Comme quoi le protectionnisme ne veut pas forcément dire stagnation de l'économie. Le Brésil force les multinationales a construire des usines sur son territoire et favorise le développement du pays !

Le problème c'est qu'en France beaucoup de gens ont peur de travailler et sont accrocs aux aides sociales et aux produits "moins cher". Et quand ce ne sont pas les gens qui ont peur de travailler, ce sont les syndicats qui font fermer les boîtes au détriment des salariés qu'ils défendent. Exemples : siphonna Champs Elysées, bricorama en région parisienne (qui du coup attaque logiquement les autres magasins pour concurrence déloyale), Apple store qui ne devraient pas ouvrir en soirée ( des fois que les gens qui sortent du bureau un peu tard puissent venir ...) , .... Au Brésil ils veulent sortir de la misère, sont protectionniste et préfère acheter plus cher (ou pas) un produit qu'ils produisent chez eux.

@pacou : Toi, Pacou, a le droit a une vie, mais ces larbins qui ne sont pas aussi fortunés non ! Ha oui, le travail du dimanche a été demandé par ces larbins... Comme quoi, ton raisonnement et ta vision des "autres" ne tiens pas bien la route. Si tu donnes 1 millions d'€ a ces gens qui se savent que dépendre de nos minima sociaux, je suis pas certains qu'ils meurent tous pauvres et sans avoir crée de la valeur et de l'emploi... Par contre une chose est certaine, ceux qui stigmatise les "pauvres" n'ont pas essayé de crée de la valeur en France. Parce que sinon ils attaqueraient le système où il est plus facile de survivre sans travail qu'avec un smic... Bref.

En même temps évidemment je n'ai jamais dis à aucun moment que les gens devaient travailler gratuitement. Ensuite un vrai type me dit 'ces larbins qui ne sont pas aussi fortunés'' sauf que je ne suis pas fortuné. Non plus que je stigmatise les 'pauvres' sans créer de la valeur puisque 1/ je ne stigmatise pas les pauvres, seulement ceux qui n'ont rien envie de foutre mais vivent sur le dos de la communauté ou certains syndicalistes qui se font de la pub en gênant le travail et la vie des entreprises, 2/ et qu'au surplus je fais partie de ceux qui essaient de créer de la valeur et emploient du personnel, 4 personnes, et en forment d'autres, 2 apprentis. Mes salariés ont a priori envie de bosser, ont une vie, et sont payés. Pas trop de leçons à recevoir. Et effectivement un système ou on gagne plus de pognon en restant chez soi, dans certains cas extrêmes, qu'en allant bosser ne m'horripile pas, il m'effraie. Pour finir je précise que j'ai utilisé certains pronoms montrant que je ne généralise pas, il y a malheureusement beaucoup trop de miséreux. Ceux là, on ne les entend pas.