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Après quelques évolutions mineures, c'est une révision plus significative que propose Spotify pour son jukebox Internet éponyme [0.4.3 (v.353) - 12,6 Mo - Mac OS X 10.5 - VF - Gratuit ou payant selon la formule]. Trois grandes nouveautés sont à signaler : l'utilisation des morceaux stockés sur votre disque dur (ou dans iTunes pour faire court), le partage via Facebook et une forme basique de notation des morceaux.

Première chose, Spotify sait maintenant référencer les morceaux déjà présents dans iTunes. Il n'en extrait pas les fichiers, juste leurs métadonnées. Et pour peu que l'on soit abonné à la formule Premium (9,99 € par mois), ces morceaux "locaux" pourront cohabiter sur l'iPhone (ou terminal Android) avec ceux récupérés via Spotify. À ce titre, la synchronisation entre Spotify et son compagnon mobile - pour les morceaux venus d'iTunes - se fera sans fil.

Évidemment, les morceaux de l'iTunes Store encore dotés de DRM ne seront pas lisibles. Sont supportés les formats MP3, AAC et OGG. Cependant, le client Spotify mobile redouble d'intérêt avec cette nouvelle fonction (lire Spotify : la mise à jour disponible sur l'App Store & Une journée avec Spotify). Et surtout, le client Mac/PC, malgré ses insuffisances en terme de gestion et classement des titres et des listes (impossible de simplement regrouper ses listes dans des dossiers) s'affirme en alternative à iTunes pour qui veut surtout écouter de la musique.

L'autre grosse nouveauté tient dans l'intégration avec Facebook. Que ce soit pour publier le morceau que vous êtes en train d'écouter (cela marche aussi vers Twitter) mais surtout pour échanger des playlistes entre utilisateurs du logiciel ainsi que du site web. Si vos amis ont activé cette fonction, vous obtiendrez automatiquement leurs listes partagées.

Pour garder un oeil sur ces échanges croisés, une nouvelle icône "Boîte de réception" a été ajoutée dans la colonne de gauche. On y trouvera les éléments partagés et leur origine.

De l'ordre du détail ensuite, chaque morceau de votre collection peut-être distingué d'une étoile (et une seule), ils se retrouveront ensuite dans une liste dédiée baptisée Sélection.

C'est mieux que rien, mais en deçà d'iTunes qui offre un peu plus de souplesse avec un système de 5 étoiles. Nouveau aussi le petit champ de recherche «Filtre» pour isoler certains morceaux ou artistes dans une liste, ou l'affichage d'une mosaïque comme illustration d'une liste comportant plusieurs albums.

via Spotify & Hunch

La perquisition chez Jason Chen a d’ores et déjà fait couler beaucoup d’encre (lire : La police confisque le matériel informatique du blogueur de Gizmodo). Pour l’une des responsables de l’Electronic Frontier Foundation (EFF), les forces de l’ordre ont outrepassé les lois en vigueur tant au niveau de l’État qu’au niveau fédéral. Selon Jennifer Granick , ils n’avaient pas le droit de se rendre au domicile de Jason Chen et de perquisitionner du matériel.

La responsable de l’EFF, dans un entretien donné à LaptopMag, a indiqué qu’il y avait des lois en vigueur afin de protéger le travail d’investigation et de collecte de données des journalistes et des reporters, des lois qui en théorie empêchent toute perquisition et saisie de matériels. Selon l’EFF, ces lois s’appliquent même si Gizmodo a obtenu l’iPhone dans des conditions «douteuses».

Suite à la perquisition chez Jason Chen, l’éditeur de Gizmodo, Gawker, a rencontré les autorités pour se plaindre de la manière dont l’enquête se déroule. Selon Steve Wagstaffe, du bureau du procureur du comté de San Mateo, la justice va d’abord considérer la requête de Gawker - à savoir si lois de protection des journalistes qui peuvent en Californie être étendues aux blogueurs s’appliquent dans le cas présent - et éventuellement examiner le matériel saisi.

La police n’a pas tardé à entrer en action dans l’affaire du prototype de l’iPhone 4G. Gizmodo vient de révéler que Jason Chen, le blogueur qui avait écrit la plupart des articles sur l’appareil, a eu la surprise de voir que la police l’attendait à son domicile vendredi dernier.

Les forces de l’ordre ont confisqué l’essentiel de son matériel informatique (4 ordinateurs et 2 serveurs) ainsi que son iPad et son iPhone. Le but de l’enquête est sans doute de déterminer comment Gizmodo a mis la main sur l’iPhone 4G. À suivre…

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Orange a commencé à remplir sa page destinée à l'iPad, preuve, s'il en fallait qu'il sera parmi les premiers à le vendre en France. Sinon le premier, on ne peut exclure en effet une exclusivité toute temporaire. La page est encore assez allégée niveau informations, indiquant simplement "Orange proposera très bientôt des forfaits tout spécialement conçus et adaptés à l'utilisation de l'iPad en version Wi-Fi et 3G. Avec la plus large et la meilleure couverture haut débit mobile 3G/3G+* et Wi-Fi en France, Orange proposera une expérience optimale de l'iPad en mobilité" Et de donner rendez-vous dans "quelques jours". Les pré-commandes d'iPad en France débuteront le 10 mai, sa sortie et ses prix seront annoncés par Apple à cette occasion.

merci Toxi

C'est l'un des enseignements que nous révèle le prototype d'iPhone 4G déniché par Gizmodo. D'après les photos et autres éléments publiés par le site américain, ce modèle ne comporte pas de puces NFC (Near Field Communication que l'on traduit en français par communication en champ proche). Cette technique permet des échanges de données de très courte portée.

Le consortium créé pour promouvoir la technologie NFC est composé notamment de Sony et Philips, Nokia, Samsung, Panasonic et Microsoft. Apple n'est pas membre de cette structure, mais s'intéresse de très près à cette technologie. Elle a déposé de nombreux brevets utilisant ce dispositif (le dernier en date : Brevet : Apple s'attaque au paiement avec l'iPhone).

En toute logique, Android devrait griller la politesse à l'iPhone. Selon NXP Semiconductors qui fabrique les puces NFC, plusieurs fabricants de téléphones Android devraient adopter cette technologie d'ici la fin de l'année. NFC devrait se généraliser en 2011.

[via NFC World]

L'iPhone 4G perdu par Apple et qui a fini dans les mains de Gizmodo va-t-il être l'objet d'une querelle judiciaire ? On n'en est pas encore là, mais Apple a demandé à la police d'enquêter sur cet incident.

Rappelons brièvement les faits : une personne aurait mis la main dans un bar de San Jose sur cet iPhone. Après avoir essayé sans succès de le rendre à Apple, la personne a fini par le donner à Gizmodo moyennant 5000 $.

Si tout ceci était confirmé, Apple serait en position d'attaquer le vendeur. Une loi californienne de 1872 interdit de vendre un bien qui ne lui appartient pas et dont il connait le propriétaire. Ce qui était manifestement le cas, puisqu'avant que l'iPhone soit bloqué, la personne a lancé l'application Facebook présente sur le prototype de Gray Powell…

D'autre part, une seconde loi prévoit une peine de prison pouvant aller jusqu'à un an pour les personnes qui achètent des biens alors que ceux-ci ont été obtenus illégalement.

Cependant, il parait peu probable qu'Apple attaque Gizmodo. Ce dernier pourra toujours se réfugier sous le premier amendement qui assure la liberté de la presse. Reste que son éditeur, Gawker Media, a sans doute été maladroit en divulguant beaucoup trop d'informations sur la manière dont elle s'est procuré l'iPhone.

[via CNET]

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