Free regroupe ses espaces abonnés Mobile et Freebox dans une même app

Stéphane Moussie |

Free propose finalement à ses clients mobiles une application iOS et Android officielle pour gérer leur forfait. Jusque-là, les clients Free Mobile devaient en effet passer par le site web de l’opérateur ou une app tierce (qui n’existe plus). C’est en fait l’application destinée aux clients Freebox qui évolue pour faire une place à l’espace abonné Free Mobile.

Images Univers Freebox

L’application, simplement nommée « Free » maintenant, permet de consulter ses dernières factures et sa consommation de data et d’appels. Elle sert aussi à gérer ses forfaits (changement d’offre, commande d’une nouvelle ligne…) et son compte personnel.

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L’application professionnelle ZBrush bientôt disponible sur iPad

Stéphane Moussie |

Après Final Cut Pro, Logic Pro et Octane X, la liste d’applications professionnelles pour iPad va bientôt s’allonger de nouveau. Maxon va porter dans le courant sur iPadOS ZBrush, son logiciel de modélisation 3D et de peinture numérique.

ZBrush pour iPad. Image Apple/iGeneration.

Cette version iPad jouira d’une toute nouvelle interface utilisateur pensée pour les interactions tactiles, sans que cela ne l’empêche d’avoir les mêmes capacités d’édition que la version de bureau. On pourra d’ailleurs transférer les projets entre les deux versions.

ZBrush pour iPad, qui a eu droit à une mention lors de la conférence Apple dédiée aux iPad Pro M4, est actuellement en bêta fermée. Vous pouvez candidater pour essayer l’application en avant-première. Des sculptures numériques créées avec cette version sont exposées sur le site de Maxon. Le prix de l’application et la configuration minimum ne sont pas encore connus. La version de bureau coûte 31,90 €/mois.

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Le Japon aussi veut casser l'hégémonie de l'App Store

Florian Innocente |

Le Japon pourrait passer une loi inspirée par le DMA en Europe dont l'objectif est de desserrer l'étau d'Apple et de Google sur la distribution des apps.

Un texte de loi rédigé par le gouvernement à propos des boutiques d'apps sur smartphones est actuellement en discussion au Japon rapporte Japan Times. Ses intentions sont similaires à ce que contient le Règlement des marchés numériques (DMA) entré en vigueur au début de l'année en Europe.

Il vise à ouvrir une compétition entre boutiques d'apps sur iOS et Android afin de mettre un terme à ce qui est considéré comme un duopole entre l'App Store et le Play Store et peut-être contribuer à tirer le prix des apps vers le bas.

Si la loi était votée, un éditeur pourrait lancer une app concurrente à ces deux boutiques dominantes et utiliser le système de paiement de son choix. Des acteurs comme Apple et Google n'auraient pas le droit non plus d'accorder des préférences à leurs propres produits.

Le choix d'en passer par une réglementation plutôt qu'un procès pour abus de position dominante tient dans la vitesse à laquelle ce changement pourrait être instauré. Un procès étant plus long et au résultat incertain. L'examen et le vote de cette loi devraient être achevés d'ici la fin juin.

L'Europe est déjà passée par là depuis le lancement du DMA, avec une ouverture à des apps de boutiques concurrentes à l'App Store. Cela n'a cependant pas empêché Apple de rester dans la partie au travers de commissions prélevées même auprès d'apps qui n'utilisent plus l'App Store.

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« Bonjour, c'est le livreur » : dites stop à ces SMS qui n'ont que pour but de vous arnaquer 📍

Article sponsorisé |

Depuis plusieurs mois, une nouvelle arnaque se propage via les SMS. Des messages frauduleux se faisant passer pour des livreurs de colis invitent les victimes à cliquer sur un lien pour reprogrammer la livraison de leur colis, soi-disant trop volumineux pour la boîte aux lettres.

Vous avez reçu un SMS vous indiquant qu'un colis n'a pas pu être livré et qu'il faut reprogrammer la livraison en cliquant sur un lien ? Méfiez-vous, car il s'agit très probablement d'une arnaque.

Ces SMS, qui circulent de plus en plus fréquemment, visent à inciter les victimes à cliquer sur un lien malveillant... Mais en réalité, aucun colis n'a été livré. L'objectif des fraudeurs est de récupérer vos informations personnelles, telles que vos identifiants bancaires ou vos mots de passe, ou d'installer un virus sur votre appareil.

Voici quelques indices qui permettent de repérer un SMS de tentative d'hameçonnage :

  • L'absence de nom de marque ou d'entreprise de livraison dans le message.
  • L'envoi depuis un numéro de téléphone portable, une pratique peu utilisée par les services de livraison légitimes.
  • La présence d'une URL suspecte, sans nom de domaine identifiable.
  • L'identification du SMS comme spam par votre smartphone.
  • L'absence d'avis de passage et la mention d'un colis non attendu.

Quoi qu'il en soit, lors d'achats en ligne ou d'inscriptions à des services, nous partageons tous notre numéro de téléphone. Ces informations, censées être protégées, peuvent fuiter et devenir accessibles à des tiers, y compris des courtiers en données qui les vendent, augmentant le risque de démarchage abusif et d'escroqueries.

Que faire si vous recevez un SMS frauduleux ?

Ne cliquez surtout pas sur le lien ! Il pourrait vous rediriger vers un site web malveillant conçu pour voler vos informations personnelles ou bancaires.

Signalez le SMS au 33700. Ce service gratuit permet de bloquer l'expéditeur du message et de protéger d'autres personnes.

Faites preuve de vigilance et de bon sens. N'oubliez pas que les entreprises de livraison ne demandent jamais de paiement ou de renseignement personnel par SMS.

En cas de doute, privilégiez toujours la prudence et contactez directement l'entreprise de livraison concernée pour vérifier l'authenticité du message.

Protégez-vous contre les arnaques en ligne avec Incogni

Incogni, créé par Surfshark, est un service de suppression automatique de données qui travaille pour vous. Pour un abonnement mensuel, Incogni s'engage à protéger vos informations, y compris votre numéro de téléphone, des regards indiscrets.

L'inscription est simple : utilisez une adresse email et un mot de passe, puis validez votre compte. Fournissez votre nom et adresse pour permettre à Incogni de demander la suppression de vos données en votre nom.

Incogni vous offre un tableau de bord intuitif pour suivre les actions entreprises. Vous verrez la liste des courtiers ciblés et serez informé des suppressions en cours, avec un algorithme optimisant l'efficacité des interventions.

En confiant la protection de vos données à Incogni, vous pouvez vous détendre en sachant que les experts de Surfshark gèrent la suppression de vos informations, dans le strict respect du RGPD. Avec un délai de réponse de 30 à 45 jours accordé aux courtiers, Incogni s'assure que vos données personnelles sont effacées efficacement.

Le plan annuel est en ce moment à moitié prix à 86,26 € TTC, alors, profitez-en ! C'est bien plus avantageux que la formule mensuelle.

Pour reprendre le contrôle de vos données personnelles et vous débarrasser des arnaques par SMS et du démarchage abusif, essayez Incogni

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App Store : Phil Schiller admet que les modes de paiement alternatifs ne sont pas assez utilisés

Florian Innocente |

Depuis 15 jours, Apple est de nouveau au tribunal en Californie pour les conditions financières qu'elle impose aux développeurs sur l'App Store.

La question qu'étudie la juge Yvonne Gonzalez Rogers est de savoir si le nécessaire a été fait pour que les développeurs soient tentés d'utiliser des systèmes de paiement autres que celui d'Apple. Au vu des premiers jours d'audience, la juge n'a pas semblé convaincue. C'est d'autant plus ennuyeux que c'est elle-même qui avait été à l'origine d'une injonction permanente, en 2021, obligeant Apple à revoir ses pratiques. Celles-ci devaient entrer officiellement en vigueur à partir de janvier dernier.

Le procès entre Epic Games et Apple s'était soldé par une victoire de cette dernière, mais elle n'était pas complète. La juge Gonzalez Rogers avait obligé Apple à laisser les développeurs afficher dans leurs apps des liens vers d'autres systèmes de paiement que le sien. Seules les apps dites "readers" (consultation et lecture de contenus) en ont le droit.

App Store : Apple remporte une manche capitale contre Epic

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Stickers, une app pour gérer plus facilement sa collection de cartes Panini

Stéphane Moussie |

Après s’être attaqué à la gestion des mots de passe avec Secrets, Paulo Andrade veut donner un coup de main aux collectionneurs de cartes Panini. Sa nouvelle application Stickers aide à compléter un album de cartes à collectionner en faisant ressortir les doublons et les cartes manquantes ainsi qu’en facilitant les échanges.

Le développeur portugais a conçu cette application pour son fils de 8 ans qui a l’habitude d’échanger des cartes avec des copains lors des entraînements de foot. Stickers comprend quatre albums avec la liste complète des cartes : Ligue 1, Euro 20241, Euro 2024 Match Attax et FIFA 365 2024. D’autres seront ajoutés par la suite et il est possible de créer un album personnalisé.

Pour une raison de droit, il n'y a malheureusement pas les images des cartes, il faut se contenter d'une description textuelle. C'est aussi pour cette raison que l'album FIFA 365 est en fait nommé « F 365 », Apple et la FIFA étant très pointilleuses avec l'utilisation des marques.

L’application permet d’ajouter rapidement une carte à sa collection rien qu’en la prenant en photo avec son iPhone ou son iPad. Une idée originale est l’échange en direct via Wi-Fi : Stickers indique quels doublons manquent à l’utilisateur à proximité, et vice-versa. Si l’autre collectionneur n’a pas les cartes sur lui, il peut les marquer comme étant « réservées » afin de faire l’échange plus tard.

L’application peut être essayée gratuitement. Arrivé à un remplissage de 30 % d’un album, un achat in-app unique de 0,99 € est demandé. Stickers est adapté à l’iPhone et à l’iPad, et se synchronise via iCloud.


  1. Dont les cartes à collectionner ne sont exceptionnellement pas produites par Panini, mais par son rival américain Topps.  ↩︎

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Amazon envisage de faire payer pour son Alexa dopé à l’intelligence artificielle

Nicolas Furno |

Amazon préparerait bien une toute nouvelle version de son assistant vocal Alexa, d’après les informations rapportées par CNBC. Confirmant une rumeur parue l’an dernier, le site croit savoir que cette grosse mise à jour serait basée sur les intelligences artificielles génératives qui ont le vent en poupe et qui permettraient d’échanger plus naturellement avec Alexa. Si ce choix n’est pas très surprenant, puisque c’est la tendance générale de nos jours, Amazon voudrait aussi faire payer un supplément pour l’accès à ce nouvel assistant vocal, alors qu’Alexa était jusque-là un service gratuit.

Image iGeneration.

Dix ans après sa création, Alexa n’est plus un assistant vocal aussi impressionnant qu’à sa sortie. Comme Siri, il est resté dans un modèle à l’ancienne, où les questions et réponses sont programmées en amont, soit par Amazon directement, soit par des développeurs tiers par le biais des « skills ». Alexa ayant par ailleurs du mal à rapporter de l’argent, le géant du commerce l’aurait un petit peu délaissé ces dernières années, d’après le site.

Alexa parle beaucoup mais ne rapporte rien à Amazon

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Amazon enterre son programme incitant les développeurs à créer des skills pour Alexa

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Cela pourrait changer avec ce nouvel Alexa, qui serait basé sur un grand modèle de langage (LLM) maison, nommé Titan. Jeff Bezos serait personnellement impliqué dans ce développement, qui devrait aboutir rapidement, puisqu’un lancement serait prévu d’ici la fin de l’année en cours.

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