SwitchBot a commercialisé son deuxième hub avec Matter, associé à sa dernière serrure connectée comme prévu. Le constructeur proposait depuis plus d’un an un hub compatible avec le nouveau standard de domotique, le Hub 2 qui propose plusieurs fonctionnalités additionnelles comme un thermomètre et hygromètre intégrés, au prix d’un produit plus encombrant et d’un tarif plus élevé. Le Hub mini est un modèle qui se charge uniquement de faire le lien avec les accessoires du constructeur, ce qui permet de réduire son encombrement en même temps que son prix.
Le Hub mini avec Matter. Image iGeneration.
Côté prix, on n’a pas encore le tarif du hub seul, puisque SwitchBot a décidé de le vendre au départ uniquement avec la Lock Pro, sa plus récente serrure connectée. Le pack est actuellement vendu 136 € sur Amazon, soit moins que le prix de base de la serrure, ce qui revient à dire que le Hub mini est offert. Si vous le pouvez, je vous recommande toutefois le pack qui contient la serrure, le Hub mini et le pavé numérique, de quoi bénéficier de toutes les fonctionnalités proposées par SwitchBot. Ce pack est lui aussi en promotion sur Amazon, à 190 € au lieu de 240, un excellent prix pour une excellente serrure connectée.
Rappelons qu’il s’agit d’une nouvelle version matérielle du Hub mini. L’ancien modèle, vendu par SwitchBot depuis des années, ne bénéficiera pas du nouveau standard de domotique grâce à une mise à jour logicielle, il faut acheter un nouveau produit. Ce que l’on ne peut faire qu’en association avec une serrure pour le moment, même si ce ne sera pas toujours le cas.
La version 125 de Chrome pour iPhone et iPad offre plus de possibilités de personnalisation. On peut dorénavant réorganiser le menu des sites web, y compris le carrousel de raccourcis qui se trouve en haut. Ce menu s’ouvre en touchant l’icône avec les trois points.
Pour le réorganiser, il faut le faire défiler un petit peu, jusqu’à voir l’option Personnaliser le menu. On peut retirer des boutons du carrousel supérieur, à l’exception de Informations sur le site et Paramètres. Le tri intelligent, qui affiche en premier les éléments fréquemment utilisés, peut être désactivé.
Le menu vertical est lui aussi personnalisable : on peut sélectionner et déplacer les options que l’on préfère (Ajouter à la liste de lecture, Traduire, Rechercher sur la page…). Le menu équivalent de Safari, celui qui s’ouvre en touchant le bouton Aa, est rigide pour sa part.
Si vous cherchez un navigateur autre que Chrome qui puisse être largement personnalisé, nous vous recommandons Quiche Browser, pensé pour être organisable de A à Z.
L’association entre Canal+ et Apple va vraiment loin. Une nouvelle option permet aux abonnés Canal+ d’accéder aux programmes d’Apple TV+ au sein de l’application Apple TV.
Pour rappel, depuis l’année dernière les abonnés Canal+ ont droit aux séries et films de Cupertino sans surcout. Jusque-là, tous ces contenus n’étaient accessibles que via l’application myCanal. Une nouvelle option permet d’en profiter également via l’app Apple TV, sur n’importe quelle plateforme.
Pour bénéficier de ce nouveau mode d’accès, il faut lier votre compte Canal+ à votre compte Apple en suivant ce lien. Vous devrez d’abord vous connecter à votre compte Canal+ puis sélectionner votre contrat.
Un pop-up vous demandera alors si vous voulez ouvrir l’app TV d’Apple. Une fois l’app TV ouverte, il ne vous restera plus qu’à confirmer l’association des deux comptes.
Vous pourrez alors regarder les programmes d’Apple TV+ dans l’app TV plutôt que dans myCanal (ils restent néanmoins accessibles dans cette dernière). Cette option est intéressante en particulier si vous avez l’habitude de centraliser vos visionnages dans l’application d’Apple, celle-ci pouvant servir d’agrégateur — même si c’est le cas de myCanal également.
Accès aux programmes Apple TV+ dans l’app TV rien qu’avec un compte Canal+. Image iGeneration.
Tandis que myCanal s’en tient à la version originale et au français, l’app TV présente aussi l’avantage de proposer beaucoup plus de langues pour les doublages et les sous-titres. Quant à la qualité de la vidéo, elle est identique dans les deux apps, à l’exception du taux de rafraichissement : TV s’adapte au contenu en diffusant une vidéo avec le même nombre d’images par seconde qu’encodé dans le fichier, là où myCanal diffuse le même contenu à 50 Hz.
Dans son infolettre dominicale, Mark Gurman cite quelques fonctions prévues pour iOS 18 et macOS 15 dont certaines seront aidées par l'IA.
L'une des plus inattendues est la création, à la volée, d'un emoji inédit en fonction de ce que l'on est en train de taper. Il ne s'agit pas de suggérer un emoji pioché parmi ceux du catalogue officiel, mais d'une création à chaque fois originale. Un peu comme ces images produites par les technologies d'IA générative.
L’app Remix donne-t-elle une idée de ce qu’iOS 18 pourrait intégrer nativement, avec une dose d’intelligence artificielle en plus ? Image iGeneration.
Pas mal d'autres choses pour iOS 18, liées à l'IA, avaient été évoquées par de précédentes et nombreuses rumeurs. Elles touchent plusieurs des apps d'Apple ainsi que le système de notification qui évoluerait également. Gurman y fait brièvement référence. Tous ces changements sont réunis sous la bannière d'un projet baptisé "Greymatter" (matière grise).
Il cite au passage Siri, qui évoluerait sur sa voix avec un naturel plus marqué lors des interactions avec l'utilisateur. On a peut-être déjà vu ce que cela allait donner avec une récente démo d'OpenAI. Sur l'Apple Watch, une version plus évoluée de Siri serait de la partie pour des actions du quotidien, qui peuvent s'exécuter en local.
Sur la manière de faire fonctionner toutes ces nouveautés "intelligentes", les systèmes d'exploitation d'Apple détermineraient ce qui peut être exécuté en local ou plutôt confié à ses serveurs lorsque plus de puissance est requise. « La plupart des fonctionnalités de l'appareil seront prises en charge par les puces iPhone, iPad et Mac lancées au cours de la dernière année », écrit Gurman.
Il faut s'attendre à voir plusieurs mentions "bêta" ou "preview" pour ces fonctions, signe peut-être qu'elles ne sont pas en développement depuis très longtemps. Le keynote de la WWDC devrait être l'occasion pour Apple d'annoncer un partenariat avec OpenAI et, qui sait, la venue de Sam Altman.
Il n'y aura heureusement pas que des évolutions liées à l'IA. L'écran d'accueil de l'iPhone ne devrait plus imposer un placement des icônes selon une grille assez rigide. On pourrait placer les icônes plus librement, à la manière peut-être d'Android. Ensuite, Apple permettrait d'affecter de nouvelles couleurs à des icônes. Gurman cite comme exemple de passer en bleu toutes les apps de la catégorie des réseaux sociaux et en vert ses apps de banque. Toutes choses déjà possibles, mais en bricolant.
L’an dernier, pour la première fois, j’ai acheté un iPad avec mes deniers personnels. Je pensais que ce serait une bonne motivation, que ce ne soit pas la boite qui paye, mais non, mon iPad Pro 11” M2 passe le plus clair de son temps dans un tiroir. Pour lire mes flux RSS et jeter un œil à mes courriers électroniques, l’iPhone suffit. Pour écrire et développer, parmi d’autres occupations qui demandent un clavier, le Mac est aussi flexible que confortable. Pour regarder des films en famille, rien ne vaut l’Apple TV.
Alors quand Apple présente l’iPad Pro 11” M4 avec une litanie de qualificatifs plus extravagants les uns que les autres, je dois bien dire que je reste songeur. D’accord, son châssis est « impossiblement fin ». D’accord, son écran Ultra Retina XDR est « le plus avancé du monde ». D’accord, la puce M4 offre des « performances hors normes ». Mais est-ce que tout cela peut me donner envie d’utiliser l’iPad Pro plutôt qu’un autre appareil ? La réponse dans notre test de l’iPad Pro 11” M4.
LʼiPad Pro 11” M4 avec ses accessoires. Image iGeneration.
Depuis l’iPad Air 2, Apple aime décrire sa tablette comme une « feuille de verre magique », et la comparaison n’a jamais été aussi tangible. Le modèle de 11” est un peu plus épais que le modèle de 13”, qui prend le titre de « produit le plus fin jamais conçu » par Apple à l’iPod nano de septième génération, mais le mot « épais » ne convient plus pour décrire une telle finesse. Pour réduire l’épaisseur de la tablette à seulement 5,3 mm, les ingénieurs d’Apple ont déployé des trésors d’ingéniosité.
Les chambres acoustiques qui amplifient le son produit par les quatre hautparleurs, un dans chaque coin, ont été rétrécies sans que cela n’affecte particulièrement la reproduction sonore. La carte-mère se glisse entre les deux cellules formant la batterie, qui gagne 2,64 Wh pour offrir une capacité de 31,29 Wh, miracle de la progression des technologies. La puce M4 est placée au centre de l’appareil, sous le logo Apple qui n’est plus seulement un ornement, mais un dissipateur thermique doublé d’une feuille de cuivre.
LʼiPad Pro 11″ M4 est plus fin que la partie plate de lʼiPad original (à droite). Image iGeneration.
Depuis plusieurs mois, une nouvelle arnaque se propage via les SMS. Des messages frauduleux se faisant passer pour des livreurs de colis invitent les victimes à cliquer sur un lien pour reprogrammer la livraison de leur colis, soi-disant trop volumineux pour la boîte aux lettres.
Vous avez reçu un SMS vous indiquant qu'un colis n'a pas pu être livré et qu'il faut reprogrammer la livraison en cliquant sur un lien ? Méfiez-vous, car il s'agit très probablement d'une arnaque.
Ces SMS, qui circulent de plus en plus fréquemment, visent à inciter les victimes à cliquer sur un lien malveillant... Mais en réalité, aucun colis n'a été livré. L'objectif des fraudeurs est de récupérer vos informations personnelles, telles que vos identifiants bancaires ou vos mots de passe, ou d'installer un virus sur votre appareil.
Voici quelques indices qui permettent de repérer un SMS de tentative d'hameçonnage :
L'absence de nom de marque ou d'entreprise de livraison dans le message.
L'envoi depuis un numéro de téléphone portable, une pratique peu utilisée par les services de livraison légitimes.
La présence d'une URL suspecte, sans nom de domaine identifiable.
L'identification du SMS comme spam par votre smartphone.
L'absence d'avis de passage et la mention d'un colis non attendu.
Quoi qu'il en soit, lors d'achats en ligne ou d'inscriptions à des services, nous partageons tous notre numéro de téléphone. Ces informations, censées être protégées, peuvent fuiter et devenir accessibles à des tiers, y compris des courtiers en données qui les vendent, augmentant le risque de démarchage abusif et d'escroqueries.
Que faire si vous recevez un SMS frauduleux ?
Ne cliquez surtout pas sur le lien ! Il pourrait vous rediriger vers un site web malveillant conçu pour voler vos informations personnelles ou bancaires.
Signalez le SMS au 33700. Ce service gratuit permet de bloquer l'expéditeur du message et de protéger d'autres personnes.
Faites preuve de vigilance et de bon sens. N'oubliez pas que les entreprises de livraison ne demandent jamais de paiement ou de renseignement personnel par SMS.
En cas de doute, privilégiez toujours la prudence et contactez directement l'entreprise de livraison concernée pour vérifier l'authenticité du message.
Protégez-vous contre les arnaques en ligne avec Incogni
Incogni, créé par Surfshark, est un service de suppression automatique de données qui travaille pour vous. Pour un abonnement mensuel, Incogni s'engage à protéger vos informations, y compris votre numéro de téléphone, des regards indiscrets.
L'inscription est simple : utilisez une adresse email et un mot de passe, puis validez votre compte. Fournissez votre nom et adresse pour permettre à Incogni de demander la suppression de vos données en votre nom.
Incogni vous offre un tableau de bord intuitif pour suivre les actions entreprises. Vous verrez la liste des courtiers ciblés et serez informé des suppressions en cours, avec un algorithme optimisant l'efficacité des interventions.
En confiant la protection de vos données à Incogni, vous pouvez vous détendre en sachant que les experts de Surfshark gèrent la suppression de vos informations, dans le strict respect du RGPD. Avec un délai de réponse de 30 à 45 jours accordé aux courtiers, Incogni s'assure que vos données personnelles sont effacées efficacement.
Le plan annuel est en ce moment à moitié prix à 86,26 € TTC, alors, profitez-en ! C'est bien plus avantageux que la formule mensuelle.
Si les smartphones reconditionnés sont à la mode, ce n'est pas une nouveauté chez Apple : le refurb existe depuis de nombreuses années et propose des produits Apple reconditionnés (comme neuf) avec parfois des réductions très importantes. Et après avoir relancé la vente d'iPhone sur le refurb en mars avec des iPhone 13, Apple offre maintenant des iPhone 14 au même endroit.
Pour le moment, Apple vend des iPhone 14 noirs (pardon, minuit) à 740 € (128 Go) et 850 € (256 Go) et des iPhone 14 Pro Max dès 1 040 € (128 Go). C'est une économie de presque 200 € sur le prix de l'époque, mais l'iPhone 15 Pro Max est sorti depuis. Apple propose aussi différentes capacités (256 Go, 512 Go et 1 To) et différents coloris. Actuellement, il n'y a ni iPhone 14 Pro ni iPhone 14 Plus sur le refurb, mais ça peut évidemment évoluer.
Des iPhone 14 Pro Max (image Apple).
Ce n'est pas forcément intéressant : l'iPhone 14 128 Go noir vaut 750 € chez Amazon et la version 256 Go blanc (pardon, encore une fois, lumière stellaire) vaut 860 € neuf. Mais pour les iPhone 14 Pro Max, la donne est différente : ils ne sont plus disponibles chez les revendeurs.
