Voilà à quoi ressemblerait l'iPhone 4G, selon China Ontrade. Le site avait déjà ajouté le tiroir pour la carte SIM de l'iPhone 4G et l'iTablet à son catalogue (voir notre article iTablet : deux nouvelles pistes).

Une rumeur de plus à ne pas prendre au sérieux ? C'est ce qu'on aurait tendance à penser si China Ontrade n'avait pas publié des schémas qui s'étaient avérés être exacts concernant l'iPhone 3GS un mois avant sa sortie… (voir notre article Le design du prochain iPhone dévoilé avant l'heure ?).

Si China Ontrade dit juste une fois de plus, cela pose une vraie question concernant la date de sortie de l'iPhone 4G. On imagine mal voir de telles spécifications se balader sur la toile huit mois avant sa commercialisation. De là à penser que le successeur de l'iPhone 3GS n'attendra pas l'été en 2010 pour pointer le bout de son nez. Spéculation, quand tu nous tiens…

via Gizmodo

Lors du lancement de l'iPhone en Chine vendredi dernier, il n'y avait pas foule. La plus grande queue peinait à rassembler plus de 300 personnes.

China Unicom vient de confirmer cette impression. L'opérateur affirme avoir vendu 5000 iPhone. Un chiffre décevant, mais assez logique, l'appareil est vendu cher et sans interface Wi-Fi.

Vu la situation actuelle, le cabinet d'étude CLSA estime qu'Apple pourra écouler au mieux 460 000 iPhone en Chine par an. Un chiffre parait-il très en dessous des ventes réalisées sur le marché gris.

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Sur son blog, le développeur Olivier Faurax fait part d'une nouvelle intéressante : il a contacté Skype pour s'enquérir d'un RPM (Redhat Packet Manager) pour Mandriva, et il s'est vu répondre que Skype serait proposé en open-source "au plus vite".

L'information se répand comme une traînée de poudre dans la communauté open source, Skype étant avec Flash l'un des deux logiciels propriétaires les plus utilisés. Elle est reprise par Slashdot, après quoi Skype a publié des précisions sur son blog.

Commençons par faire un état des lieux : si Skype n'est pour l'heure pas disponible en open source, il est néanmoins possible d'intégrer le protocole de communication dans des logiciels de tierce partie : Skype proposait déjà ses API pour les développeurs, à l'aide de wrappers pour COM (ActiveX), Java, Python, mais également Cocoa, Carbon et AppleScript (voir notre article Les API de Skype sous Mac OS X). D'autre part, un projet nommé NakedSkype se voue à proposer l'accès au protocole sur plus de plateformes encore.

La première question que poserait l'ouverture du code de Skype est bien sûr celle de la sécurité : avec toute la recette du protocole sous les yeux, un développeur mal intentionné pourrait-il intercepter des conversations? Fort heureusement, non, le protocole est non seulement basé sur le peer-to-peer, et donc décentralisé (il n'y a pas de serveur qui fasse l'intermédiaire entre deux utilisateurs, les données sont transmises de proche en proche), mais il est également chiffré sur 256 bits, et il est impossible de désactiver le chiffrement. Cette sécurité pose par ailleurs quelques questions : nombre d'états, dont la France, exigent un système d'écoutes légales sur les télécommunications pour des raisons de sécurité nationale (la France interdisait jusqu'en 2004 les clés de chiffrement supérieures à 128 bits). Cette question reste dans un certain flou artistique, mais des rumeurs évoquent une « backdoor » pour les services des différents gouvernements.

Cependant, ces interrogations n'ont même pas lieu d'être : Skype ne proposera le code source que de l'interface graphique de son client logiciel, le protocole étant offert sous forme de librairie fermée, non pour des questions de sécurité, mais pour des questions de propriété intellectuelle : le protocole utilise des licences de tierces partie, que Skype ne possède donc pas et qu'elle ne peut offrir en open source.

Quoi qu'il en soit, cette nouvelle fait l'effet d'une petite bombe et pourrait bien donner un second souffle à Skype, qui pourrait se voir ainsi distribuée de facto dans l'installation de base de certains systèmes d'exploitation par exemple. D'autre part la communauté de développeurs pourra ainsi influer sur l'interface graphique du logiciel et offrir de nouvelles fonctionnalités. Bref, voilà quelques éléments qui pourraient bien contribuer à imposer Skype comme un standard, fut-il propriétaire, ce qui serait loin d'être une première.

Asphalt 5, la simulation automobile de Gameloft est en ligne sur l'App Store (5,49 €). Les graphismes ont été rehaussés depuis la précédente version 4 qui fut l'une des premières de ce genre disponible sur l'iPhone.

On retrouve des véhicules sportifs de grandes marques (Audi, Ferrari, Chevrolet, Lotus, Mercedes…), 12 circuits, 5 modes de jeu en solo et un multi-joueurs entre six personnes (en ligne ou en Bluetooth).

Selon l'analyste Chris Whitmore de la Deutsche Bank, « l'iPhone trace sa route dans le marché de l'entreprise ». Selon lui, Apple pourrait écouler 2 millions d'iPhone aux entreprises avant la fin de l'année, ce qui lui offrirait une part de marché de 7 %, contre 2 % à la fin 2008.

Si les départements informatiques étaient jusqu'ici résistants à l'entrée de l'iPhone dans les entreprises, ils s'y seraient aujourd'hui moins défavorables, pour plusieurs raisons selon Whitmore : une grand satisfaction des utilisateurs, la reconnaissance de la qualité de son clavier virtuel qui a balayé les premiers doutes quant à l'absence de clavier physique, la présence de plus de 6.000 applications dédiées au monde l'entreprise, et, enfin, une concurrence qui fait pâle figure. Selon Whitmore, Windows Mobile et BlackBerry « sont des années derrière Apple et semblent perdre du terrain sur le support aux développeurs / le développement d'applications ».

Via Fortune

On le sait, l'iPhone ne supporte par le Flash. En cause, selon Apple, la lourdeur de ce format, qui non content d'être propriétaire, serait un véritable gouffre de ressources et d'autonomie. Adobe n'a cessé de répondre, d'abord en annonçant avoir amélioré les choses (et à voir comment se comporte Flash sur le Motorola Droid, cela semble en effet sur la bonne voie), ensuite en proposant carrément aux développeurs de créer des applications pour iPhone avec la prochaine Flash CS5. Certainement lassé du silence de la firme de Cupertino, Adobe a décidé de passer à la vitesse supérieure, avec une bonne campagne de dénigrement à l'ancienne, sur la page Internet de Flash :

Rien qu'on ne sache déjà (« Apple restreint l'utilisation des technologies requises par des produits comme Flash Player. Tant qu'Apple n'aura pas supprimé ces restrictions, Adobe ne pourra pas fournir Flash Player pour iPhone ou iPod touch »), mais Adobe, semble-t-il, a décidé de ne pas relâcher la pression. Une suggestion pour le prochain épisode de cette gué-guerre ?

Via Engadget

C'est une vieille rengaine qui revient parfois : un service d'abonnement pourrait arriver sur iTunes. Mais l'information vient cette fois de All Things D, qui a plutôt bonne réputation, et soutient qu'Apple fait en ce moment le tour des fournisseurs de contenu avec le slogan suivant : « payeriez-vous 30 $ par mois pour regarder la télé via iTunes » ?

Ce système serait un nouveau pas pour l'iTunes Store, qui va vers toujours plus de diversification du contenu et de diversité de l'offre : après la fin du tarif unique sur la musique, ou le passage à la location pour les films, viendrait donc un système d'abonnement pour les séries TV. Avec en ligne de mire, si Apple réussissait à s'allier à suffisamment de fournisseur de contenus, les réseaux câblés, très populaires aux Etats-Unis.

Ce sera néanmoins compliqué, tant ces réseaux câblés sont puissants et injectent massivement des fonds pour la création de contenus originaux. Ce pourrait aussi être un problème pour les retombées publicitaires des diffuseurs-producteurs (aucun système financé par la publicité n'a pour le moment été déployé par Apple, même si cela a été un temps évoqué pour Mobile Me), ou tout simplement la mesure d'audience (on sait qu'Apple est réticente à donner des chiffres).

Il semble cependant que ce soit le bon moment pour se lancer : la télévision comme la location de films sont justement en train d'effectuer leur virage vers Internet. La société de location de films Netflix permet ainsi de streamer de la vidéo, tout en continuant son service traditionnel d'envoi de DVD à louer. Hulu, la plateforme d'ABC, de la Fox et de NBC, réfléchit, quant à elle, à la monétisation de son contenu par des locations, des abonnements, ou l'achat de films à télécharger. Et les nouveaux iMac, plus que jamais, semblent vouloir remplacer la télévision, avec leurs écrans 16/9è.