En voiture, l'iPod

vincent absous |

Kensington présente un nouvel accessoire qui vient grossir la collection des produits gravitant autour de l'astre iPod. Vendu 59,99 $, l'iPod FM Transmitter/Auto Charger permet à la fois de recharger le baladeur sur l'allume-cigare de sa jolie voiture et d'écouter le même baladeur sur l'autoradio de la même jolie voiture, le son étant transmis par la magie des ondes (encore faut-il que ces dernières ne soient pas trop encombrées). Évidemment, si on n'a pas de voiture, ça va être moins pratique.

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L'étude qui fâche

Christophe Laporte |

Pour faire cesser le piratage, la stratégie des majors est simple : faire peur aux utilisateurs de logiciels P2P et les inciter à acheter de la musique sur les disquaires en ligne. Une étude réalisée sur SmallDJ [fichier au format PDF] affirme que les catalogues des différents services sont loin d'être suffisants et sont incapables de rivaliser avec "l'offre" des réseaux P2P.

Pour les besoins de cette enquête, SmallDJ s'est basé sur le classement des cinquante meilleurs ventes en France. Le verdict est sans appel, parmi les trente meilleures ventes, on trouve seulement 12 albums sur iTunes, 11 sur fnacmusic et e-compil, 4 sur Connect et 18 sur Virginmega. La situation est identique au niveau des singles. 64 % des 50 meilleures ventes de deux titres sont absents d'iTunes et 30 % sur Virgin qui semble être pour le moment la boutique qui arrive à être le plus en phase avec l'actualité musicale. Une chose est sûre, les différents services de musique en ligne ont encore de gros progrès à faire s’ils veulent séduire le grand public !

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Il était une fois dans l'est

deserty |

C’est, il est vrai, armée de bottes en caoutchouc et de gants Mappa, que l’équipe d’iGeneration s’est jetée à corps perdus dans cette véritable auberge espagnole musicale qu’est la liste des nouveautés de la semaine de l'iTunes pour trier, classer, choisir et, n’en déplaise aux mécontents, elle n’est pas revenue bredouille de cette quête aventureuse.
Pour tous ceux qui ont succombé à la beauté des steppes arides et enneigées décrites dans l'album de The album Leaf, In a Safe Place, le catalogue de l'iTunes Music Store vous invite cette semaine à poursuivre votre exploration sur la banquise avec la musique fascinante des anglais de Meanwhile, Back in Communist Russia, originaires d'Oxford comme qui-vous-savez, à travers leur dernier album My Elixir, My Poison. Cette fois-ci, le relief semble davantage escarpé : on passe ainsi, dans un même morceau, de passages contemplatifs mêlant guitares cristallines et touches électroniques rêveuses à d'autres plus violents dans lesquels toute la tension accumulée se libère rageusement dans ce qui pourrait être l'équivalent d'un orgasme sonore. Ajoutez au décor les monologues poétiques susurrés par la voix éthérée de la chanteuse et vous obtenez un objet sonore à la beauté oppressante et glaciale, de ceux qui donnent envie de rester bien au chaud sous la couette en se disant qu'on est mieux ici que dans un goulag en Sibérie.
Morceaux en téléchargement :
Chinese Lantern
Acid Drops
Fall Between the Walls

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Télécharger des vinyles, c'est possible

vincent absous |

On finit par ne plus s'y retrouver dans les services de téléchargement payants. Avant, en Europe, il y avait... pas grand-chose. OD2 proposait ses services à quelques prestataires, et on attendait l'arrivée des poids lourds du secteur. Depuis quelques mois, les boutiques virtuelles poussent comme des champignons. iTunes Music Store, Connect, MSN Music, etc. Ça n'empêche pas les disquaires plus pointus d'ouvrir leurs portes. Uploud.com est en effet apparu il y a quelques jours (le 11 octobre en fait). Le service propose des morceaux encodés en AAC (ce sont les possesseurs d'iPod qui vont être contents), à 256 Kbps (très haute qualité donc). Le morceau est vendu 1,60 €. C'est plus cher qu'ailleurs, mais Upload.com ne propose pas le même catalogue que les ténors du marché. Le service s'appuie sur l'offre des labels indépendants et se spécialise dans la musique électronique. Autre particularité : les morceaux ne sont pas protégés par un système de droits complexes (les fameux DRM). Une fois qu'il a acheté le morceau, l'utilisateur peut en faire ce qu'il veut. Petit clin d'œil à destination d'un public très ciblé : le site propose d'acheter et de télécharger des vinyles ou des CD. Surprenant ! En fait, les premiers (11,50 €) comportent moins de titres que les seconds (12,50 €). Pour l'heure, le catalogue est encore un peu chiche (2 500 titres) mais promet de s'étoffer.

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Nouveautés Belkin

cyril |

Belkin proposera bientôt 2 nouveaux produits conçus spécialement pour iPod. Le TunePower est une batterie externe qui se branche derrière votre iPod ou votre iPodMini et qui, en plus d'offrir une autonomie supplémentaire de 8 à 10 heures, permet de recharger simultanément votre lecteur MP3 favori et la batterie externe lorsqu'il est branché sur l'adapteur secteur. Vendu 99.99 $, il offre un indicateur de charge, sera disponible aux Etats-Unis dès la fin du mois.

De son côté, le TuneBase a été conçu pour être le compagnon de votre iPod lors de vos voyages en voiture. Vendu 49.99 $, il permet de brancher votre iPod ou iPod mini sur un bras flexible et qui permettra sa recharge grâce à un adaptateur utilisant l'allume-cigarette. De plus, une prise minijack vous permettra de laisser branché en permanence le TuneBase à votre système d'autoradio.

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Une perle de l'iTMS

vincent absous |

Florian Innocente, dont le blog est une saine lecture, pointe une jolie petite erreur de l'iTunes Music Store. Le service d'Apple référence bien l'album de Thomas Fersen Le Jour du poisson, le service précise d'ailleurs que c'est un album partiel, mais ce qu'il ne précise pas, c'est qu'il est tellement partiel qu'il n'y a même pas une chanson à acheter. Ce sont les joies de l'informatique, certainement. Gageons que tout devrait rentrer dans l'ordre bien vite.

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Lutter contre le P2P par le P2P

vincent absous |

Le site WeedFrance vient d'ouvrir ses portes. Certes, l'interface n'est pas franchement très folichonne, mais en ce domaine, c'est le contenu qui importe. Comme son grand frère américain, WeedFrance défend une autre façon de distribuer la musique. L'utilisateur peut jouer les morceaux téléchargés gratuitement à trois reprises. À la quatrième, il faut payer. Mais l'argent versé ne va pas dans les caisses des seuls intermédiaires et maisons de disques. L'artiste en récupère la moitié. En tout cas, la musique achetée au format Weed peut-être partagée sur les réseaux de P2P. Si elle est ensuite achetée, celui qui l'aura ainsi mise à disposition est rétribué. Dans le même temps, Weed offre à l'artiste un moyen direct de diffuser et vendre sa musique. Les droits ne disparaissent pas, ils sont simplement gérés d'une autre façon. Tout le monde a donc à gagner à ce que ces droits plus souples qu'ailleurs soient respectés.

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