Un porte-parole de Messaging International a démenti hier les rumeurs laissant entendre qu'un rachat par Apple était imminent. Toutefois, le démenti repris par Reuters n'a pas empêché hier le cours de l'action de cette société anglaise de bondir de 115 %. C'est d'autant plus étonnant que la rumeur provient d'un forum consacré à l'actualité financière.

Messaging International est une société spécialisée dans la convergence de données (texte, vidéo, voix) avec les principaux équipements électroniques : PDA, téléphone, ordinateur…

Si l'on prend cette rumeur au sérieux (qu'Apple soit éventuellement intéressé par ce genre de société), on peut alors penser que la firme de Cupertino plancherait sur un service similaire à Google Voice. Dans son catalogue de produits et services, Messaging International dispose d'une technologie qui permet d'envoyer à un contact ou un groupe de contact un message sur n'importe quel appareil (téléphone, téléphone portable, ordinateur…) et sous n'importe quelle forme (SMS, email, voix…).

Pour expliquer le retrait de Google Voice, beaucoup ont pointé du doigt AT&T. Lors de l'enquête préliminaire de la FCC, l'opérateur a déclaré "[nous] ne gérons pas et n'approuvons pas les applications pour l'App Store." Et si c'était vrai ? Et si Apple avait volontairement entretenu la confusion pour ne pas passer pour le vilain petit canard ?

Petit à petit, Apple a porté les différents éléments qui ont fait le succès du Macintosh ces dernières années à l'iPhone. Parmi les briques manquantes, il reste iChat. Un simple portage de son logiciel de messagerie serait intéressant, mais Apple a sans doute les moyens de faire beaucoup mieux.

En repensant en profondeur son logiciel de communication, il pourrait à la fois remplacer le SMS, faire office de téléphone multimédia et de répondeur. Cela pourrait être le chaînon manquant entre l'ordinateur et le téléphone. Reste que les opérateurs n'apprécieront pas et feront tout leur possible pour retarder le plus longtemps cette initiative, mais n'est-ce pas la convergence ultime tant décrite par ces opérateurs depuis des années ?

Apple a publié en avril dernier deux brevets qui peuvent laisser à penser qu'elle s'oriente vers cette direction. Le premier décrivait un client de chat pour l'iPhone. Le second évoquait un répondeur vidéo intégré à iChat, qui pourrait être également consulté depuis un navigateur web ou un iPhone...

Voilà qui pourrait expliquer également pourquoi Apple travaillerait sur un data-center hors norme

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Fudzilla confirme ce que montrait notre aperçu d'iTunes 9, à savoir que le logiciel d'Apple devrait permettre la synchronisation avec des baladeurs commercialisés par la concurrence.

Si cette rumeur était avérée, cela signifierait un véritable changement de stratégie d'Apple, qui chercherait à mettre plus en avant son logiciel et son disquaire que ses baladeurs. Au final, cette décision ne serait pas illogique : désormais, le potentiel de croissance (surtout avec l'abandon des DRM) est plus important du côté des disquaires en ligne que du côté des baladeurs.

Diagonal, connu sur Mac et PC pour son logiciel d'aide à la rédaction ProLexis, annonce aujourd'hui la commercialisation de DicoMalin sur iPhone. Ce dictionnaire qui existe également sur Mac et PC, comporte 90 000 définitions, 3 millions de synonymes et contraires, 12 500 locutions et 40 000 noms propres.

Ce logiciel se veut également ludique, il comporte plusieurs jeux afin de se remuer les méninges. Prix : 6,99 €.

Rappelons que le créneau est déjà occupé depuis plus d'un an par Druide Informatique avec Antidote Mobile. Lequel préférez-vous ?

L'application iPhone du Parisien (gratuite) a reçu quelques nouveautés intéressantes avec sa version 2.2. Sur le fond, on dispose maintenant des articles des différentes éditions (Hauts-de-Seine, Saint-Denis, Essonne, Oise, etc).

Sur la forme, les contenus peuvent être affichés en mode paysage et un bouton permet de varier la taille de la police. Nouvelles aussi les options de partage vers Twitter, Facebook et par mail.

Enfin, le téléchargement des contenus est plus rapide. Néanmoins, un tour dans les préférences de l'application montre que le push n'est toujours pas de la partie et que l'on ne peut pas choisir les contenus ou thématiques à télécharger en priorité. Par exemple si l'on ne s'intéresse pas au sport, ou aux faits divers ou encore à l'actualité de certains départements, il est impossible de les décocher.

Et si Office débarquait sur l'iPhone sous la forme d'une application web? Cela fait des mois que la Macintosh Business Unit (MBU) qui s'occupe en temps normal de la suite bureautique de Microsoft sur Mac, dit s'intéresser à l'iPhone, mais on ne voit toujours rien venir.

Afin de contrer Google, le géant du logiciel sortira l'année prochaine une version web de sa suite bureautique. Office Web permettra depuis Internet Explorer 7, Internet Explorer 8, Firefox 3.5 ou encore Safari 4 de travailler sur des documents Word, Excel, PowerPoint et OneNote.

La suite en ligne de Microsoft fonctionnera sans module supplémentaire. Cependant, il semble que l'expérience utilisateur soit améliorée avec la présence de Silverlight.

Pour en revenir à l'iPhone, Microsoft dans un court entretien donné à Ars Technica, dévoile une nouvelle piste. L'éditeur songe semble-t-il très sérieusement à proposer à ses clients une version optimisée pour les terminaux mobiles d'Office Web. Microsoft pourrait ainsi proposer une solution relativement complète aux possesseurs d'iPhone. Alors, pourquoi pas l'iPhone ?

Cette solution aurait deux avantages : ne pas dépendre du bon vouloir d'Apple et ne pas être gêné par certaines lacunes actuelles du SDK de l'iPhone. La gestion de fichiers est par exemple un vrai casse-tête pour tous ceux qui ont essayé de développer un logiciel bureautique sur la plate-forme d'Apple.

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L'iPhone et le Palm Pre, pour n'en citer que deux, sont certainement de très bons smartphones. Ils ont en commun beaucoup de qualité comme l'écran tactile ou la facilité d'utilisation. Mais ce qui les rapproche le plus peut-être, c'est leur principal défaut.

ChangeWave Research a interrogé un petit échantillon d'utilisateurs d'iPhone (198 personnes) et de Palm Pre (38). Mais quel que soit l'appareil, la faiblesse de l'autonomie est le principal défaut pointé du doigt et de loin.

L'étude [format PDF] montre que de manière général, les possesseurs d'iPhone sont davantage satisfaits de leur appareil que les possesseurs de Pre. Mais vu la faiblesse de l'échantillon, on se gardera bien de tirer des conclusions définitives.

Et vous, quel est le principal reproche que vous faites à votre smartphone ?