Le gouvernement français avait décidé courant 2022 d’obliger les applications de GPS à ajouter des messages de sensibilisation sur l’empreinte carbone des itinéraires calculés dans ces apps. Apple pour Plans, Google avec Maps, mais aussi Waze, Coyote et tous les autres devaient afficher l’équivalent carbone de chaque trajet proposé et aussi présenter des messages d’incitation pour limitation de la voiture. Les premières apps ont ajouté ces éléments il y a quelques mois, mais elles restent minoritaires et elles ont désormais obtenu un sursis.

Comme le note L’Informé, le décret et l’arrêté ministériel de 2022 ont été annulés par le Conseil d’État suite à une requête pour « excès de pouvoir » déposée par Coyote, l’une des apps concernées. La demande repose sur le fait que la disposition avait été adoptée sans une consultation du public au préalable, ce qui est pourtant obligatoire pour toutes les mesures touchant l’environnement. Le décret a ainsi été annulé pour vice de procédure, mais ça ne veut pas dire qu’il a été enterré pour de bon pour autant.

Le gouvernement devrait proposer un nouveau texte dans les mois qui viennent, après avoir effectué la consultation du public qui est obligatoire. D’après L’informé, Coyote jugeait que les messages à afficher pénalisaient l’ergonomie de ses interfaces et la « fluidité de lecture par les utilisateurs » et que cela représentait « des coûts de développement informatique non négligeables ». L’app qui signale tous les radars et autres dangers sur les routes françaises n’aura sans doute pas le choix à terme, mais la procédure initiée par ses soins lui permettra de gagner quelques mois.

Le futur iPhone SE pourrait beaucoup emprunter aux iPhone 14 au vu des changements apportés à son design, d'après de nouvelles rumeurs. Des confidences recueillies par MacRumors dessinent un iPhone SE 4 avec les mêmes lignes que l'iPhone 14. Une hypothèse qui va dans le sens du vent.

Un iPhone SE 4 avec une base d'iPhone 14 revient en piste

Il adopterait ainsi le design avec des bords droits, abandonnant celui inauguré avec l'iPhone 6. Apple n'irait pas jusqu'à lui limer les bordures comme elle l'a fait avec les iPhone 15.

Face ID serait enfin de la partie, de même que le port USB-C, désormais inévitable, et un écran OLED dérivé de l'iPhone 14. Quant à la partie photo, cela pourrait être un capteur 48 mpx (c'est ce qu'ont les iPhone 15) avec un seul objectif au dos. Il se présenterait avec son flash aligné à l'horizontale, comme l'iPhone SE actuel.

Sur l'aspect de ce bloc photo, Apple aurait au moins 5 dessins possibles sous le coude, tantôt avec les deux éléments pris dans un logement qui dépasse du dos (façon iPhone 14/15/Pro), tantôt avec rien autour (façon XR).

Le bouton Action des iPhone 15 Pro serait aussi envisagé, ce qui suppose qu'il descende d'abord en gamme sur les iPhone 16 et 16 Plus l'an prochain.

L'iPhone 16 aurait un bouton et des pouces en plus

Enfin, ce SE 4 pourrait accueillir le premier modem 5G d'Apple, nom de code "Sinope" — c'est une rumeur récurrente là-aussi. Ces détails méritent d'être pris avec prudence, souligne le site, qui ne donne pas d'estimation sur la période de sortie, mais ça n'est pas pour tout de suite au vu des changements énoncés.

Modem 5G Apple : les réseaux du grand retard

La Nuki Smart Lock Pro 3.0 revient à son prix le plus bas. Amazon vend cette serrure connectée seulement 209,99 € au lieu de 279 € dans sa version blanche.

La Smart Lock Pro 3.0 permet de connecter la porte d'entrée de votre domicile afin de l'ouvrir simplement avec votre iPhone ou votre Apple Watch. Cette serrure connectée a été testée et approuvée par nos soins. Compatible HomeKit, elle s'intègre très bien à l'écosystème Apple (contrôle depuis l'app Maison et Siri, application Apple Watch disponible…) et dispose de fonctionnalités pratiques, comme un système d'autorisations d'accès pour d'autres personnes.

Comparé à la version standard qui coûte 159 €, le modèle Pro a l'avantage d'avoir une connexion Wi-Fi, une batterie rechargeable et une finition en métal. Vous pouvez vérifier la compatibilité de votre porte sur le site du fabricant. Nuki propose des accessoires pour parfaire l'installation, dont un détecteur d'ouverture de porte et un pavé numérique avec capteur d'empreintes digitales.

Test de la Smart Lock Pro 3.0 de Nuki : la serrure connectée qui a tout compris

Nuki Keypad 2.0 : un capteur d’empreintes efficace pour déverrouiller la serrure connectée

Apple vient de mettre en ligne les premières bêtas pour iOS 17.1, iPadOS 17.1 et tvOS 17.1. Difficile de dire ce qu'elles nous réservent, mais nous allons télécharger ça au plus vite pour décortiquer toutes les nouveautés ! La version finale d'iOS 17 a été publiée en début de semaine dernière.

La dernière version publique d'iOS 17 est la version 0.2, publiée hier. Celle-ci règle notamment un problème de blocage lors du transfert de données en direct depuis un ancien iPhone.

La prochaine gamme d'iPhone se diviserait en une déclinaison de puces gravées selon le même procédé, plutôt que les deux générations utilisées pour les 15 et 15 Pro.

D'après l'analyste Jeff Pu, généralement bien informé sur les produits à venir chez Apple, les iPhone 16/16 Plus et 16 Pro/Pro Max seraient équipés respectivement de puces A18 et 18 Pro.

Depuis les iPhone 14, Apple distingue les gammes avec le processeur de l'année précédente pour les modèles non Pro et la dernière puce du moment pour les Pro. Ce qui donne, cette année, une A16 ainsi qu'une A17 Pro inédite à tous les égards.

À en croire Jeff Pu, pas d'A17 d'un côté et de A18 Pro de l'autre pour la prochaine génération. Quant au procédé de gravure, il serait identique sur les quatre modèles d'iPhone, grâce à une évolution de la gravure en 3 nm employées sur les iPhone 15 Pro.

Cette méthode de gravure dite "N3E" (contre N3B pour le 17 Pro) a déjà été décrite comme plus simple et apte à des rendements plus élevés ainsi que de modestes gains en performances. Moins de déchet dans les wafers — ces galettes de processeurs — c'est un coût de revient plus bas.

Apple pourrait proposer deux versions de l'A17… peut-être dans le même smartphone

La manière dont Apple baptisera ses prochaines puces relève aussi d'un choix marketing, mais cette idée d'un couple A18/A18 Pro aurait le mérite de la lisibilité et de la cohérence avec les gammes qui les embarqueront.

L'iPhone 16 aurait un bouton et des pouces en plus

Le gouvernement chinois a publié une première liste de boutiques d'apps qui se sont conformées à une nouvelle loi de contrôle de leur activité et contenus. L'App Store d'Apple n'y est pas.

26 app stores opérant en Chine figurent sur une liste publiée aujourd'hui par les autorités chinoises de régulation du cyberespace, rapporte Reuters. Des boutiques appartenant à Tencent, Huawei, Samsung, Xiaomi, Baidu, etc. Leur présence acte de leur coopération pour satisfaire des demandes émises depuis cet été.

Le gouvernement chinois exige désormais des app stores qu'ils s'enregistrent auprès de son administration en fournissant des détails sur leur activité. Il peuvent être tenus pour responsables de la présence d'apps dont le contenu ou les fonctions contreviendraient aux lois du pays. Les éditeurs de ces apps — petites et grandes — sont soumis à la même contrainte.

Une obligation qui met dans l'embarras les éditeurs indépendants, nombreux sur les stores d'apps. Ils doivent ouvrir un bureau local pour effectuer ces démarches ou en confier l'exécution à un intermédiaire. Toutes choses compliquées pour de petites sociétés ou pour un développeur tout seul.

Début septembre, de premiers app stores (ceux d'Oppo, Tencent, Vivo, Xiaomi, etc.) indiquaient avoir commencé à stopper la publication de nouvelles apps en attendant que leurs éditeurs remplissent ces formalités. Les apps déjà en ligne ont droit à un sursis jusqu'au 31 mars prochain.

Apple n'a pas communiqué sur le sujet et son absence de cette première liste de stores, considérés comme étant en règle, n'est pas expliquée. La question se pose de savoir si la Pomme agira en intermédiaire pour soulager les plus petits acteurs de sa boutique — mais cela lui donnerait une nouvelle responsabilité — ou si beaucoup de ces développeurs devront plier bagage et disparaître de l'offre de l'App Store en Chine.

La Chine va exiger des informations sur toutes les apps mobiles accessibles dans le pays