Si vous souhaitez vous engager chez Orange, sachez que son offre promotionnelle sur les forfaits Origami s'achève demain.

Elle permet d'être remboursé à hauteur de 100 € si vous souscrivez un forfait de la gamme Origami, Origami en version plus, Origami pour iPhone ou à un forfait mobile Fnac avec engagement de 12 mois minimum.

Si l'on prend en compte cette réduction, cela ramène l'iPhone 3GS 16 Go à 49 € et le 32 Go à 79 €.

Un an après la sortie de sa première version, Google Earth pour iPhone s'en revient pour une deuxième version [2.O - 11 Mo - Gratuit].

Parmi les principales nouveautés de cette version, on pourra noter qu'il est désormais possible de voir des cartes personnalisés depuis l'application iPhone (après s'être identifié via son compte Google). Ces cartes peuvent être proposées par d'autres utilisateurs, ou vous pouvez aussi les avoir créées avec Google Earth pour Mac, les avoir exportées au format KML, et les importer dans la section "Mes cartes" de Google Maps.

La navigation dans l'application a été améliorée, notamment en ce qui concerne la localisation de lieux et POI (points d'intérêt), et les couches d'informations (notamment les articles Wikipedia en rapport avec les lieux). Enfin, les performances ont été améliorées (c'est à peine sensible sur un iPhone EDGE).

On le sait, si les jeux basés sur le moteur Unity ont été refusés en bloc de l'App Store, c'est parce que le moteur faisait appel à des API privées (ce n'est désormais plus le cas, lire Les jeux Unity refoulés de l'App Store). Un échange intéressant entre John Gruber et le développeur Craig Hockenberry (Twitterrific, Frenzic) révèle qu'Apple utilise maintenant un système pour vérifier automatiquement la présence d'API privées.

Les API publiques sont supportées officiellement par Apple, avec une garantie que des changements au niveau du système ne poseront pas de problèmes (ou en tout cas que la transition vers un nouveau système sera facilité). Les API privées, elles, font appel à leurs propres méthodes, et leur fonctionnement peut être remis en cause à la moindre mise à jour. Apple elle-même utilise parfois des API privées, en cours de développement, comme cela a été le cas avec Google Maps pour iPhone, avant que celles-ci ne soient rendues publiques une fois stabilisées. Les API privées qui nous intéressent, _NSGetEnviron et exc_server, ont été notamment utilisées par Storm8, pris dans une poursuite pour vol de numéros de téléphone, ce qui a valu à toutes les applications les utilisant d'être rejetées.

Apple a semble-t-il décidé de serrer un peu la vis de ce côté-là, pour éviter ce genre de problèmes à l'avenir, et s'assurer de l'utilisation par tous d'une base commune et cohérente.

Va-t'on vers un arrêt de jeu dans le match qui oppose Palm à Apple et où le premier s'évertue à rendre son Pre synchronisable avec iTunes ? Apple avait réussi à bloquer (à nouveau) cette connexion avec la mise à jour 9.0.2 de son jukebox. Depuis, Palm a sorti une révision système 1.3.1 de webOS mais la capacité de synchronisation n'est pas revenue selon Boy Genius Report.

En septembre dernier le consortium USB avait émis un avis défavorable à la demande de Palm visant à lui permettre de brancher ses smartphones sur iTunes en jouant sur les numéros d'identification US

Néanmoins, tout n'est pas perdu pour les utilisateurs d'iTunes sur Pre, ils peuvent se tourner vers l'utilitaire GoGadget de MarkSpace qui va au delà de la synchronisation de listes de musiques iTunes. Simplement la solution est payante (19,95$).

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Après TomTom et Navigon (pour n'en citer que deux), un nouvel acteur a décidé de porter son logiciel de navigation pour iPhone. Il s'agit de Magellan qui propose depuis peu Magellan RoadMate 2010 North America sur la plate-forme d'Apple.

Sur le plan des fonctionnalités, le logiciel semble relativement complet sur le papier. Par contre au niveau de l'interface, le fabricant n'a pas fait d'effort pour l'adapter à l'iPhone, c'est exactement la même que celle qu'on retrouve sur les appareils Magellan.

La société compte lancer prochainement une édition européenne de son logiciel dans un deuxième temps. D'autre part, elle proposera d'ici un peu un Premium Car Kit, un accessoire quasiment identique au Car Kit de TomTom : il embarque un GPS et fait office de support pour iPhone pour la voiture.

Orange vient de lancer un nouveau site portail spécialement conçu pour l'iPhone. Le WebStore est une webapp qui recense les meilleurs sites optimisés pour le terminal d'Apple.

L'initiative est intéressante, mais arrive sans doute trop tardivement. Notez d'autre part que contrairement à ce que peut laisser entendre le nom du service, il est entièrement gratuit.

Reste que le site est bien fait et dispose d'effets que l'on ne trouve pas souvent au sein d'une webapp.

On le sait, l'iPhone coûte cher aux opérateurs, qui le subventionnent à une hauteur bien supérieure à la moyenne, même si le tarif des forfaits spécifiques au téléphone d'Apple doit bien leur permettre de se rattraper. Le dernier rapport de Strand Consulting pointe cependant un aspect nouveau : la garantie de l'iPhone pourrait représenter, à terme, un risque financier pour les opérateurs.

En effet, comme le rappelle l'étude, la plupart des pays de l'Union européenne imposent une garantie de deux ans sur les produits électroniques (les pays scandinaves demandent même cinq ans). Dans la majorité des cas, les fabricants se sont pliés à la règle — pas Apple : « Apple n'offre à ses clients qu'un an de garantie, ce qui oblige les distributeurs à couvrir les frais de réparation pendant la deuxième année de vie du téléphone ».

On ne connaît pas forcément de gros défauts à l'iPhone (les écrans fissurés ne semblent pas encore être une règle, et on ne sait pas s'il s'agit d'un défaut de l'iPhone lui-même), mais cet état de fait pourrait coûter bien cher aux opérateurs, 35 à 70 € par appareil défectueux en comptant les frais de logistique (comptez 5 % de défauts, et ce sont près de 4 millions d'euros qui partent en fumée…). Apple n'offre semble-t-il aucune garantie de prise en charge auprès des opérateurs des téléphones défectueux au-delà de la première année, et c'est bien là le nœud du problème : on imagine ce qu'il pourrait se passer si toute une série d'iPhone devait s'avérer défectueuse 12 mois après avoir été vendus… Mais nul doute que les opérateurs ont pensé à cette éventualité et se sont couverts…

Via 9to5