Le Beddit est un nouvel accessoire dédié au suivi du sommeil. Ce n’est pas le premier sur le segment et tous les bracelets intelligents, à commencer par le UP de Jawbone que nous avions eu l’occasion de tester, sont capables de suivre votre sommeil. Ce nouveau venu se distingue toutefois par une idée différente : il vient se caler directement sur le matelas.
Plutôt que de vous obliger à porter un appareil sur vous — ce qui peut être gênant pendant la nuit, surtout si vous bougez beaucoup — le Beddit se positionne directement sous les draps, sur le matelas. Il est constitué d’une fine bande qui ne devrait pas gêner pendant la nuit et d’un module à l’extérieur du lit. Si tout va bien, vous pourrez oublier l’accessoire qui se chargera de son côté de collecter les données pendant toute la nuit.
Ces données sont transmises à un smartphone (iPhone ou Android au lancement) sur lequel on aura préalablement installé une application spécifique. La transmission se fait en Bluetooth et le Beddit est lui-même alimenté par un câble USB, si bien que vous n’aurez pas d’autre batterie à gérer que celle de votre appareil mobile, un point appréciable. D’après les concepteurs du produit, les capteurs sont extrêmement précis et on pourra mesurer non seulement ses cycles de sommeil, mais aussi son rythme cardiaque et sa respiration. On pourra même savoir si on a ronflé pendant la nuit : le smartphone est mis à contribution pour enregistrer la quantité de lumière et de bruit dans votre chambre.
Comme toujours, l’objectif est de prendre conscience de certains problèmes pour vous aider à mieux dormir. Beddit profite des données amassées pour vous réveiller au meilleur moment possible, c’est-à-dire en évitant autant que faire se peut les phases de sommeil profond. Même si d’autres accessoires intègrent partiellement ces fonctions, celui-ci a l’avantage d’être spécialisé dans le sommeil et de le faire parfaitement, sur le papier au moins.
À l’état de projet, Beddit peut être précommandé sur le site Indiegogo. Comptez environ 85 € avec les frais de port pour un exemplaire, 150 € environ pour deux exemplaires — pratique pour les couples. Les expéditions sont prévues pour le mois de novembre et ces tarifs sont inférieurs à ceux qui seront pratiqués lors de sa commercialisation.
Plutôt que de vous obliger à porter un appareil sur vous — ce qui peut être gênant pendant la nuit, surtout si vous bougez beaucoup — le Beddit se positionne directement sous les draps, sur le matelas. Il est constitué d’une fine bande qui ne devrait pas gêner pendant la nuit et d’un module à l’extérieur du lit. Si tout va bien, vous pourrez oublier l’accessoire qui se chargera de son côté de collecter les données pendant toute la nuit.
Ces données sont transmises à un smartphone (iPhone ou Android au lancement) sur lequel on aura préalablement installé une application spécifique. La transmission se fait en Bluetooth et le Beddit est lui-même alimenté par un câble USB, si bien que vous n’aurez pas d’autre batterie à gérer que celle de votre appareil mobile, un point appréciable. D’après les concepteurs du produit, les capteurs sont extrêmement précis et on pourra mesurer non seulement ses cycles de sommeil, mais aussi son rythme cardiaque et sa respiration. On pourra même savoir si on a ronflé pendant la nuit : le smartphone est mis à contribution pour enregistrer la quantité de lumière et de bruit dans votre chambre.
Comme toujours, l’objectif est de prendre conscience de certains problèmes pour vous aider à mieux dormir. Beddit profite des données amassées pour vous réveiller au meilleur moment possible, c’est-à-dire en évitant autant que faire se peut les phases de sommeil profond. Même si d’autres accessoires intègrent partiellement ces fonctions, celui-ci a l’avantage d’être spécialisé dans le sommeil et de le faire parfaitement, sur le papier au moins.
À l’état de projet, Beddit peut être précommandé sur le site Indiegogo. Comptez environ 85 € avec les frais de port pour un exemplaire, 150 € environ pour deux exemplaires — pratique pour les couples. Les expéditions sont prévues pour le mois de novembre et ces tarifs sont inférieurs à ceux qui seront pratiqués lors de sa commercialisation. 
