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Aperçu de l’iPhone Pocket : ou quand Apple vous fait les poches

Stéphane Moussie

lundi 17 novembre à 18:20

Accessoires

À peine lancée, déjà épuisée. L’iPhone Pocket aura été l’un des produits Apple à la carrière la plus brève. Il ne fallait pas traîner pour commander cette drôle de poche en édition limitée, conçue en collaboration avec la maison de luxe Issey Miyake. Nous avons été assez rapides pour en obtenir une : la version courte, coloris paon, affichée à 159,95 € (la version longue coûtait 249,95 €).

L’emballage en papier est empreint d’une touche japonaise tout sauf fortuite. « L’idée, c’est d’ouvrir un cadeau rempli de bonbons », explique à Vogue Yoshiyuki Miyamae, le directeur du design de Miyake Design Studio, en évoquant les sachets en papier de riz utilisés lors d’une fête traditionnelle pour les enfants. Même si cette référence culturelle échappera à la plupart des clients, l’attention portée au conditionnement est notable.

Image iGeneration

Dans sa version courte, l’iPhone Pocket mesure environ 400 x 63 x 8 mm, ce qui est déjà beaucoup plus grand que l’ancienne iPod Sock. Il faut dire que les appareils mobiles ont beaucoup grandi en 20 ans et la chaussette pour iPod est devenue trop étroite pour les terminaux actuels. L’iPhone Pocket, elle, peut loger entièrement un iPhone Pro Max, ou bien des AirPods, un porte-cartes, des accessoires de maquillage ou d’autres petits objets. La « compatibilité » ne se limite donc pas à l’iPhone, même si celui-ci y trouve naturellement sa place.

Tricotée en 3D au Japon, la poche s’étire pour accueillir l’objet puis le maintient correctement. L’iPhone Pocket s’inspire du concept « a piece of cloth » d’Issey Miyake — le même styliste qui a conçu le pull emblématique de Steve Jobs. C’est en quelque sorte l’équivalent du design unibody d'Apple : le vêtement est fabriqué à partir d'un simple tube de tissu tricoté. Il est constitué de 85 % de polyester, 14 % de nylon et 1 % d’élasthanne.

Apple Sports disponible dans de nombreux pays européens, dont la Belgique et la Suisse

Nicolas Furno

lundi 17 novembre à 17:21

App Store

Apple Sports (gratuit) continue petit à petit de s’ouvrir à de nouveaux utilisateurs, en étant accessible dans de plus en plus de pays. Avec la nouvelle vague, l’app sportive d’Apple est proposée dans un grand nombre de nouveaux pays européens, dont la Belgique (mais oui, même la Belgique !) et la Suisse qui intéresseront probablement bon nombre de lecteurs. Luxembourg, Pays-Bas, Pologne, Croatie, Ukraine ou encore Grèce et Roumanie sont dans la liste, si bien que le continent européen est désormais largement couvert.

Image iGeneration, photo de base Durenne Loris sur Unsplash.

Apple Sports est une app lancée début 2024 qui permet de suivre de nombreux sports en direct, pendant un match de football ou une course de Formule 1. Apple propose une liste de sports et d’équipes que l’on peut suivre et l’app affiche des activités en direct lors des événements sportifs. Depuis la sortie initiale, on peut aussi ajouter les informations dans des widgets, pour les garder toujours dans le coin de l’œil sur l’écran d’accueil des iPhone et iPad ou même sur le bureau de macOS.

Prise en main de la nouvelle app Apple Sports

Prise en main de la nouvelle app Apple Sports

Au départ, l’app n’avait été proposée que dans une poignée de pays : États-Unis, Canada et Royaume-Uni. On est resté avec cette faible base jusqu’en septembre 2025, date à laquelle Apple Sports a été ajoutée à de nombreux App Store, dont la version française. Il faut dire que l’entreprise ne s’était pas contentée d’une traduction, cette mise à jour était associée à une meilleure prise en charge des sports populaires sur le continent et en particulier le football.

Apple Sports est enfin disponible en France, juste à temps pour la Ligue des champions

Apple Sports est enfin disponible en France, juste à temps pour la Ligue des champions

La nouvelle expansion européenne s’accompagne d’une mise à jour de l’app, qui passe en version 3.5. Je n’ai pas noté de sport spécifique aux pays ajoutés aujourd’hui, mais l’app est désormais proposée dans 23 langues, ce qui devrait satisfaire tous les nouveaux utilisateurs européens.

En revanche, Apple Sports reste une exclusivité de l’iPhone, alors qu’elle approche des deux ans. Même Meta se met à proposer des apps pour l’iPad, c’est un comble qu’Apple ne daigne pas faire cet effort pour ses propres apps…

Source :

Black Friday : des piles pour AirTags et des piles rechargeables en promotion

Stéphane Moussie

lundi 17 novembre à 17:21

Accessoires

Le Black Friday ne sert pas seulement à faire des économies sur des produits qui coûtent cher en temps normal, c’est aussi l’occasion de renouveler des consommables à moindre coût. Dans le cadre de son « avant-première Black Friday », Amazon fait déjà des réductions sur toutes sortes de piles.

Le lot de 8 piles CR2032 pour AirTags de Duracell est en promo à 9,11 € (- 24 %). Ces piles disposent d’un revêtement amer pour éviter l’ingestion par les enfants et sont explicitement compatibles avec les balises d’Apple (le revêtement peut parfois poser un problème de compatibilité).

Même avec cette remise, les piles Duracell restent plus coûteuses (1,14 €/unité) que celles de marques moins connues. Par exemple, les piles Wilhelm — le choix habituel de Nicolas, notre spécialiste de la domotique qui doit alimenter plein d’objets connectés — coûtent 4,98 € les 10 (0,50 €/unité). D’après les essais de Test-Achats, l’équivalent belge de l’UFC-Que Choisir, les piles Duracell font en tout cas partie des meilleures en usage continu.

AirTags : choisissez bien les piles de remplacement

AirTags : choisissez bien les piles de remplacement

Les piles rechargeables en promotion

D’autres types de piles font l’objet de rabais spéciaux pour l’avant-première Black Friday. Côté rechargeables AAA (LR03), le pack de 4 piles Amazon Basics 800 mAh passe à 7,17 € (- 15 %) et celui de 4 piles Duracell 900 mAh à 10,99 € (- 24 %). Ces modèles servent le plus souvent pour les télécommandes ou les réveils.

Pour les rechargeables AA (LR06) un peu plus grosses, le lot de 8 Amazon Basics 2 400 mAh est proposé à 11,36 € (- 5 %) et le lot de 4 Duracell 2 500 mAh descend 11,99 € (- 23 %). Ces piles sont utilisées dans certains détecteurs de fumée, par exemple.

Le stockage cloud à vie chez pCloud profite d'une réduction exceptionnelle 📍

Article sponsorisé

lundi 17 novembre à 16:35

Services

Les formules à vie fleurissent à chaque Black Friday. Certaines disparaissent six mois plus tard, laissant les acheteurs avec des comptes fantômes...

Mais pCloud propose ce modèle depuis des années, et leur longévité mérite qu'on s'y attarde.

La question de la viabilité économique

Comment une entreprise survit-elle en ne facturant qu'une fois ? pCloud génère des revenus via trois canaux : les achats uniques de plans à vie, les formules mensuelles pour ceux qui préfèrent étaler, et les modules additionnels (Encryption, Pass) vendus séparément.

Leur base installée de 22 millions d'utilisateurs crée un effet de masse critique. Même si une partie d'entre eux a payé une seule fois, les nouveaux arrivants alimentent le flux de trésorerie. Le modèle tient depuis 2013 ; ce n'est pas une start-up volatile.

Pass : un gestionnaire de mots de passe qui ne vous piste pas

pCloud Pass appartient à cette catégorie de logiciels qui ne devraient plus être optionnels. Générer des mots de passe complexes, les stocker chiffrés, les remplir automatiquement : c'est la base d'une hygiène numérique décente.

La différence avec les concurrents comme Bitwarden ou 1Password ? Pass est intégré à l'écosystème pCloud. Si vous prenez déjà le pack 3en1, vous n'avez pas à jongler entre plusieurs abonnements. Et contrairement aux gestionnaires gratuits qui monétisent vos métadonnées, Pass fonctionne avec le même chiffrement côté client que le reste de pCloud.

Compatibilité complète : navigateurs (Chrome, Firefox, Safari, Edge), applications mobiles (iOS, Android), extensions pour tous les systèmes. La synchronisation est instantanée. Vous créez un mot de passe sur votre ordinateur, il apparaît sur votre téléphone.

Collaboration : partager sans perdre le contrôle

Le télétravail a transformé le partage de fichiers en geste quotidien. pCloud permet trois approches graduées.

  1. Les liens publics : vous générez une URL, quiconque la possède accède au fichier. Pratique pour envoyer un document volumineux sans saturer une boîte mail.
  2. Les invitations de dossiers : vous ajoutez des collaborateurs spécifiques, ils voient et modifient le contenu en temps réel.
  3. Les requêtes d'archives : vous créez un lien que d'autres utilisent pour déposer des fichiers dans votre espace. Utile pour collecter des livrables auprès de plusieurs personnes.

pCloud Backup s'occupe de sauvegarder automatiquement les dossiers critiques de votre machine. Si votre disque dur rend l'âme, vous récupérez tout. C'est inclus, pas un module supplémentaire.

La galerie photo : un détail qui change tout

Accumuler 50 000 photos et ne jamais les regarder, c'est le drame moderne. pCloud Photos tente de résoudre ça en organisant automatiquement vos images par date. L'interface affiche une timeline, vous sautez directement à 2018, 2015, 2009. Vous excluez les dossiers professionnels pour ne conserver que les moments personnels.

L'éditeur photo n'est pas Photoshop. Mais pour ajuster rapidement la luminosité d'un portrait, appliquer un filtre Vintage à une photo de voyage, ou recadrer un cliché mal cadré, il suffit. Et surtout, vos fichiers ne quittent jamais l'environnement pCloud. Pas d'export vers une application tierce qui pourrait les indexer ou les analyser.

Souveraineté : où dorment vos données ?

pCloud vous fait choisir entre deux zones géographiques : Luxembourg (Europe) ou États-Unis. Cette décision a des implications légales. Le Luxembourg applique le RGPD, avec ses contraintes strictes sur l'exploitation des données personnelles. Les États-Unis obéissent à des régulations différentes, notamment le CLOUD Act qui autorise certaines réquisitions gouvernementales.

La domiciliation suisse de pCloud ajoute une couche. La Suisse n'appartient ni à l'UE ni aux accords de surveillance des Five Eyes. Les procédures d'accès aux données y sont plus lourdes.

Combiné au chiffrement côté client d'Encryption, votre configuration devient résistante à la plupart des scénarios d'intrusion administrative ou judiciaire. Ce n'est pas de la paranoïa : c'est de l'ingénierie.

Les promos du Black Friday

  • Pack 3en1 : 599 € (-60 %)
  • 1 To : 199 € (-54 %)
  • 2 To : 279 € (-53 %)
  • 10 To : 799 € (-58 %)

Calculons pour le 2 To. Un abonnement Dropbox Plus (2 To) coûte 11,99 € par mois, soit 143,88 € par an. Sur cinq ans : 719,40 €. Sur dix ans : 1 438,80 €. pCloud demande 279 € une fois. Même en ajoutant l'inflation, l'écart demeure considérable

À qui ça s'adresse ?

Si vous payez déjà un abonnement cloud mensuel et que vous commencez à calculer combien ça coûtera sur une décennie, cette offre a du sens. Si vous jonglez entre trois services (cloud, gestionnaire de mots de passe, chiffrement), le pack 3en1 centralise tout.

Si vous manipulez des données sensibles (dossiers médicaux, informations financières, contrats juridiques) le chiffrement côté client d'Encryption justifie à lui seul l'investissement.

La promotion court jusqu'au 29 novembre. Après, les tarifs remontent. Ce n'est pas une tactique d'urgence artificielle : pCloud fait ce Black Friday chaque année, mais les prix en dehors restent effectivement plus élevés. À vous de décider si l'équation fonctionne !

👉 Je fonce sur l'offre pCloud du Black Friday 2025

SwitchBot vend lui aussi un détecteur de présence sur piles compatible avec Matter, mais via un hub

Nicolas Furno

lundi 17 novembre à 15:53

Domotique

SwitchBot annonce à son tour un détecteur de présence sur piles et compatible avec Matter, même pas une semaine après la sortie de celui d’Aqara. Son capteur de présence est nettement moins cher avec un tarif de base de 33 € et même une promotion de lancement à 26,4 € seulement en cochant la case sur la fiche produit. Un excellent prix, en tout cas si vous avez déjà un pied dans l’écosystème du fabricant. En effet, le produit fonctionne en Bluetooth et il n’est pas directement Matter, il a besoin d’un hub SwitchBot pour se lier à la domotique.

Image SwitchBot.

Le fonctionnement est identique à tous les autres détecteurs de présence qui ne sont pas alimentés en permanence. Puisque les ondes millimétriques émises par le radar intégré pour identifier les mouvements les plus infimes demandent trop d’énergie, SwitchBot a ajouté un détecteur de mouvements traditionnel, basé sur les ondes infrarouges, pour d’abord identifier une présence. Ce n’est qu’à ce moment-là que le radar entre en action et surveille le départ, garantissant que les lumières restent allumées, par exemple, même si on est assis dans un fauteuil ou allongé dans un canapé. Cette association maintient une bonne autonomie et le fabricant annonce jusqu’à deux ans avec ses deux piles AAA (fournies).

Comme souvent, un capteur de luminosité est aussi intégré et peut servir dans le cadre des automatisations de domotique, pour n’activer les éclairages connectés que s’il fait suffisamment sombre. Pas d’autres capteurs ici, mais pour le prix, c’est difficile d’être exigeant. On n’est pas loin sur le plan tarifaire des appareils Zigbee vendus une quinzaine d’euros sur AliExpress que j’avais testé il y a quelques mois.

Test d’un détecteur de présence sur piles pour Home Assistant

Test d’un détecteur de présence sur piles pour Home Assistant

La compatibilité avec Matter est un plus évidemment et grâce à elle, vous pourrez utiliser le détecteur de présence de SwitchBot depuis l’app Maison d’Apple ou tout autre écosystème qui gère le standard. Si c’est votre premier produit Bluetooth de SwitchBot, un hub de la marque est nécessaire : comptez 70 € au minimum pour le Hub mini, ou bien 80 € pour le Hub 2 qui intègre aussi des capteurs de température et humidité. C’est pourquoi ce nouveau-venu est surtout utile si vous avez déjà le hub, sinon autant privilégier le FP300 d’Aqara qui fonctionne en direct avec Matter grâce au Thread.

Test du FP300 d’Aqara, le premier détecteur de présence sur pile compatible avec Matter

Test du FP300 d’Aqara, le premier détecteur de présence sur pile compatible avec Matter

Je n’ai pas encore reçu le produit pour le tester, mais vous pouvez compter sur un article plus complet si le fabricant me l’envoie. J’utilise depuis près de deux ans l’ancien détecteur de mouvements de SwitchBot, qui a le même format, mais qui se contente des ondes infrarouges. Il fonctionne parfaitement bien et je n’ai toujours pas changé les piles d’origine, ce qui est prometteur pour ce nouveau-venu.