Selon la dernière édition de l'étude menée par Appcelerator et IDC auprès des développeurs mobiles, iOS reste la plateforme attirant le plus l'intérêt des développeurs. Android, qui a bien progressé ces derniers mois, n'est qu'à deux pas, mais a atteint un plateau.
91 % des 2 700 développeurs sondés il y a une quinzaine de jours se disent très intéressés par le développement pour iPhone, alors qu'ils sont 86 % à avoir le même enthousiasme pour l'iPad. 9 développeurs sur 10 développent régulièrement pour iOS.
L'intérêt pour Android ne se dément pas : 85 % des développeurs sont très intéressés par cette plateforme. Cet intérêt ne progresse cependant plus de manière substantielle depuis plusieurs mois, et pire, baisse dans le domaine des tablettes : seuls 71 % des développeurs sont intéressés par Honeycomb.
Près des deux tiers des développeurs Android (63 %) craignent la fragmentation de l'OS de Google dans son acception matérielle (différentes tailles, ratio et définitions d'écran, différents profils matériels, etc.). Ils sont aussi un petit tiers à se plaindre de la faiblesse de l'offre (et de la demande) de tablettes Android, et de la multiplication des boutiques. Des trois tablettes se dégageant du lot (Samsung Galaxy Tab, Motorola Xoom et HTC Flyer), seule une utilise Honeycomb, et une n'est pas encore commercialisée.
La fragmentation d'Android n'est qu'un des problèmes : le tiers des développeurs interrogés craint plutôt la fragmentation des compétences (langages différents), liée à la fragmentation des plateformes (22 %). Voilà peut-être pourquoi 62 % des développeurs estiment qu'aucun concurrent ne pourra rejoindre iOS et Android : alors que les applications font la réputation d'une plateforme, près de deux tiers des développeurs préféreraient que le jeu se limite aux deux acteurs principaux. Seule Microsoft avec Windows Phone 7 semble piquer la curiosité de certains (42 %), plus d'ailleurs que l'annonce de la compatibilité Android sur le BlackBerry Playbook (30 %).
91 % des 2 700 développeurs sondés il y a une quinzaine de jours se disent très intéressés par le développement pour iPhone, alors qu'ils sont 86 % à avoir le même enthousiasme pour l'iPad. 9 développeurs sur 10 développent régulièrement pour iOS.
L'intérêt pour Android ne se dément pas : 85 % des développeurs sont très intéressés par cette plateforme. Cet intérêt ne progresse cependant plus de manière substantielle depuis plusieurs mois, et pire, baisse dans le domaine des tablettes : seuls 71 % des développeurs sont intéressés par Honeycomb.
Près des deux tiers des développeurs Android (63 %) craignent la fragmentation de l'OS de Google dans son acception matérielle (différentes tailles, ratio et définitions d'écran, différents profils matériels, etc.). Ils sont aussi un petit tiers à se plaindre de la faiblesse de l'offre (et de la demande) de tablettes Android, et de la multiplication des boutiques. Des trois tablettes se dégageant du lot (Samsung Galaxy Tab, Motorola Xoom et HTC Flyer), seule une utilise Honeycomb, et une n'est pas encore commercialisée.
La fragmentation d'Android n'est qu'un des problèmes : le tiers des développeurs interrogés craint plutôt la fragmentation des compétences (langages différents), liée à la fragmentation des plateformes (22 %). Voilà peut-être pourquoi 62 % des développeurs estiment qu'aucun concurrent ne pourra rejoindre iOS et Android : alors que les applications font la réputation d'une plateforme, près de deux tiers des développeurs préféreraient que le jeu se limite aux deux acteurs principaux. Seule Microsoft avec Windows Phone 7 semble piquer la curiosité de certains (42 %), plus d'ailleurs que l'annonce de la compatibilité Android sur le BlackBerry Playbook (30 %).
