Tweetbot 6 passe à l'abonnement
Comme bon nombre d'autres applications, Tweetbot franchit le Rubicon de l'abonnement avec sa toute fraîche version 6. On passe ainsi d'une licence « perpétuelle » de 5,49 € à 0,99 € par mois, ou 6,49 € par an. Qu'on se rassure, il est toujours possible d'utiliser ce client Twitter alternatif gratuitement, mais on est limité à la consultation des tweets.
Tout le reste ou presque nécessite l'abonnement, comme la rédaction d'un tweet, le retweet, le partage d'un tweet, liker un tweet, les filtres d'affichage ou la gestion de plus d'un compte. Les abonnés bénéficieront également des futures mises à jour et des fonctions proposées par Twitter via son API v2, comme les sondages (enfin !) ou la future fenêtre d'édition. Et puis pour les développeurs, c'est un flux de revenus plus constant que l'achat à la pièce. Après, il faut convaincre les utilisateurs, ce qui est une autre paire de manches !
Pour le reste, on est en terrain connu : l'interface change peu, le studio Tapbots proposant tout de même trois icônes supplémentaires pour l'écran d'accueil, de nouvelles versions claires et sombres, la possibilité d'ouvrir un lien dans Chrome et Firefox en plus de Safari et consorts. Les services qui permettaient de rétrécir les URL des vidéos et des images passent à la trappe.
Tweetbot demeure un très bon client Twitter, mais l'abonnement réduira peut-être (certainement ?) son intérêt auprès de tous ceux qui goûtent peu ce modèle économique. Il faudra aussi surveiller ce qui va se passer avec la version pour macOS, toujours vendue à la pièce (10,99 €).
Quant à la version précédente de Tweetbot, elle fonctionne toujours bien sûr. Mais Tapbots n'a pas pu la conserver au côté de la nouvelle app, ce qui aurait permis de donner au moins le choix entre l'achat (la version 5) ou l'abonnement (la version 6). Selon Paul Haddad, un des développeurs, c'est l'App Store qui n'a pas voulu que ces deux moutures soient présentes ensemble. Encore une bizarrerie incompréhensible de la boutique.
Faut vraiment qu’ils arrêtent avec les abonnements
@Lukas Apple Fan
"Faut vraiment qu’ils arrêtent avec les abonnements"
C’est là seule issue économiquement tenable aujourd’hui pour la plus grande part ses producteurs de logiciel, majors incluses 🤑
@YetOneOtherGit
"C’est là seule issue économiquement tenable aujourd’hui pour la plus grande part ses producteurs de logiciel"
Oui, il faut des revenus récurrents à un éditeur qui développe des mises à jour. Mais il y a des alternatives à l’abonnement. J’ai toujours pris les mises à jour payantes d’Antidote, par exemple.
J’aime bien le principe de l’achat, avec nouveau passage à la caisse si on veut les mises à jour (nouvelles fonctions, corrections): ça implique l’éditeur aussi, alors que l’abonnement n’engage à rien.
D’après ce que je comprends, Apple est assez contraignant et l’éditeur est limité par les règles de l’AppStore. Toutefois, certains éditeurs proposent quelque chose d’approchant (achat définitif et abonnement aux mises à jour).
@DahuLArthropode
"Mais il y a des alternatives à l’abonnement. J’ai toujours pris les mises à jour payantes d’Antidote, par exemple. "
On ne tire pas de conclusions de portée générale à partir de son cas personnel ;-)
Les alternative ne tiennent que très rarement la route aujourd’hui, c’est un fait assez bien documenté.
@YetOneOtherGit
Ce qu’il ne faut pas entendre.
Si le développeur pense que c’est légitime de vivre toute sa vie avec un client Twitter, alors oui.
Mais à peu près tout le monde se lève chaque matin pour justifier son salaire en production de richesse ou en prestation de service.
Les développeurs peuvent en faire autant en produisant d’autres contenus, en proposant des mises à jour payantes (mais justifiées). Le problème de ces modèles économiques c’est qu’ils légitiment le fait qu’une app DOIT être rentable. Si elle ne l’est pas c’est qu’elle n’est pas assez chère ou que le besoin n’existe pas. C’est pour ça qu’on fait une étude de marché avant de concevoir un produit normalement.
La seule chose qui est en phase avec l’abonnement c’est la production permanente et l’accès illimité à du contenu coûteux. Netflix, Spotify, Journalisme, Gamepass, PSNow etc.
Ce client ne coute pas un pésos à son développeur une fois balancé sur l’app store.
Qu’on ne me parle pas la correction de bug ça le dev est responsable de ce qu’il crée. Quand on achète une voiture avec un défaut, elle est rappelée, gratuitement.
Ce modèle finira par se casser la gueule tôt ou tard. Personne ne peux payer autant d’abonnement qu’on veut nous en fourguer.
@Kenny31i
"Ce qu’il ne faut pas entendre."
Ce qu’il faut pas connaître pour être surpris par des évidences.
Même les majors ont largement basculé vers se modèle d’Adobe à MS en passant par Autodesk.
Sur ce que sont aujourd’hui les réalités et la dynamique du marché logiciel le modèle par abonnement est bien souvent le seul soutenable pour les acteurs du marché 😉
@YetOneOtherGit
Adobe brassait des millions et maintenant ils en brassent encore plus voilà tout.
Et pour à peu près aucune évolution majeure depuis bien 10 piges (je précise que je travaille avec Photoshop / Illustrator / Lightroom 8 heures par jour)
C’est d’ailleurs bien le problème de l’abonnement puisqu’ils n’ont plus besoin de travailler pour rentrer de l’argent. Nouveautés ou pas ils encaissent. Quand avant il fallait argumenter de l’intérêt de sortir 500€ pour mettre à jour son Photoshop.
Je me souviens que j’attendais impatiemment chaque mise à jour (je l’utilise depuis Photoshop 7), maintenant je ne remarque même plus la différence d’une année à l’autre. Même en lisant chaque note de version, c’est pauvre ! Et pourtant ça coute plus cher.
De plus en plus migrent vers Affinity justement pour s’affranchir de l’abonnement. Ou vers Capture One pour les photographes.
Idem sur iPad avec Procreate qui a une communauté énorme, qui propose bcp de nouveautés gratuitement et qui offre toujours l’achat à vie. Et ça coute 10 balles. Soit deux semaines de Photoshop.
Les utilisateurs n’ont pas besoin d’un abonnement qui coûtent le triple de la licence perpétuelle chaque années pour peanuts.
@Kenny31i
"
Adobe brassait des millions et maintenant ils en brassent encore plus voilà tout."
Visions extrêmement superficielles des réalités de l’économie d’une entreprise proche de celle d’un boutiquier😉
@YetOneOtherGit
2,95 milliards de Dollars de bénéfices sur 2019 c’est déjà de la bonne boutique
@Kenny31i
"2,95 milliards de Dollars de bénéfices sur 2019 c’est déjà de la bonne boutique"
??? 🤪
@YetOneOtherGit
Le résultat d’Adobe. Donc correction, ils ne brassent pas des millions mais des milliards.
@Kenny31i
"Le résultat d’Adobe."
J’avais compris mais c’est à côté de la plaque, je te reprochais justement d’appliquer une logique de boutiquier dans ta vision du business avec ton “il gagnent juste encore plus de fric”
Non le modèle précédent de licences perpétuelles est juste intenable pour assurer la pérennité d’une entreprise dans bien des cas.
Et non les perspectives d’Adobe n’étaient pas fameuse avant le changement de modèle.
@YetOneOtherGit
Il faut se poser des questions quand un logiciel utilisé massivement à l’échelle de la planète par à peu près toutes les sociétés qui touchent de près ou de loin au numérique peut ne pas être rentable.
Peut-être arrêter de faire 50 logiciels inutiles et éphémères qui coûtent des fortunes, en faire une version iPad, l’abandonner, faire des app compagnons, les abandonner etc. et se focaliser sur quelques outils de qualité (Photoshop / Illustrator / After Effect / InDesign / Premiere Pro).
Et si au passage ils pouvaient uniformiser leur UI et leur raccourcis clavier d’une application à une autre ainsi que corriger les bug que je me traîne depuis au moins 4 ans de version en version ca serait déjà formidable.
Ne pas oublier qu’ils ont également Stock et Magento.
Tout ce pognon claque en abonnement à vie c’est autant d’argent que les employeurs ne peuvent pas investir en formation, en matériel. Pour je le répète, aucune avancée majeure en 10 ans !
J’ai acheté ma CS6 à la sortie que j’utilise personnellement et je peux compter sur les doigts d’une main les nouveautés de la version CC que j’ai au bureau.
Hormis la perte du catalogue cloud sur Lightroom CC (heureusement que je n’utilise pas cette daube).
À côté Sketch coute 5€ par mois pendant 12 mois et la dernière version est acquise à vie.
InVision Studio est gratuit
Afffinity coute 30€
Procreate coute 10€
Preuve que c’est possible de vivre de son travail sans prendre en otage ses clients. Ils savent que leur position de quasi monopole sans réelle alternative allait contraindre tous les pro a subir l’abonnement.
@Kenny31i
"J’ai acheté ma CS6 à la sortie que j’utilise personnellement et je peux compter sur les doigts d’une main les nouveautés de la version CC que j’ai au bureau."
Il suffit parfois d’un doigt pour combler un besoin.
Mais si tes besoins ne demandent pas CC, il y a d’autres solutions sur le marché, actuelles ou anciennes. Affinity par exemple, mais une vieille CS peut-être aussi pourquoi pas. Pile poil. Tu n’es juste pas client de cette suite qui ne te convient à l’évidence pas. C’est OK.
@fte
Le problème c’est que ma CS6 ne tourne pas sur Big Sur malheureusement. En tout cas pas Lightroom.
N’ai effectivement acheté Affinity l’année dernière et je suis surpris de sa légèreté et de sa vitesse d’exécution. Tout s’enregistre en un éclair, bref c’est surprenant. Mais pas encore complet.
Le problème c’est qu’Adobe ne laisse aucune alternative. Un nombre croissant de créateurs des différentes communautés que je suis s’en plaignent mais sont contraints de subir ou tentent de basculer sous Affinity. Mais force est de constater qu’Adobe est maintenant un standard et que pour l’échange de document c’est très malheureusement incontournable.
@Kenny31i
Si tu es un professionnel, l’utilisation de l’outillage standard de la profession, tout comme l’utilisation du vocabulaire professionnel, sont des bonnes pratiques permettant de communiquer et collaborer.
Si tu es aspirant professionnel, il est judicieux de se former aux outils et langage de la profession.
Dans les autres cas, il y a de nombreuses alternatives à divers niveaux...
Après effectivement, peut-être que les alternatives ne sont pas à niveau. Mais cela ne justifie-t-il pas le coût de la solution professionnelle de haut niveau, du coup ?
J’ai tenté les logiciels open source, tels qu’Inkspace. J’ai essayé Affinité (et même acheté, Windows et iPad)... mais je suis productif et confortable avec la CC. Elle vaut son prix en ce qui me concerne, et l’abonnement me permet de lisser mes dépenses pour cet outil de premier plan. Je comprends l’obstacle cependant.
@fte
"J’ai tenté les logiciels open source, tels qu’Inkspace. J’ai essayé Affinité (et même acheté, Windows et iPad)... mais je suis productif et confortable avec la CC. Elle vaut son prix en ce qui me concerne, et l’abonnement me permet de lisser mes dépenses pour cet outil de premier plan. "
Calcul fait par de nombreux professionnels, une charge lissée et pour des entreprises un rien conséquente une grande souplesse pour adapter les charges aux produits : un besoin ponctuel de 10 licences durant 6 mois pour un projet... aucun soucis 😉
@fte
"Mais si tes besoins ne demandent pas CC, il y a d’autres solutions sur le marché, actuelles ou anciennes. Affinity par exemple, mais une vieille CS peut-être aussi pourquoi pas. Pile poil. Tu n’es juste pas client de cette suite qui ne te convient à l’évidence pas. C’est OK."
Bien évidemment que ce qui n’adhère pas peuvent et doivent trouver des alternatives, mais contrairement à ce que beaucoup fantasmaient ici leurs départs du girond d’Adobe n’a nullement impacté l’entreprise, bien au contraire.
La santé, la croissance et les perspective du pôle Digital Média Création d’Adobe sont aujourd’hui absolument remarquable et sans comparaison avec la situation inquiétante qui précédait le passage obligatoire à l’abonnement.
Et il en est de même pour nombre d’entreprises ayant adopté cette approche.
Le peu de clientèle qui est perdu était de toute façon souvent inintéressante car regardant à la dépense et renouvellent ses licences qu’à une faible fréquence.
On perds sur ce passage aux modèles par abonnement les clients les moins intéressants 🤑
@fte
A vrai dire j’étais free lorsque j’ai acheté la CS6. Je suis maintenant salarié et j’utilise la CC dont l’abonnement est payé évidemment par l’entreprise.
Lorsque la direction a demandé à réduire les coûts de fonctionnement la question de ces X abonnements à la CC se sont posés. Et effectivement la réalité étant ce qu’elle est ces abonnements ont été conservés car comme tu le soulignes il faut que toute la chaîne (nos sous-traitants et clients compris) parlent la même langue. Qui se trouve être Adobe😕
@Kenny31i
Tu peux prendre le truc dans tous les sens c’est de la pure logique économique et marketing sur un marché saturé ou l’acte de renouvellement de l’achat ne peut plus être porté par un sentiment d’obsolescence il n’y a que le passage à l’abonnement qui soit source de rentabilité et de croissance.
Le modèle par licence perpétuelle n’est économiquement pas tenable au point où nous en sommes de la dynamique du marché.
C’est un fait connu, analysé et documenté et ce n’est pas pour rien que des pans entiers de l’industrie on basculer sur cette approche.
Il en est de même pour le jeu vidéo où la croissance n’est portée depuis maintenant de nombreuses années quasiment que par le free2play.
Et ce ne sont pas tes « y a qu’à faut qu’on » qui changera quoi que ce soit à ses faits ni ta non adhésion en tant que consommateur qui changera quoi que ce soit à la pertinence de ses modèles.
Le déni des réalités est toujours surprenant 😉
@YetOneOtherGit
Toi et moi sommes des archétypes. Te voilà à parler de modèle économique, me voilà à parler de valeur et d’usages pour les clients.
Nous devrions convenir d’échanger nos rôles pendant une semaine, pour la beauté de l’exercice. :)
@fte
"Nous devrions convenir d’échanger nos rôles pendant une semaine, pour la beauté de l’exercice. :)"
Je nous en crois largement capable en plus 😉
@YetOneOtherGit
On en reparlera quand le consommateur ne pourra littéralement plus payer XXX€ d’abonnement tous les mois.
Si le renouvellement de licence n’a pas suffit c’est Parce qu’il y a aucun gain de productivité pour l’entreprise qui achète ces licences. Le temps c’est bcp d’argent, je le vois chaque jour. Et si un logiciel a 1000€ permet de gagner 8h sur une année il est déjà rentabilisé (vrais chiffres).
Donc pour des vraies nouveautés il n’y a aucune hésitation à renouveler. Hors ce n’était plus le cas, et ce modèle ne fait qu’entretenir le problème.
@Kenny31i
"Si le renouvellement de licence n’a pas suffit c’est Parce qu’il y a aucun gain de productivité pour l’entreprise qui achète ces licences. "
Et donc ? Que peuvent faire les éditeurs dans ce cas ?
Cette arrivée à un point où il devient impossible d’apporter d’importantes évolutions de version en version est un constat général.
On arrête le business pour autant ? 😉
@Kenny31i
"Donc pour des vraies nouveautés il n’y a aucune hésitation à renouveler. Hors ce n’était plus le cas, et ce modèle ne fait qu’entretenir le problème."
Tu confonds cause et conséquences.
Le niveau d’équipement du marché, le niveau de conquête de PDM fait que les coût pour créer d’éventuelles nouveautés conséquentes n’a aucun intérêt économique.
C’est une phase classique de dynamique de marché :
-Niveau d’équipement saturé
-Position dominante et norme de fait
- Réduction du champ des possibles des évolutions
Et donc —>
- Le renouvellement de l’acte d’achat devient la première source de revenus
- Ce renouvellement devient plus rare car il n’y pas de sentiment d’obsolescences de ce que l’on possède
en conséquences ->
- Il n’y plus de croissance mais une décroissance
- On doit déployer de grands efforts commerciaux pour essayer de motiver le renouvellement
- L’activité s’étiole
Seul solution changer de modèle pour obtenir un revenu récurant quitte à perdre quelques clients peu rentable.
@Kenny31i
"On en reparlera quand le consommateur ne pourra littéralement plus payer XXX€ d’abonnement tous les mois."
Que ce soit pour les particuliers ou les entreprises nous sommes très loin de cette saturation.
Les courbes de croissance de la part de services sur abonnement pour les deux types d’entités sont plus que positives.
Et plus généralement « la possession » est bien moins valorisée par les générations montante que l’usage.
Le modèle et très loin d’être épuisé et il n’y a strictement aucun signe avant-coureur de cette épuisement bien au contraire 😉
@Kenny31i
"Ce modèle finira par se casser la gueule tôt ou tard. Personne ne peux payer autant d’abonnement qu’on veut nous en fourguer."
Et portant 😜
Je me souviens des réactions quand Adobe et passé au modèle par abonnement et aux prédictions d’échecs.
Et quand on voit les bilan d’Adobe aujourd’hui
Comme toujours inférer les réalités du marché en contemplant son nombril 😙
@Lukas Apple Fan
Cela dépend vraiment du prix. S'il font payer par mois le même prix que l'application entière, ce n'est pas bon... En général, la moitié ou le tiers du prix initial tous les ans, c'est déjà plus raisonnable.
Nooooooon ☹️
Adieu Tweetbot
je ne passerai donc pas à la version 6 de Tweetbot...
J'aime tellement ce client que j'ai souscrit direct :D
C’est discutable.
Le gars a besoin de vivre de son application.
Mais en même temps il n’a presque rien changé dans le design.
Il a le mérite de laisser l’app gratuite pour la consultation. Sans pub en plus.
Les clients Twitter ne manquent pas. Un abo pour un service qui n’est pas absolument géré par le développeur de l’app, bref, juste une app qui fait l’interface avec le fournisseur du service, même si elle est chouette (utilisateur dès sa toute première version), je ne vois la valeur ajoutée nécessitant, pour l’usager que je suis, ce changement de modèle économique.
Et sincèrement, pour l’instant rien ne sert de passer à la version 6. Peu d’évolutions intéressantes.
On verra au moment du passage à la nouvelle API de Twitter et ce que Tweetbot aura alors à proposer.
@vincentn
"Un abo pour un service qui n’est pas absolument géré par le développeur de l’app, bref, juste une app qui fait l’interface avec le fournisseur du service"
Quel mépris, bien français, quand on sait la difficulté de faire de belles interfaces... bien plus difficile que de faire un pauvre service de messages de 300 caractères...
@koko256
"bien plus difficile que de faire un pauvre service de messages de 300 caractères..."
La difficulté de Twitter ne réside pas dans la longueur des messages, mais dans les milliards de messages. Et ça, c’est plus difficile qu’une jolie interface.
@fte
Non. Pas en 2021.
Je les ai perdus lorsque Twitter n’a pas voulu leur donner l’accès à l’ensemble des fonctionnalités. Depuis je suis sur le client officiel, il fonctionne plutôt bien.
@Rom 1
Avec un t’as de pub et de suggestions lol
@Thizzface69
Des pubs dans le client officiel Twitter sur iOS ? Personnellement je n’ai jamais eu aucune publicité venant interrompre quelque action que ce soit et pourtant j’y passe pas mal (voire bien trop) de temps ! Tu es certain que tu utilises bien le client natif fourni par « Twitter, Inc. » ?
Par pubs il veut parler de tweets promotionnels. Ça dérange moins par rapport à une pub à l'ancienne qui est posée en bas de l'écran de manière permanente, et certaines personnes ne se rendent pas compte que c'est de la pub.
Sinon mon point de vue sur les pubs du client officiel : j'en ai très peu, une tous les 2/3 jours. Les pubs ne sont pas pertinentes du tout pour ma part.
J'étais utilisateur de Tweetbot à l'époque de la version 3 ou 4, et avec les restrictions de l'API elle ne faisait clairement plus le poids face à l'app officielle. Mais bon petit à petit l'app officielle ajoute des choses qui ne me plaisent pas, et je recommence à regarder ce qui se fait côté clients alternatifs.
@Ichigo-Roku
Alors on est d’accord. 2 ou 3 tweets promotionnels par semaine à tout casser, et tellement discrets qu’on passe souvent par dessus sans même s’en rendre compte. Et en tout cas pas intrusifs puisqu’ils ne changent absolument rien à l’utilisation normale et n’occupent pas de place à l’écran.
C’est « à peine » de la pub.
@Phiphi
Deux ou trois par semaine ? 😂
En fait, c’est le principe avec les réseaux sociaux boostés aux algorithmes, on a tous des expériences différentes. Plus vous utilisez Twitter et plus vous avez de pubs. Pour moi, ce serait plusieurs dizaines par jour, au minimum.
@Nicolas Furno
Perso j'ai l'expérience inverse, moins je l'utilise et plus j'ai de pubs.
Je m'explique : en temps normal je consulte Twitter toutes les 1/2 heure(s), dans ce cas jamais de pubs, par contre si jamais je ne vais pas dessus pendant 12 heures, je sais d'avance que je vais avoir une pub qui va traîner au milieu du fil.
Sur chaque pub j'indique que ça ne m'intéresse pas, je ne sais pas si ça joue, j'ai des doutes...
@nicolasf
Oh non bien au contraire.
Quand tu ne t’en est pas servi pendant longtemps et que tu reviens, tu as plein de nouvelles pubs qui déboulent. Mais que tu fais l’effort de dire qu’une pub ne te plaît pas, elle ne revient plus.
Ensuite, tu vois de temps en temps apparaître une nouvelle pub. Dès que tu t’en aperçois tu pers une seconde à dire que tu ne l’aime pas, et tu es tranquille pour 3 ou 4 jours à zéro pubs.
@Rom 1
Avec un tas *
@Thizzface69
Franchement ça va, je m’attendais à bien pire. 🙃
@Rom 1
Tu peu les supprimer??
@Thizzface69
Les pubs ? Non. Les suggestions de comptes en revanche j’aime bien.
@Rom 1
Il suffit de bloquer les comptes émetteurs, c’est long mais avec le temps ça réduit substantiellement la pub ! (J’ai plus de 2500 comptes bloqués !)
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