Comme le dit l'adage populaire, les Ă©mojis, c'est la vie. Mais c'est le sexe aussi ! Une Ă©tude du Kinsey Institute, qui a interrogĂ© 5 327 participants1 dĂ©montre que ceux qui utilisent des Ă©mojis ou des Ă©moticones plus frĂ©quemment obtiennent plus souvent des premiers rendez-vous galants. Mieux encore â car c'est ce qui vous intĂ©resse bande de coquinous â, ces utilisateurs d'Ă©mojis pratiquent davantage la bagatelle que les autres.

Ceux qui utilisent souvent des Ă©mojis sont davantage susceptibles de dĂ©crocher des bisous pendant leurs rendez-vous, voire du sexe ou mĂȘme⊠une relation plus suivie. Les chercheurs expliquent que l'utilisation d'Ă©mojis permet Ă ceux qui cherchent l'amour de communiquer des « informations affectives importantes » Ă des partenaires potentiels, facilitant ainsi une connexion intime et « davantage d'opportunitĂ©s romantiques et sexuelles ».
Sur un plan plus concret, glisser des émojis dans des conversations avec un possible partenaire donne plus de chance de réussir à établir une connexion. Une connexion avec l'autre qui peut déboucher sur du sport de chambre. En revanche et c'est une vraie déception, l'étude ne sait dire quels sont les émojis les plus efficaces pour conclure se connecter à l'autre.
Ah, on les entend beaucoup moins tous ceux qui se plaignent qu'Apple ne cesse d'ajouter de nouveaux Ă©mojisâŠ
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Des cĂ©libataires amĂ©ricains, avec une majoritĂ© de femmes (2 991, contre 2 335 hommes). La grande majoritĂ© (86,8%) s'identifie comme hĂ©tĂ©rosexuels, 9,6% comme gays ou lesbiennes, 3,5% comme bisexuels.  â©
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