Fontstand permet de louer des polices sur iPad
Dans la masse des catalogues de polices sur abonnement, Fontstand se distingue avec un modèle original de location menant progressivement à la propriété pleine et entière. Un modèle maintenant adapté à l’iPad, avec une application permettant d’installer plus de 15 000 polices dessinées par une cinquantaine de fonderies indépendantes.
Alors que la plupart des services concurrents s’appuient sur un service web, le néerlandais Fonstand distribue son catalogue par l’intermédiaire d’une application, qui contrôle l’activation des polices. Les polices peuvent être essayées gratuitement pendant trois heures, puis louées pour un tarif mensuel équivalent à 10 % de leur prix, avec un surcout de 2 % par poste supplémentaire.
La plupart des polices ainsi louées intègrent une licence web couvrant jusqu’à 100 000 pages vues par mois, avec là encore un surcout de 2 % par tranche de 100 000 pages supplémentaires. Un modèle adapté aux besoins des indépendants et des agences travaillant sur des projets ponctuels, qui évite toutefois de tomber dans la rente.
Après douze mois de location en effet, la licence temporaire est transformée en licence perpétuelle, puisque l’on a déjà largement dépassé son tarif. Les utilisateurs du service peuvent maintenant retrouver leurs licences sur iPad, avec la nouvelle application de Fontstand, qui permet d’installer les polices dans toutes les applications prenant en charge les polices personnalisées.
En plus de son offre habituelle, qui peut toujours être gérée depuis macOS ou Windows, Fontstand propose une nouvelle offre spécifique à l’iPad. Un abonnement à 4,99 € par mois donne l’accès à plus de 1 600 polices, un cout relativement bas dans le domaine, qui ne comprend toutefois pas la commutation d’une licence temporaire en licence perpétuelle. L’application elle-même, bien sûr, est gratuite.
“Après douze mois de location en effet, la licence temporaire est transformée en licence perpétuelle” ah ça c’est raisonnable
5 € pour 1600 polices que personne ne connais. Et ça tous les mois. Au final ça peut faire très chère.
Je prefers acheter les fonts. Car dans -0 ans, quand le client demandera un retirage avec actualisation du document, j’aurais l’air malin si je n’ai pas la police.
@gwen
Tu as lu l'article au moins ?
@Mrleblanc101
Non je ne lis que les titres. Et encore une lettre sur deux. Mon temps est précieux. ;-)
@gwen
Clairement l'article spécifie qu'après 1 an tu obtien la licence perpétuelle
@Mrleblanc101
Ok. Toi tu n’as pas étais jusqu’au bout de l’article apparemment : « .../... qui ne comprend toutefois pas la commutation d’une licence temporaire en licence perpétuelle. » :)
@Mrleblanc101
“Clairement l'article spécifie qu'après 1 an tu obtien la licence perpétuelle”
Peut être que tu as lu, mais tu n’as rien compris du tout.
Tu ferais mieux, de ton côté, de t’en tenir au titre..:D
@Mrleblanc101
J’ai lu l’article je n’ai pourtant pas vraiment tout compris.
@gwen
5 euros par mois ca fait même pas le prix d’un font par an... c’est pas cher du tout. J’ai dépensé des milliers d’euros en fonts dans ma carrière. Cela dit surtout des font Adobe.
@Brice21
C’est ça la différence. Ces fonts sont inconnus. Ce n’est pas le catalogue Adobe. Et si j’arrête l’abonnement je ne peut plus ouvrir les projets qui les utilisent.
J’ai aussi acheté des milliers de polices (plus de 3000 dans ma bibliothèque en ce moment) et de temps en temps, j’ai des clients qui me demandent un retirage des années plus tard. Si je n’ai plus la polices, c’est galère. En plus, est ce que ce système va encore être disponible d’ici quelques années et ne va pas fermer d’ici là.
@gwen
3000 fonts, ... il y en a pour plus 1000 ans d’abonnement si tu les a payés le prix plein.
Tu es courant que tu peux en activer 100 en même temps au choix dans l’Adobe Creative Cloud?
@Brice21
Je n’ai pas que des fonts Adobe justement. :-)
Voir presque pas. J’ai plutôt le catalogue linotype, du temps où ils vendaient des CD. Bon, c’est un peu obsolète maintenant t.
Pour le boulot, ce n’est pas excessif.
Pour un particulier, c’est excessif.