourg, Autriche, Danemark, Finlande, Italie, Pays-Bas, Irlande, Norvège, Portugal, Espagne et Suède. Elle l'est actuellement dans huit, dont la France.
Autre évolution pour la RT, elle sera proposée dans une version à 64 Go dépourvue du clavier Touch Cover. Il était inclus d'office, et cela devrait réduire le prix de la tablette d'environ 120€. Cela pourrait l'amener à un peu moins de 600€ et ce modèle sera également être vendu en France à partir du 9 février.
Cette Surface avec Windows 8 Pro est plus proche des caractéristiques d'un portable, avec son architecture Intel. Elle est par conséquent aussi plus épaisse, plus lourde, mais elle a un écran de bien meilleure définition et elle apparaît franchement plus véloce. Microsoft la fournit avec un stylet aimanté, mais sans la suite Office. L'autonomie en revanche y perd.
Elle sera vendue 899$ en version 64 Go et et 999$ pour la 128 Go. Des tarifs qui placent ce modèle au niveau des Ultrabooks. C'est d'ailleurs une volonté de Microsoft de présenter ses Surface comme des substituts aux portables classiques tout en étant capables de concurrencer les tablettes. Cela se veut d'autant plus vrai encore avec Windows 8 sous l'écran.
The Verge avait pu prendre en main au début janvier une version de présérie de cette Surface Pro pendant une grosse demi-heure. Il ressortait des premières impressions ce même sentiment confus devant un appareil qui veut jouer sur deux tableaux, il n'est ni un excellent portable ni une excellente tablette.
Elle n'est pas très commode à utiliser posée sur les genoux du fait de l'angle assez vertical de son pied et le ratio 16:9 rend son utilisation en mode portrait « comique ». Autre point souligné, l'autonomie qui est estimée à 5h. C'est tout de même honnête face à des Ultraportables. Ça l'est moins si l'on compare aux tablettes (la RT sur ARM tourne à 8h/9h).
Dans les points forts étaient notés le matériel, la qualité de fabrication, l'écran, la bonne précision du stylet et des performances du Core i5 1,7 GHz sans commune mesure avec celles du Tegra 3 1,3 GHz de la RT nettement plus poussif.
Passée aussi brièvement entre les mains de Paul Thurrott's et d'Anandtech, tous ont rappelé la présence de deux ventilateurs dans cette tablette, mais aucun ne s'est plaint de nuisances sonores particulièrement perceptibles, sauf à coller la Surface contre l'oreille et lancer des applications assez lourdes.
Sur le même sujet :
- Test de la Microsoft Surface RT
Dans les prochaines semaines, Microsoft entend distribuer l'actuelle Surface avec Windows RT dans 13 pays supplémentaires : Belgique, Suisse, Luxembourg, Autriche, Danemark, Finlande, Italie, Pays-Bas, Irlande, Norvège, Portugal, Espagne et Suède. Elle l'est actuellement dans huit, dont la France.
Autre évolution pour la RT, elle sera proposée dans une version à 64 Go dépourvue du clavier Touch Cover. Il était inclus d'office, et cela devrait réduire le prix de la tablette d'environ 120€. Cela pourrait l'amener à un peu moins de 600€ et ce modèle sera également être vendu en France à partir du 9 février.
Cette Surface avec Windows 8 Pro est plus proche des caractéristiques d'un portable, avec son architecture Intel. Elle est par conséquent aussi plus épaisse, plus lourde, mais elle a un écran de bien meilleure définition et elle apparaît franchement plus véloce. Microsoft la fournit avec un stylet aimanté, mais sans la suite Office. L'autonomie en revanche y perd.
Elle sera vendue 899$ en version 64 Go et et 999$ pour la 128 Go. Des tarifs qui placent ce modèle au niveau des Ultrabooks. C'est d'ailleurs une volonté de Microsoft de présenter ses Surface comme des substituts aux portables classiques tout en étant capables de concurrencer les tablettes. Cela se veut d'autant plus vrai encore avec Windows 8 sous l'écran.
The Verge avait pu prendre en main au début janvier une version de présérie de cette Surface Pro pendant une grosse demi-heure. Il ressortait des premières impressions ce même sentiment confus devant un appareil qui veut jouer sur deux tableaux, il n'est ni un excellent portable ni une excellente tablette.
Elle n'est pas très commode à utiliser posée sur les genoux du fait de l'angle assez vertical de son pied et le ratio 16:9 rend son utilisation en mode portrait « comique ». Autre point souligné, l'autonomie qui est estimée à 5h. C'est tout de même honnête face à des Ultraportables. Ça l'est moins si l'on compare aux tablettes (la RT sur ARM tourne à 8h/9h).
Dans les points forts étaient notés le matériel, la qualité de fabrication, l'écran, la bonne précision du stylet et des performances du Core i5 1,7 GHz sans commune mesure avec celles du Tegra 3 1,3 GHz de la RT nettement plus poussif.
Passée aussi brièvement entre les mains de Paul Thurrott's et d'Anandtech, tous ont rappelé la présence de deux ventilateurs dans cette tablette, mais aucun ne s'est plaint de nuisances sonores particulièrement perceptibles, sauf à coller la Surface contre l'oreille et lancer des applications assez lourdes.
Sur le même sujet :
- Test de la Microsoft Surface RT
