iPhone : l'exclusivité un boulet pour Apple ?
Se basant une nouvelle fois sur l'exemple français, Kathryn Huberty estime qu'Apple a tout intérêt à ne plus signer de contrat en exclusivité avec certains opérateurs. La part de marché de l'iPhone a grimpé de 136 % depuis qu'Orange a perdu son exclusivité dans l'Hexagone (lire à ce sujet : France : l'iPhone en pôle).
Si Apple ouvrait la porte à Verizon, sa part de marché aux États-Unis pourrait connaître une ascension similaire. Et si elle appliquait cette politique dans tous les pays où l'iPhone est vendu en exclusivité, ses ventes de terminaux pourraient tout simplement doubler.
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