Le magazine numérique personnel Flipboard arrive dans une nouvelle version qui se veut plus sociale et ajoute de nouveaux services [1.1 - 3,0 Mo - Gratuit]. On peut désormais parcourir ses groupes et amis Facebook, et les ajouter comme source d'informations sur l'écran d'accueil.

Mais les vraies nouveautés se trouvent du côté de l'intégration de Google Reader et de Flickr avec leurs options de partage et la possibilité d'ajouter des flux ou contacts sur la page d'accueil pour un accès direct. Comme toujours, Flipboard met en page les contenus de manière élégante et soignée. Enfin, un geste à deux doigts vers le haut révèle une sorte de carte postale numérique qui permet d'utiliser un de ces comptes (Facebook, Twitter, Flickr…) et d'y envoyer un message, avec une image, voire un lien vers la page Flipboard en cours.

Facebook, Twitter, LinkedIn : Friends est une application pour les gouverner tous [1.0 - 6,0 Mo - 1,59 €]. Elle permet en effet d'ajouter ses différents comptes et de gérer tous les messages dans un flux unique, même s'il est toujours possible d'accéder à des flux différents.

L'interface est plutôt agréable et les principales fonctions des différents réseaux sont gérées : commentaires, likes, albums et murs de vos amis Facebook ; RT, favoris, sur Twitter, etc.. Les images sont affichées en ligne, et chaque contact a le droit à sa fiche : Friends est capable de fusionner les informations d'un même contact à travers les différents réseaux.

Enfin, signalons l'arrivée d'une nouvelle application officielle de Polaroid, sobrement nommée Polaroid Digital Camera App [1.0 - 13,4 Mo - 1,59 €]. Elle permet de prendre des photos avec la touche Pola, et de les envoyer par courriel, sur Facebook ou de les imprimer via AirPrint. Voilà qui fera peut-être plaisir à Steve Jobs, grand admirateur d'Edwin Land, l'inventeur du Polaroid (lire : Apple, Jobs : John Sculley à cœur ouvert).

Bien mieux finie que la précédente application officielle, elle offre des filtres (de nouveaux seront ajoutés dans de futures mises à jour) et une fenêtre de cadrage au moins aussi minuscule et imprécise que sur les vrais appareils de la marque. À vous donc les joies du cadrage approximatif et des surprises de traitement : heureusement, on n'aura pas à secouer ou à souffler sur son iPhone pour « développer » l'image.