J'ai prit un coup de vieux en revoyant tout ces pseudo de la vieille époque !

Pour ma part j'avais acheté le v1 au premier jour de dispo à la FNAC de Lyon.
.

j'étais là
et j'étais bluffé.

Surtout par le fait qu'ils avaient préparé iTunes.

Je possède encore le V1 et sa HOUSSE !

Cela a été mon premier produit  en 2005…
J’avais vu le premier iPod à la Fnac (en
2002 je pense) mais n’ayant pas de Mac d’une part, et le prix d’autre part m’avaient fait acheté un lecteur de Minidisc de chez Sony…
Et avec le recul, c’est grâce ou à cause de cet iPod que je suis tout équipé  aujourd’hui…
Article passionnant.
On pourrait faire le même avec l’iPhone ou l’iPad, ou les écouteurs sans fil etc. Sans même avoir à parler des ordinateurs pommés.
Cette marque est vraiment incroyable.

Je regrette toujours une fonction disparue qui permettait sur un appui long de la commande lecture des écouteurs de se voir me donner le titre et l’artiste du morceau.
Avec quelques sourires à la prononciation de certains chanteurs français…,

Il ne faut peut être pas être aussi sévère avec ces prévisions foirées dans les commentaires de l'époque. Et se remettre dans le contexte.
L'iPod c'était pour une majorité de membres de la communauté Apple (ce sont les commentaires du forum Macg hein), à la fois trop et pas assez.

Trop parce que cette incursion dans un nouveau domaine pouvait sembler incongrue dans la perception de l'univers du constructeur des Macs : des ordinateurs "à part", dont était défendue bec et ongles la supériorité (de niche) par rapport au PC. Et ce truc à 400 boules, rien que pour écouter de la musique compressée ? Pourquoi le créateur du Mac allait se fourvoyer dans un produit "entertainment" qui n'était pas son "coeur de métier".

Pas assez parce que les services proposés étaient considérés comme trop restreints pour le prix à y mettre. Pas assez par rapport aux attentes (la machine à rumeurs était déjà en marche à l'époque) - "j'aurai aimé un PDA qui fasse télévision et papa maman à la place, là c'est trop limité en terme d'usage".

Rappelons que le premier iPod était en quelque sorte un accessoire du Mac, réservé aux possesseurs de Mac. Une sorte de périphérique esclave centré sur la musique (et de façon très secondaire disque externe). On l'alimentait de façon unidirectionnelle (pour ce qui était de la bibliothèque musicale).
Alors trop (cher, hors de cible) et pas assez (utile) = flop.

Il fallait avoir l'esprit particulièrement affuté ouvert et clairvoyant pour deviner que, derrière ce truc que sortait Apple, pouvait se cacher un cheval de Troie qui allait lancer la grande marche vers le retour à la réussite et le monstre qu'elle est devenue aujourd'hui.

Mon aventure avec Apple a débuté avec la première génération d’iPod Shuffle.

Je ne connaissais pas du tout Apple à ce moment-là.
Mais je trouvais le design sympa et le fait de sa taille réduite me permettant de le glisser facilement dans la poche m’a tout de suite séduit.

J’ai enchaîné quelques temps plus tard avec l’iPod Vidéo.
J’ai eu l’iPod Touch juste le temps de patienter jusqu’à la sortie de l’iPhone 2 mois plus tard.

A l’heure actuelle il me reste toujours mon iPod vidéo que je garde précieusement.

Quel plaisir de revoir tous les pseudos des contributeurs du fil dlorigine…. c’est si loin et si proche.
et ma première réaction a chaud …
« mais pourquoi j'ai acheté un jukebox Archos, ne disposant que d'une interface USB, incompatible avec OS X, lourd et antiergonomique au niveau de l'interface ? hein, pourquoi ? »
aujourd’hui, l’ipod traîne toujours au fond d’un tiroir à côté du Archos, et les deux sont HS depuis bien longtemps.

Faut se souvenir de ce qui existait à l’époque pour comprendre le succès. Les lecteur cd portable de Sony commençaient tout juste à supporter le mp3. Ils avaient deux gros problème, il fallait emmener beaucoup de cd avec soit (même gravé en mp3) et le moindre choque faisait sauter la musique (même si certains avec de la mémoire tampon, mais ça ne suffisait pas).
Le mini disque coûtait un bras. Il fallait une entrée sortie optique (donc du matos cher) pour pouvoir enregistrer de la musique sur un mini disque vierge, action longue, chère et surtout, le mp3 n’étant pas géré, impossible d’enregistrer plus d’un album. Par contre, aucun problème avec les chocs.
Et enfin l’appareil d’archos, un truc de gens qui était absolument horrible à utiliser. Il fallait des plombes pour transmettre une chanson, le logiciel avant de milliers de problèmes et l’ergonomie était digne d’un BlackBerry.

J’ai eu la deuxième version, qu’en fait j’avais achetée à mon père pour un Noël. J’adorais les boutons qui s’illuminaient en rouge. C’était juste magique, on pouvait l’accrocher à n’importe quoi, l’autonomie était dingue et on mettait des tonnes de chansons, sans avoir à gérer les milliers de cd à acheter et à graver. En plus, on pouvait utiliser les listes de lecture déjà créées pour les cd dans iTunes !

Après j’ai acheté le premier à molette cliquable. Ce coup-ci pour moi et j’en enchaîné jusqu’au dernier iPod touch. Comme beaucoup c’est l’iPhone qui a rendu l’achat de l’iPod complètement superflu.

Gwenhiver, krigepouh, sirdeck ... waouh ... retrouver ces pseudos. !!!

Et du coup j’avais écrit quoi la dessus ? 😅

J'étais au collège et je me souvient qu'un pote à moi s'est ramené avec le tout premier ipod.
Je connaissais les lecteurs MP3 où on mettait 10 chansons mais il m'a expliqué qu'il pouvait en mettre 1000 lui s'il voulait.

J'ai pris la bête en main, la navigation était intuitive, l'objet était beau, c'était le rêve pour un adolescent qui découvrait à ce moment là des genres musicaux nouveaux et des tas de groupes sympas.

Inutile de dire qu'à mon anniversaire j'ai traîné mes parents à la fnac (qui était tout de même à 60km, la fnac c'était un événement), et je leur ai demander un Ipod que je me suis empressé de charger dès mon arrivée chez moi.

Il est devenu mon compagnon de tous les joues dans le bus pour aller au collège et me suivait partout.

Au lycée c'est un bel Ipod nano qui l'a remplacé, moins lourd et plus élégant, un vrai bonheur.

Enfin quand l'iPhone a commencé à faire du bruit, j'ai acheté un Ipod Touch, que j'ai testé en long en large et en travers. Dès mon retour d'un voyage en Espagne, je l'ai revendu et j'ai fait l'acquisition d'un IPhone 3G.
J'avais compris que je n'avais plus besoin d'un baladeur MP3 et d'un téléphone, et que la synthèse des deux étaient parfaite.

Merci à l'Ipod qui m'a initié à l'univers Apple, depuis j'ai une passion pour l'iPhone que je renouvelle chaque année, mon péché mignon tech.
J'ai découvert le Mac avec mon premier Macbook à ma fac et je le bichonnais comme s'il était vivant tant j'adorais cette machine.
Enfin j'ai eu le coup de foudre pour l'ipad, machine que j'aime d'un amour fou au point de tous les avoir eu jusqu'à l'ipad pro qui est dorénavant mon compagnon et remplace mon Macbook

A cette époque, j’avais momentanément lâché les Mac pour passer aux PC, cette première version était donc pénalisée par sa compatibilité Mac only.

Quand les révisions suivantes ont étendu la compatibilité aux PC, les capacités de l’engin puis l’écran, c’est devenu attirant, et j’ai craqué pour un modèle 60 Go que j’ai rempli avec toute ma bibliothèque. Quel bonheur de pouvoir écouter absolument tout, partout, tout le temps.

Le passage à l’iPhone avec ses capacités anémiques et partagées a été un retour en arrière, de ce point de vue là.