Après l'acceptation de l'accord par les actionnaires de Palm, il ne manquait que le feu vert des autorités américaines de la concurrence, et c'est désormais chose faite : HP vient de finaliser son acquisition de Palm.
Le numéro 1 mondial de l'informatique personnelle s'est donc offert un OS mobile prometteur, un portefeuille de brevets développé et une image de marque encore forte pour 5,70 $ par action, ce qui valorise Palm à 1,2 milliard de dollars.
En effet, la marque Palm ne disparaîtra pas, et deviendra une "global business unit" au sein de HP : Palm continuera a développer webOS et tous les produits basés sur webOS, « d'une feuille de route solide pour les smartphones en passant par une tablette » et, nouveauté, « des netbooks » (nostalgiques du Foléo, bonjour).
Jon Rubinstein restera chez HP, mais on ne connait pour l'instant pas son poste précis : sa bio a carrément disparu du site de Palm. Son supérieur direct sera Todd Bradley, patron de la division "Personal Systems" de HP… et ancien PDG de Palm.
Le numéro 1 mondial de l'informatique personnelle s'est donc offert un OS mobile prometteur, un portefeuille de brevets développé et une image de marque encore forte pour 5,70 $ par action, ce qui valorise Palm à 1,2 milliard de dollars.
En effet, la marque Palm ne disparaîtra pas, et deviendra une "global business unit" au sein de HP : Palm continuera a développer webOS et tous les produits basés sur webOS, « d'une feuille de route solide pour les smartphones en passant par une tablette » et, nouveauté, « des netbooks » (nostalgiques du Foléo, bonjour).
Jon Rubinstein restera chez HP, mais on ne connait pour l'instant pas son poste précis : sa bio a carrément disparu du site de Palm. Son supérieur direct sera Todd Bradley, patron de la division "Personal Systems" de HP… et ancien PDG de Palm.
