Le Prime Day démarre fort. L’iPhone 16e est vendu à un prix jamais vu jusque-là sur Amazon. Le smartphone est commercialisé 592 € dans sa version 128 Go, soit 127 € de réduction sur le tarif d’Apple.
Si vous voulez stocker beaucoup d’applications et de contenus, il y a également des remises intéressantes sur d’autres capacités :
L'iPhone 16e, nouvelle entrée de gamme d'Apple, a succédé très avantageusement à l'iPhone SE dans ce rôle. En vrac, il propose Face ID pour le déverrouillage ou payer avec Apple Pay, un écran de bien plus grande taille, un bouton Action programmable, une très bonne autonomie et la partie photo a fait un bond. Sa puissance est dans la norme actuelle (même puce que l'iPhone 16) et elle ouvre l'appareil aux fonctions d'Apple Intelligence.
Les promotions du Prime Day sont réservées aux membres Amazon Prime. L'abonnement comprend la livraison rapide, Prime Video, Amazon Music Prime, ainsi que d'autres avantages. Il coûte 6,99 €/mois sans engagement ou bien 69 €/an. Un essai gratuit de 30 jours est disponible.
Lorsqu’une souris est connectée à iPadOS 26 et que l’on secoue rapidement celle-ci, le curseur s’agrandit furtivement à l’écran. Cela permet de repérer facilement le pointeur quand on ne sait plus où il se trouve. Sur un iPad mini, comme dans la vidéo ci-dessous, on ne risque pas trop de le perdre, mais sur un iPad de 13", cela peut être utile. Le geste fonctionne également avec les trackpads, quand on bouge rapidement un doigt dessus.
Vidéo iGeneration
Contrairement à macOS, il n’y a pas d’option pour désactiver cette fonctionnalité, mais cela viendra peut-être plus tard. Ce geste a été ajouté dans la bêta 3 d’iPadOS 26 qui vient de sortir. Pour rappel, la forme du pointeur a changé sur iPadOS 26 : il ne s’agit plus d’un rond (qui se transforme au survol d’une icône), mais d’une flèche plus classique.
Alors que le Liquid Glass rend certains éléments difficiles à lire depuis son introduction à la WWDC 2025, Apple met de l’eau dans son vin. La troisième bêta d’iOS 26 réduit la transparence des barres d’onglet situées en bas des applications, comme Musique, Podcasts ou encore Safari. La différence est particulièrement (voire uniquement) notable sur fond clair. Dans l’exemple ci-dessous, le mot « Bibliothèque » qui était à peine lisible devient d’un coup beaucoup plus net.
Bêta 2 / bêta 3. Image iGeneration.
Apple a en fait ajouté un mince dégradé de blanc en bas de l’écran pour atténuer la diffusion du contenu présent derrière la barre.
Bêta 2Bêta 3
En revanche, quand le fond est sombre et que la barre d’onglets bascule en mode foncé, le problème de lisibilité peut perdurer. On le voit ci-dessous avec les mots « Today » et « Photothèque » difficilement déchiffrables. Espérons que la prochaine bêta améliore ça. Le Centre de contrôle a, lui, été opacifié avec la version précédente.
Bêta 3. Image iGeneration.
De nouveaux fonds d’écran
La bêta 3 d’iOS et iPadOS 26 amène aussi trois nouveaux fonds d’écran. Ce sont en fait des variantes de celui par défaut dans d’autres couleurs.
Au centre, les quatre fonds d’écran d’iOS 26. Image iGeneration.
Les autres changements
De plus, la fenêtre modale qui présente les nouveautés des AirPods (il faut avoir le firmware en bêta) a été traduite en français.
Image iGeneration
Et il y a sûrement d’autres petits changements par-ci par-là. Si vous en repérez, n’hésitez pas à les signaler dans les commentaires.
Nouvelle étape pour iOS 26 : deux semaines après la précédente préversion, Apple livre la bêta 3 destinée aux développeurs. Elle porte le numéro de build 23A5287g. Elle est accompagnée d’une bêta 3 pour iPadOS 26 (même numéro de build). En revanche, pas de troisième bêta pour tvOS 26 pour l'instant.
Les bêtas publiques ne devraient plus tarder. L’année dernière, elles étaient sorties le 15 juillet.
iOS 26 introduit un nouveau design logiciel nommé Liquid Glass, ainsi que des améliorations pour Téléphone, Messages et d’autres applications. Les fonctionnalités d’Apple Intelligence s’étendent quant à elle à des applications supplémentaires. Pour sa part, iPadOS 26 rend les iPad plus productifs en libérant la gestion des fenêtres et en apportant d'autres progrès.
Pendant 7 jours, Apple affiche sur son site en France le résumé de sa condamnation à verser 150 millions d'euros pour abus de position dominante. En mars dernier, l’Autorité de la concurrence avait annoncé cette sanction relative à l’encadrement du pistage publicitaire sur iPhone et iPad (l'App Tracking Transparency ou ATT).
Publication judiciaire sur apple.com/fr. Image iGeneration.
Une plainte avait été déposée par différents acteurs de la publicité et des éditeurs étaient montés au créneau pour appuyer l'argument selon lequel cette demande d'autorisation de suivi, faite aux utilisateurs, impactait négativement leurs affaires.
La condamnation était assortie de l'habituelle publication judiciaire que l'on voit aujourd'hui sur le site d'Apple. Celle-ci en profite pour indiquer qu'elle a fait appel, arguant que l'encadrement du pistage publicitaire avait reçu un large soutien de ses clients, d'organisations de protection de la vie privée et même l'Autorité de la concurrence avait précédemment émis un avis favorable à ce dispositif :
La Transparence du suivi par les apps (ATT) permet à nos utilisateurs et utilisatrices de mieux contrôler leurs données personnelles. Nous avons reçu un soutien considérable pour cette fonctionnalité de la part de notre clientèle, ainsi que de personnes militant pour la protection de la vie privée et d’autorités chargées de la protection des données dans le monde entier.
Nous sommes en profond désaccord avec la décision de l’Autorité de la concurrence française, qui va à l’encontre de ses précédentes déclarations selon lesquelles la Transparence du suivi par les apps s’inscrit dans l’engagement de longue date d’Apple en faveur de la protection de la vie privée.
Par conséquent, nous faisons appel de cette décision et nous continuerons à œuvrer pour que les utilisateurs et utilisatrices puissent exercer un contrôle de leurs données en toute transparence.
L'Autorité avait été saisie en octobre 2020 par des représentants du milieu publicitaire. En mars 2021, alors qu'Apple allait activer l'ATT à la fin avril avec iOS 14.5, l'Autorité avait décidé de ne pas prononcer de mesures conservatoires à l'encontre de la Pomme. Elle considérait qu'il n'y avait pas à ce stade d'éléments susceptibles de constituer un abus de position dominante. Elle précisait cependant qu'elle continuait d'étudier le dossier sur le fond, notamment pour s'assurer qu'Apple n'imposait pas de règles plus contraignantes aux autres qu'à elle-même.
Exemple type de la boite de dialogue de l'ATT. Image iGeneration.
À la suite de l'étude plus poussée du mécanisme mis en place, l'Autorité a jugé en mars dernier que « si l’objectif poursuivi par le dispositif ATT n’est pas critiquable en soi », elle considère néanmoins que « ses modalités de mise en œuvre ne sont ni nécessaires ni proportionnées à l’objectif affiché par Apple de protection des données personnelles. » et de rappeler quelques modifications marginales qui avaient été proposées par la CNIL pour « Conserver la protection offerte à l’utilisateur par la sollicitation ATT […] sans présenter l’inconvénient de créer un dispositif complexe et excessif pour l’utilisateur. »
En somme, ce n'est pas l'idée qui a été condamnée mais la méthode employée et le traitement préférentiel que s'est accordé Apple dans les premiers mois d'existence de l'ATT, avant qu'elle n'apporte quelques modifications.