Quickoffice 1.4 améliore ses capacités d'édition

Florian Innocente |

Quickoffice, la (mini) suite bureautique pour iPhone a reçu une mise à jour 1.4 qui autorise désormais la création et l'édition des fichiers au format Office 2007 (Windows) et 2008 (Mac OS X) avec les suffixes .docx et .xlsx. Jusque-là on ne pouvait que lire leur contenu sur son iPhone.

Une promo est cours sur ce logiciel trois-en-un (Quickword, Quicksheet et Quickoffice files), il est vendu 11,99 € au lieu de 15,99 €.

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Test de Star Hogs : un Worms amélioré ?

Nicolas Furno |

Star Hogs [1.1 – US – 3,99 € / Lite – 40 Mo] reprend le concept de Worms, mais y ajoute quelques éléments novateurs et troque l'univers déjanté des vers contre celui, plus sérieux, des armes lourdes et du hard rock. La fusion est-elle réussie ?

Star Hogs propose trois modes de jeux : une campagne de 32 niveaux, un jeu libre et un mode sur Internet. C'est bien connu, l'argent est le nerf de la guerre et vous en aurez constamment besoin, ne serait-ce que pour acheter votre première machine de guerre. Contrairement à la majorité des jeux du genre, vous démarrez sans rien et construisez vous-même votre arsenal, grâce à l'argent gagné après chaque victoire. Au début de la campagne, vous devez choisir entre trois sortes de chars de combat, et divers équipements (armes ou bouclier, par exemple). Entre chaque tour, vous pouvez passer au hangar pour acheter de nouveaux équipements ou remplacer les existants. Ces équipements sont l'occasion d'améliorer visiblement vos chars de combat, et vos choix détermineront en partie vos défaites ou victoires à venir.

Les premiers combats se font à un contre un, mais la campagne progressant, le nombre d'opposants augmente. À vous d'économiser de l'argent pour ne pas vous trouver pris au dépourvu quand le jeu passera de deux à trois opposants par exemple.

Chaque partie se conclut par l'écrasement total de l'adversaire. L'équipe qui conserve au moins un char l'emporte. Si vous perdez, vous pouvez recommencer monnayant une certaine somme d'argent. Pour éliminer un char adverse, deux méthodes sont possibles : le frapper suffisamment de fois, bien sûr, mais les combats se déroulant en orbite, il est aussi possible d'envoyer un char dans l'espace ou sur la planète. Les décors sont en partie destructibles, permettant ainsi de faire tomber un ennemi, mais aussi de récupérer de l'argent ou autres points de vie cachés à l'intérieur. Des mines parsèment également les niveaux et peuvent faire beaucoup de dégâts.

Le fait que les combats se déroulent autour de planètes introduit quelques aménagements intéressants par rapport à Worms. Ainsi, si vous tirez parallèlement au sol, le projectile tournera autour de la planète et si vous tirez trop fort, vous risquez fort d'être atteint par votre propre tir. Voilà qui corse le jeu, mais renforce aussi son intérêt. Les armes sont assez conventionnelles, de même que la méthode pour le tir : visée puis force du tir. Chaque tir ou déplacement nécessite de l'énergie, que vous avez en quantité limitée pour chaque tour. Rien à redire sur ces aspects, c'est efficace à défaut d'être original.

Le mode multijoueur sur Internet fonctionne avec une connexion Wifi, mais aussi en 3G ou en EDGE. La création d'un compte gratuit est obligatoire. Un écran présente ensuite les jeux disponibles ; s'il n'y en a pas, vous pouvez ouvrir un jeu et attendre qu'un joueur se connecte. Néanmoins, vous bloquerez alors le terminal. La version gratuite du jeu offre uniquement l'accès aux parties sur Internet, ce qui est bien vu pour augmenter le nombre de joueurs, apparemment encore faible.

La réalisation est d'un excellent niveau. Les graphismes sont simples, mais très bien réalisés et agréables. La bande-son, énergique, accompagne efficacement l'action, suivie en permanence par la caméra. Les chars sont entièrement en 3D dans le hangar : on peut les admirer sous tous les angles et ils évoluent en fonction des ajouts effectués. Sur le plan technique, on ne regrette que l'absence de sauvegarde d'une partie en cours, ce qui serait utile pour éviter qu'un appel vous fasse perdre une partie.

Star Hogs n'est certes pas le jeu le plus original du moment. Reprenant le vieux, mais efficace, principe de Worms, il ajoute néanmoins suffisamment d'éléments nouveaux pour en relancer l'intérêt.

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Couverture FreeWiFi : pour faciliter la connexion à FreeWiFi

Christophe Laporte |

Disponible depuis peu, Couverture FreeWifi est une application permettant de faciliter la connexion au réseau Wi-Fi. Cette dernière fonctionne aussi bien avec iPhone OS 2.x que 3.x.

Malheureusement, il n'y a pas de recette miracle. Tout comme avec FreeWifi Connect, il faut d'abord sélectionner la borne FreeWifi dans les réglages puis lancer l'application qui se charge de vous identifier.

L'avantage de Couverture FreeWifi par rapport à son "concurrent", c'est qu'il intègre directement une carte des hot-spots. Pratique lorsque vous êtes à la recherche d'un point d'accès.

Plus les points sur la carte sont rouges, plus la connexion est bonne.

Deux versions sont disponibles au téléchargement : l'une gratuite [financée par la publicité], l'autre payante [1,59 €]. Hormis l'absence de pub, cette dernière permet de zoomer sur la carte et affiche les 20 dernières positions où une connexion a pu se faire dans la zone affichée par l'écran.

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Navigon prépare un kit pour iPhone

Christophe Laporte |

Navigon prépare également un kit pour l'iPhone. C'est ce qu'a affirmé la société sur Facebook. Le message en question a été posté le 18 août.

On en sait pas plus pour le moment. Est-ce un support permettant d'utiliser un logiciel de navigation dans de bonnes conditions ou contient-il un GPS comme celui de TomTom ? A suivre…

via MacRumors

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L'iPhone : premier lecteur de livres électroniques

Anthony Nelzin-Santos |

C'est eBouquin qui rapporte cette étude conduite par Flurry qui révèle que près de 3 millions d'utilisateurs d'iPhone et iPod touch utilisent une application de lecture électronique.

Ce chiffre, en progression de 300 % sur ces quatre derniers mois, fait de l'iPhone le lecteur de livres électroniques le plus utilisé (en nombre d'utilisateurs), bien devant les acteurs historiques de ce domaine comme Amazon ou Sony.

Le section eBook de l'AppStore représente ainsi 14 % des téléchargements, en deuxième position derrière les jeux (19 %).

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Le Palm Pre : un échec ?

Anthony Nelzin-Santos |

Selon l'analyste David Eller, le Palm Pre se vendrait beaucoup moins bien que prévu.
Alors que l'opérateur Sprint, qui se charge de la commercialisation du Pre aux Etats-Unis, tablait sur 1 à 1.5 million de ventes cette année, Eller estime que le Pre se serait vendu à 416 000 exemplaires sur les trois premiers mois de sa commercialisation, soit bien en-dessous de l'attente fixée à 488 000 unités.

Pour l'analyste, Palm avait certainement placé la barre trop haut, et le WebOS est "bon mais pas assez mûr pour les développeurs". Il ne met pas directement en cause le Pre, mais la concurrence de l'iPhone 3GS, et surtout de l'App Store, face auquel l'App Catalog de Palm a peu à répondre.
L'analyste de Town Hall Investment attend le deuxième appareil équipé de Web OS, nom de code Pixie ou EOS, pour novembre. Son prix, inférieur à celui du Pre, pourrait relancer les ventes de Palm.
Source Barrons

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Mediamétrie : l'audience des podcasts sans iTunes

Anthony Nelzin-Santos |

Médiamétrie, l'institut bien connu pour ses mesures de l'audience des chaînes télévisées et des stations de radio (mais aussi de cinéma et d'Internet), veut désormais mesurer celle des podcasts. Les statistiques obtenues permettront peut-être de réchauffer les annonceurs afin de pouvoir monétiser ce secteur pour le moment quasiment vierge de toute publicité, ce qui peut pénaliser certains acteurs, notamment les radios traditionnelles, qui ont largement investi le champ du podcasting.

Médiamétrie a donc demandé à Apple France de bien vouloir lui fournir les chiffres d'audience des podcasts, à la fois pour le téléchargement mais aussi l'écoute. iTunes délivrant les deux tiers de podcasts téléchargés en France, la base de statistiques ainsi obtenue aurait été considérable.

Apple a tout bonnement refusé, arguant que les conditions générales d'iTunes ne permettent pas cette incursion dans la vie privée des utilisateurs. Médiamétrie devra donc se contenter de son panel habituel de 25 000 utilisateurs.

Source Le Journal du Net

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