Test de l’iPad (5e génération, 2017)

Mickaël Bazoge |

Un pas en avant, deux pas en arrière. C’est le sentiment qui domine après avoir utilisé le « nouvel » iPad, en fait l’iPad de cinquième génération selon la nomenclature d’Apple. Cette tablette est un cocktail étrangement dosé entre iPad Air et iPad Air 2, avec une pincée d’iPhone 6s pour faire bonne mesure. Mais ce produit a aussi des atouts, et pas uniquement son prix.

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Ce nouvel iPad n’est pas, loin s’en faut, le successeur de l’iPad Pro. Ce n’est même pas le successeur de l’iPad Air 2. C’est une tablette qu’on n’attendait pas forcément et qui, au premier regard, peut décevoir avec son embonpoint relatif et des caractéristiques techniques qu’on aurait aimé ne plus revoir en 2017.

Reboot ou remake ?

Cet iPad, c’est comme ces sagas hollywoodiennes qui n’en finissent plus d’aligner les reboots. La nouvelle tablette d’Apple pourrait être « le retour de la vengeance » de l’iPad Air. Lancé en 2013, ce modèle a connu son heure de gloire, avant d’être remplacé l’année suivante par le plus fringant iPad Air 2 qui a marqué un sommet en matière de finesse, de performances et de qualité d’écran.

L’iPad Pro, avec un positionnement orienté vers les utilisateurs professionnels et des prix sensiblement plus élevés, a surtout amélioré l’existant : écran plus grand avec le modèle de 12,9 pouces, adaptation à l’environnement lumineux avec le True Tone du 9,7 pouces et un flash pour de meilleurs clichés, port Smart Connector, prise en charge de l’Apple Pencil…

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On peut toujours questionner l’aspect « pro » de tablettes motorisées par un OS mobile. Mais il n’empêche : en matière de caractéristiques techniques, il y a clairement un fossé entre l’iPad Pro et l’iPad « tout court ». Et même de sérieux reculs par rapport à l’iPad Air 2.

Celui qui saute aux yeux, c’est bien évidemment l’épaisseur : le châssis de 7,5 mm (contre 6,1 mm pour l’iPad Air 2/iPad Pro) ne saurait être considéré comme un progrès. Tout comme le poids de 469 grammes (pour la version Wi-Fi) : certes, la différence de 32 grammes n’est pas énorme sur le papier, mais après une heure à bout de bras dans le lit, elle pèse.

iPad 2017 v iPad Pro

Cette épaisseur et ce poids étonnent alors qu'Apple est engagée dans une chasse au gaspi qui la pousse à prendre des décisions controversées (réduire la capacité de la batterie du MacBook Pro et supprimer le port jack de l'iPhone, par exemple). De la même manière, on peut se demander pourquoi cet iPad n’a pas le même écran laminé avec revêtement anti-reflets, une technologie inaugurée avec l’iPad Air 2.

iPad Pro à gauche, iPad 2017 à droite – Cliquer pour agrandir

L’écran LCD et la couche tactile sont ici séparés : c’est une bonne nouvelle pour les réparateurs, moins pour la taille de la tablette et le confort de l’utilisateur. Au contraire des iPad Air 2 et iPad Pro où le texte et les images affleurent à la surface de l’écran, l’affichage de ces éléments est physiquement en retrait sur la dalle de l’iPad. C’est un sacré retour en arrière quand on s’est habitué aux dalles des tablettes récentes.

Les éléments graphiques d’iOS donnent l’impression d’être placés “sous” l’écran du nouvel iPad. Cliquer pour agrandir

Cela ne signifie pas que l’écran de la nouvelle tablette est foncièrement mauvais : il est toujours aussi défini (2 048 x 1 536 pixels), et surtout il est 44% plus lumineux que l’écran de l’iPad Air 1 — et même plus lumineux que l’iPad Air 2, en raison de la lamination et du traitement anti-reflets qui ont tendance à assombrir la dalle.

L’iPad 5 (à gauche) face à l’iPad Pro (à droite, True Tone désactivé). Dans le noir complet et avec la luminosité à fond, l’écran de la nouvelle tablette fait jeu égal avec la dalle du modèle Pro. Cliquer pour agrandir

Apple ne manque d’ailleurs pas de vanter, dans son communiqué de presse, « un écran Retina de 9,7 pouces plus lumineux ». Tout cela est bel et bon, mais une fois sous le cagnard, c’est le traitement anti-reflets qui fait une vraie différence.

Sur un registre plus anecdotique, l’appareil photo au dos du nouvel iPad pourra dépanner, mais il ne faudra pas en attendre de miracles. Avec l’iPad Pro, on pensait qu’Apple voulait pousser plus loin dans le registre de l’« iPadographie » : même si la pratique peut étonner, on voit pas mal de tablettes servir d’appareil photo durant les événements publics, dans les concerts ou des manifestations. L’iPad Pro 9,7 pouces a ainsi apporté un capteur de 12 mégapixels avec une ouverture de ƒ/2.2 et un flash, l’équivalent de ce qu’on trouve dans l’iPhone 6s.

L’appareil photo de l’iPad 5 a un avantage : au moins, il ne dépasse pas au contraire de celui de l’iPad Pro – Cliquer pour agrandir

Retour en arrière avec l’iPad 5e génération, qui reprend les mêmes caractéristiques que l’iPad Air 2 avec un appareil photo de 8 mégapixels et une ouverture de ƒ/2.4. Le tout sans flash… Il est possible de réaliser de jolis clichés avec cette tablette, mais il faut un environnement bien lumineux, ce qui n’est pas nécessairement toujours le cas. Quant aux photos en soirée ou la nuit, mieux vaut oublier.

Autre déception, la webcam FaceTime à l’avant de 1,2 mégapixels, qui est celle déjà présente dans l’iPad Air premier du nom (Apple avait fait l’effort d’améliorer ce point avec l’iPad Pro et son capteur de 5 mégapixels). Certes, ce n’est pas le nombre de mégapixels qui fait une bonne photo et en l’occurrence, avec une ouverture identique entre toutes les générations, la qualité de l’image ne change pas. On note aussi l’absence du flash Retina de l’iPad Pro qui produit des teintes plus naturelles :

iPad 2017 à gauche, iPad Pro à droite. Les écrans des deux tablettes « flashent » pendant la prise de vues (avec le flash activé), mais le flash Retina de l’iPad Pro donne un résultat plus doux. Cliquer pour agrandir

Ces capacités photo dignes de 2014 sont d'autant plus dommage que le prix de cet iPad cible les utilisateurs les plus susceptibles d'utiliser Clips, la nouvelle application de création de contenus photo/vidéo d'Apple pour les réseaux sociaux (lire notre prise en main). Les photographes passeront donc leur chemin, ce d'autant que la dalle de la tablette n'est évidemment pas P3.

L’iPad 2017 reprend peut-être le châssis de l’iPad Air 1, mais il gagne Touch ID (première génération). Cliquer pour agrandir

Enfin, quitte à tout reprendre ou presque de l’iPad Air, Apple aurait sans doute été bien inspirée de recycler le commutateur qui permettait d’activer le mode silencieux ou de bloquer la rotation de l’écran. Ce bouton a été sacrifié sur l’autel de la finesse avec l’iPad Air 2, mais la nouvelle tablette empruntant le même châssis que l’Air premier du nom, on espérait le retrouver. Au lieu de ça, rien, il faudra en passer par le centre de contrôles d’iOS pour ces deux actions.

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Mais mesurer les qualités et les défauts de cet iPad à l’aune du reste de la gamme n’est pas le meilleur service à lui rendre. À bien des égards, ce produit représente une nouvelle branche dans le grand et tortueux arbre généalogique des tablettes d’Apple.

Un iPad à tout faire

Car ce nouvel iPad n’a pas que des défauts. Tout d’abord, il s’agit d’abord et avant tout… d’un iPad. On y retrouve, et c’est heureux, tout ce qui fait l’attrait des tablettes Apple, c’est-à-dire un écosystème riche et varié pour à peu près tous les usages : la consultation de contenus (vidéos, musique, photos), le jeu vidéo, la lecture de bande- dessinées et de livres numériques, la navigation sur le web, la bureautique sur le pouce…

On peut même travailler avec cet iPad ! Certes, l’absence de port Smart Connector est handicapant pour ceux qui voulaient utiliser la (toute petite) poignée de périphériques compatibles, car malgré ses défauts le Smart Keyboard d’Apple est très pratique.

L’absence de ce port propriétaire est d’ailleurs assez incompréhensible alors que cet iPad a visiblement été conçu avec le secteur de l’éducation en tête. Dans les appels d’offres des académies qui veulent s’équiper en informatique, on trouve souvent comme condition la présence d’un clavier : Apple aurait trouvé un débouché intéressant pour un duo iPad + Smart Keyboard, la nouvelle tablette étant pratiquement deux fois moins chère que l’iPad Pro.

Le Rugged Case de Logitech destiné à l’iPad 5e génération.

Certes, Logitech a imaginé des étuis/claviers intégrant leur propre Smart Connector, mais c’est un ersatz qui conduit à des périphériques épais et pas spécialement jolis. Cela n’empêche pas d’utiliser l’iPad 2017 avec un clavier Bluetooth standard.

L’Apple Pencil, un accessoire emblématique des iPad Pro, n’est pas non plus supporté par ce nouveau modèle, ce qui n’est pas non plus étonnant au vu de l’écran choisi pour cet iPad. Bref, Apple tient plus que jamais à faire la différence entre la gamme d’iPad « grand public » et la famille Pro.

Performances

En portant son dévolu sur le même système-sur-puce que l’iPhone 6s, Apple ne prend aucun risque : l’A9 (couplé au coprocesseur M9) reste un excellent moteur qui livre des performances solides. Le nouvel iPad n’est pas tout à fait au niveau de puissance de l’A9X des iPad Pro, mais il fait logiquement mieux que l’iPad Air 2 et son SoC à trois cœurs A8X. Tout aussi logiquement, les tests de performances de la tablette sont quasiment identiques à ceux d’un iPhone 6s (un Plus, en l’occurrence).

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Geekbench confirme que le nouvel iPad s’en sort un peu mieux au test multicœurs que l’A8X de l’iPad Air 2 (4 412 contre 4 316). Mais ce sont surtout les performances monocœur qui comptent : la majorité des applications se contentent en effet de pomper sur un cœur unique. L’iPad affiche un score de 2 547 contre 1 814 pour l’iPad Air 2 : une vraie différence sur le papier qui, pour être honnête, ne change pas grand-chose au quotidien.

On est toutefois heureux de voir que cet iPad va rester dans la course pour quelques années, comme l’a d’ailleurs été l’iPad Air 2 (qui reste encore aujourd’hui un produit apte à remplir confortablement la plupart des tâches qu’on lui confie). Les performances compilées par le nouveau test Compute de Geekbench, qui mesure les performances du GPU en exploitant Metal, annoncent également des lendemains qui chantent pour les joueurs : avec un score de 9 817, l’iPad 2017 dépasse largement l’iPad Air 2 (7 581).

L’A9 du nouvel iPad est un cran en-dessous de l’A9X de l’iPad Pro. Cliquer pour agrandir

Un mot sur l'audio : les quatre haut-parleurs de l'iPad Pro restent indépassables en termes de puissance et de clarté. L'iPad 5e génération fait ce qu'il peut, mais il ne faut pas en attendre de miracles. Si on pousse le volume à fond, on peut sentir de légères vibrations, mais on est loin de ce que l'on peut observer avec l'iPad Air 2.

Autonomie

L’épaisseur est peut-être vécue comme un drame chez Apple, mais cela a au moins une conséquence positive : on peut glisser à l’intérieur du produit une batterie dotée d’une bonne grosse capacité qui tient la route. La batterie de l’iPad 2017 est de 32,9 Wh (8 610 mAh), et elle est en fait identique à celle de l’iPad Air. C’est plus que les 27,6 Wh (7 340 mAh) de l’iPad Air 2, et plus encore que la batterie de l’iPad Pro (27,9 Wh, 7 306 mAh).

Ajoutez à cela un écran un peu moins exigeant que celui de l’iPad Pro, on obtient une tablette qui assure question autonomie. Apple promet comme à l’habitude 10 heures, une marque commune pour toutes ses tablettes. Pour dire la vérité, je ne suis pas encore parvenu à mesurer avec précision l’autonomie réelle de l’iPad 2017, un processus qui nécessite plusieurs cycles de recharge avant d’atteindre un résultat correct.

iPad et clavier Bluetooth, le combo gagnant pour travailler – Cliquer pour agrandir

Il est donc difficile à l’heure actuelle de confirmer ou d’infirmer les dires d’Apple. Au vu des caractéristiques techniques de l’appareil, les 10 heures semblent toutefois tout à fait atteignables. Voire plus si affinités…

J'ai commencé à utiliser cet iPad dans une configuration de bureau standard : relevé de mails réguliers, de la rédaction (avec un clavier Bluetooth), de la petite retouche d’images, beaucoup de navigation internet, Twitter et Reeder (RSS), pas mal de Workflow, le tout en écoutant Apple Music avec une luminosité de l'écran sur 75% environ. Une utilisation importante donc, qui se double en plus d'allers et retours fréquents entre applications via Split View.

Les premiers résultats sont très satisfaisants : j'atteins ainsi 9 heures et 49 minutes d'utilisation, pour un peu plus de 22 heures de veille. De quoi tenir une bonne journée de travail tout en ayant un peu de rab pour le début de soirée.

Le temps de recharge est de quatre heures pour une batterie à 100%, avec le chargeur (10 watts 2,1 ampères) fourni par Apple.

L’iPad SE

Ce nouvel iPad partage des traits communs avec les deux iPad Air qui l’ont précédé, avec l’iPhone 6s dont il emprunte le système-sur-puce… La nouvelle tablette s’inspire aussi beaucoup de la philosophie de l’iPhone SE qui, incidemment, utilise aussi le même moteur. Le smartphone reprend lui aussi un design qui a fait ses preuves, et on peut même tracer une analogie avec son écran de moins bonne qualité que les iPhone de 4,7 et 5,5 pouces.

Surtout, l’iPad 2017 a un avantage décisif partagé avec l’iPhone SE : celui du prix. À 409 € l’entrée de gamme, il s’agit de la tablette de 9,7 pouces la plus abordable jamais lancée par Apple, ce qui est de nature à balayer les arguments pointant les défauts du produit. On peut ergoter sur son embonpoint ou sur des caractéristiques discutables (l’appareil photo un peu vieillot, l’écran non laminé), il n’empêche : pour un prix abordable, on dispose sous le capot d’un moteur qui donnera plusieurs années de vie utile à la tablette. Et les 32 Go fournis en standard seront certainement suffisants pour accommoder les besoins de la plupart des consommateurs visés.

Les composants de l’iPad 5 (à gauche) sont quasiment similaires à ceux de l’iPad Air 1. Image iFixit. Cliquer pour agrandir

Apple mise donc sur le levier tarifaire pour abaisser le ticket d’entrée vers l’expérience iOS sur grand écran. Ces prix plus doux ne sont pas une première : il y a eu l’iPhone SE bien sûr, mais aussi les baisses de prix régulières appliquées sur l’Apple Watch. Une tendance qu’on ne peut évidemment qu’encourager (et qu’on aimerait retrouver sur les Mac aussi).

Malgré tout, le prix n’est pas le seul frein à la croissance des ventes d’iPad. La présence massive de l’iPad — tous modèles confondus — et le renouvellement journalier des stocks sur le refurb indiquent assez clairement que l’attrait pour les tablettes n’est plus ce qu’il était il y a quelques années. La vraie concurrence au nouvel iPad n’est sans doute pas à chercher du côté des moutures Pro, bien trop chères, mais sur l’espace aux produits reconditionnés.

L’iPad Air 2 y est ainsi régulièrement proposé à 349 € (16 Go), 419 € (64 Go) et 469 € (128 Go), dans leurs déclinaisons Wi-Fi. De quoi s’interroger sérieusement, alors que le nouvel iPad Wi-Fi coûte 409 € (32 Go) et 509 € (128 Go). Pour un prix inférieur, on obtient une tablette bien plus fine et légère, équipée d’un écran de meilleure qualité, tout en conservant les mêmes appareils photo et Touch ID — certes, les performances de l’A8X sont légèrement en retrait par rapport à l’A9, mais à l’usage la différence reste assez ténue.

Pour conclure

Pour être tout à fait franc, personne ne se retournera sur cet iPad, du moins personne qui soit un peu au fait des produits Apple. Avec un écran qui nous fait retomber quelques années en arrière et son aspect un peu empoté, le « nouvel » iPad n’est pas le plus sexy de la famille. L’iPhone SE a eu le mérite de relancer un design emblématique qu’Apple avait cessé de produire depuis deux ans. Le design de l’iPad Air n’a lui rien de spécialement marquant.

L’iPad 2017 se rattrape heureusement avec son système-sur-puce, l’écosystème logiciel, sa polyvalence, et surtout son prix. Ce ticket d’entrée est de nature à attirer tous les utilisateurs d’iPad plus très récents qui commencent à avoir des difficultés pour faire fonctionner des applications de plus en plus gourmandes.

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Les possesseurs d’iPad 2, 3 et 4 trouveront leur compte avec cet iPad 2017. On pense aussi aux familles pour qui la tablette représente un appareil idéal pour tous (si seulement Apple facilitait les sessions multiples…), ainsi qu’aux flottes d’entreprises, aux établissements scolaires et aux étudiants, pour qui le nouveau modèle est commercialisé à partir de 393 €. Par bien des aspects, cette tablette est un peu l’équivalent de l’eMac pour l’iPad (l’ePad ?).

Cette tablette a en revanche peu d'intérêt si vous possédez un iPad Air, et elle n'en a même aucun si vous avez un iPad Air 2 ou un iPad Pro.. Mais vous n'êtes pas la cible de cet iPad 5e génération…

Test réalisé avec l’aide de Florian

À partir de 409 €

Achat recommandé

Les plus :

  • Grande polyvalence pour le prix demandé
  • Écosystème varié
  • Performances

Les moins :

  • Écran non laminé
  • Pas de traitement anti-reflets
  • Sensation de retour en arrière
  • Concurrence de l'iPad Air 2(refurb)
Tags
#iPad
avatar Ptimouss | 

@jeje

+1 C'est vraiment ce qui me manque le plus sur mon Air.

avatar toketapouet | 

J'avoue que onepassword sans touch ID ça doit être relou

avatar Jetsurfer | 

Effectivement comme utilisateur d'iPad 2, merci à MacG pour ce test.
Certains seront surpris mais j'utilise l'iPad 2 au boulot tous les jours pour mes rapports à faire en néerlandais.
En fait je l'utilise en cinq langues ( français, néerlandais, anglais, allemand et russe )
Lorsque l'iPad 2 est sorti c'est la principale raison pour laquelle j'ai acheté cette tablette car passer d'une langue à l'autre sans un clavier pour chaque langue ou des autocollants partout pour un clavier normal c'était pas évident.
N'ayant plus fait la mise à jour depuis pas mal de temps, il est quand même lent, avec certains sites il se plante tout le temps ect.
Donc cette annonce d'Apple dont je partage avec certains d'entre vous le point de vue côté politique de prix et envers les utilisateurs est plutôt une bonne...surprise.
Maintenant que cet iPad 2017 soit plus épais de quelques milimètres ou que sais encore, c'est le cadet de mes soucis.
La seule chose que je lui demande c'est de faire le job comme l'iPad 2 tous les jours ce qui devrait être le cas du moins ce que j'espère, pour le reste on verra plus tard.
Le prix étant raisonnable, l'autonomie importante, je pense donc en acheter un.
Il est évident que si l'iPad 2 pouvait continuer sans tous les petits soucis à répétition tous les jours, l'impossibilité d'aller sur certains sites et je vous passe d'autres détails, je serais resté avec l'iPad 2.

avatar xbill | 

Nous n'abordez pas la compatibilité avec les protections: est-ce strictement compatible avec les coques iPad Air 1 ?

Merci à vous

avatar FollowThisCar | 

OK çà va dans le bon sens quand même, semble-t-il.
Ce qui ramène aux interrogations sur la politique de Tim & Cie : sommes-nous vraiment à un tournant où la Pomme va cesser de nous prendre pour des citrons ?
Les prix vont-ils revenir à des niveaux raisonnables ?
Va-t-on voir de nouveaux produits non seulement innovants mais aussi abordables ?
Terminé les mesquineries, les soudures, les dongles, les manoeuvres diverses pour enfermer le client dans l'éco-système etc.. ?

La Pomme s'est acharnée depuis 2011 à détruire la confiance de ses clients les plus fidèles. Qu'elle ne s'attende pas à les voir se précipiter à nouveau pour acheter. Chat échaudé ...
Alors pour les "produits formidables dans le pipeline", on va attendre de voir où çà nous mène, en particulier les prix.

avatar Them@c | 

Bonjour,
Voulant acheter un iPad depuis pas mal de temps.
Maintenant, vaut mieux acheter un iPad ou un iPad air 2 ?
Merci

avatar EstebanDraiv | 

@Them@c

Un Air 2.

avatar Them@c | 

@EstebanDraiv
C'est ce que je pensais mais le prix est plus cher pour la même config:
iPad air 2, 128go, wifi: 549€
iPad, 128go, wifi: 509€

D'autres avis?
Merci

avatar EstebanDraiv | 

@Them@c

La petite différence de prix est entièrement justifiée par la qualité de l'écran laminé, sans parler du poids et de l'épaisseur.

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