Des deux derniers cas en date de Galaxy Note7 qui ont pris feu, un seul pose toujours question quant à l’origine de l’incident. Deux laboratoires sud-coréens, dont un placé sous la tutelle du Ministère de l’industrie ont analysé un Note7 qui avait pris feu le 1er octobre dans le pays.
Il en est ressorti que la coque du smartphone avait subi des chocs et des pressions qui avaient malmené la batterie à l’intérieur, provoquant sa combustion. Sans ces éléments extérieurs, rien ne serait probablement arrivé.
D’après les chiffres de Samsung, un total de 59 signalements à travers le monde de batteries prenant feu se sont avérés faux ou erronés. S’agissant de l’épisode survenu cette semaine à bord d’un avion américain, les causes ne sont pas connues. L’appareil qui appartenait à un lot dépourvu des mauvaises batteries n’a pas encore été analysé, il est toujours aux États-Unis.