Fifty Free présente Paper, une sorte de carnet d'aquarelles et de bloc-notes pour l'iPad à l'interface particulièrement léchée [1.0.6 - 27,5 Mo - Gratuit]. Paper vous propose d'organiser vos idées en différents carnets, présentés sur l'écran d'accueil. Leur nom et leur apparence peuvent être personnalisés, vous pouvez même prendre une photo pour définir leur couverture.
Ouvrez un carnet, et c'est alors un carrousel des pages le composant qui s'affiche. On ouvre une page en pinçant deux doigts vers l'extérieur, on inverse le mouvement pour passer de la page au carnet. À l'intérieur d'une page, l'interface est minimale : vous écrivez ou dessinez, au doigt ou au stylet, et c'est à peu près tout. Le comportement du moteur de tracé est d'ailleurs très plaisant : il reproduit bien le comportement d'une plume ou d'un pinceau selon la force du tracé, et est capable d'ignorer un geste destiné à enlever une poussière de l'écran ou la paume de la main.
Une palette d'outils peut être convoquée d'un geste du bas de l'écran vers le haut. Par défaut, Paper dispose de deux outils : une gomme et une plume, et d'une palette de neuf couleurs. Pour disposer d'un crayon, d'un feutre, d'un stylo-bille, ou d'un pinceau à aquarelle, il faudra passer par la case achat in-app, un modèle que certains détesteront, mais qui est intéressant d'un point de vue commercial.
Chaque page est une image de 1024 x 768 pixels, que l'on peut exporter par courriel ou partager sur Tumblr, Facebook et Twitter. On regrettera sans doute que Paper ne propose pas de calques (quoique l'on comprend que cela alourdirait l'interface et irait à l'encontre du reste de l'application), mais surtout qu'il soit impossible de zoomer à l'intérieur d'une page pour apporter plus de définition à un tracé.
Ca vous rappelle le projet Courier ? La plupart des membres de Fifty Three proviennent des studios Pioneer, qui ont conçu le Courier.
Bref, cette première version est encore incomplète et certains trouveront sans doute que l'application est moins fonctionnelle qu'elle n'est jolie, mais Paper est loin d'être inintéressante dans le domaine ultra-concurrentiel des blocs-notes pour iPad. Elle a en tout cas le mérite d'être originale et de disposer d'un moteur de tracé très typé.
Merci Patrice
Ouvrez un carnet, et c'est alors un carrousel des pages le composant qui s'affiche. On ouvre une page en pinçant deux doigts vers l'extérieur, on inverse le mouvement pour passer de la page au carnet. À l'intérieur d'une page, l'interface est minimale : vous écrivez ou dessinez, au doigt ou au stylet, et c'est à peu près tout. Le comportement du moteur de tracé est d'ailleurs très plaisant : il reproduit bien le comportement d'une plume ou d'un pinceau selon la force du tracé, et est capable d'ignorer un geste destiné à enlever une poussière de l'écran ou la paume de la main.
Une palette d'outils peut être convoquée d'un geste du bas de l'écran vers le haut. Par défaut, Paper dispose de deux outils : une gomme et une plume, et d'une palette de neuf couleurs. Pour disposer d'un crayon, d'un feutre, d'un stylo-bille, ou d'un pinceau à aquarelle, il faudra passer par la case achat in-app, un modèle que certains détesteront, mais qui est intéressant d'un point de vue commercial.
Chaque page est une image de 1024 x 768 pixels, que l'on peut exporter par courriel ou partager sur Tumblr, Facebook et Twitter. On regrettera sans doute que Paper ne propose pas de calques (quoique l'on comprend que cela alourdirait l'interface et irait à l'encontre du reste de l'application), mais surtout qu'il soit impossible de zoomer à l'intérieur d'une page pour apporter plus de définition à un tracé.
Ca vous rappelle le projet Courier ? La plupart des membres de Fifty Three proviennent des studios Pioneer, qui ont conçu le Courier.
