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Bon plan : le kit de démarrage Philips Hue avec le Bridge Pro à - 30 %

Stéphane Moussie

lundi 08 décembre à 09:32

Domotique

Pour faire ses débuts dans l’écosystème Hue sans être limité par la suite, Darty fait une offre intéressante. Le kit de démarrage comprenant le Bridge Pro, un interrupteur et trois ampoules E27 multicolores est en promo à 139,99 € au lieu de 199 €. Les ampoules incluses ont une luminosité maximale de 1 100 nits.

C’est l’une des premières promotions portant sur le Bridge Pro, le nouveau pont de connexion qui prend en charge jusqu’à 150 luminaires et 50 accessoires, contre seulement 50 produits au total pour la version classique. Ce pont peut également stocker plus de 500 scènes personnalisées, est censé offrir des temps de réponse significativement réduits et autorise des fonctionnalités inédites, notamment Hue MotionAware, qui transforme les luminaires Hue (plus de 95 % sont compatibles) en détecteurs de mouvement.

Lorsqu’un mouvement est détecté, le système déclenche des alertes lumineuses et envoie des notifications. Les alertes lumineuses sont gratuites, mais pour recevoir les notifications de sécurité, il faut un abonnement Hue Secure (à partir de 39,99 € par caméra par an). Si vous n'avez pas de caméras de surveillance, la marque propose les alertes de sécurité MotionAware pour 0,99 €/mois.

Philips Hue fait la lumière sur son Bridge Pro et ses ampoules Essential

Philips Hue fait la lumière sur son Bridge Pro et ses ampoules Essential

Si vous ne prévoyez pas d’installer des dizaines et des dizaines d’ampoules chez vous et que vous n’êtes pas intéressé par Hue MotionAware, la marque propose depuis peu une nouvelle gamme plus abordable. Le pack de démarrage avec le Bridge standard et quatre ampoules E27 Essential multicolores est vendu 99 €. Ces ampoules sont un peu moins avancées que les versions traditionnelles (fabrication tout en plastique et luminosité limitée à 806 lumens), mais elles restent de bonne qualité et permettent de profiter de toutes les fonctions connectées de l’univers Hue.

Test de l’ampoule Hue Essential : la qualité Hue dans une ampoule Matter à 15 €

Test de l’ampoule Hue Essential : la qualité Hue dans une ampoule Matter à 15 €

Domotique : Homey vend son boîtier « Pro mini » à 250 € en Europe

Nicolas Furno

lundi 08 décembre à 08:55

Domotique

Homey, solution de domotique complète dans l’esprit de Home Assistant même si elle est propriétaire (et désormais propriété de LG), généralise la commercialisation de son hub « Pro mini » annoncé il y a près d’un an et réservé à l’Amérique du Nord jusque-là. On peut ainsi l’acheter en France et en Europe, où l’appareil est vendu 249 €. C’est toujours nettement moins que le boîtier « Pro » toujours affiché à 399 €, mais ce n’est plus tout à fait deux fois moins cher comme on le pensait initialement.

Le boîtier Homey Pro mini devant l’app associée. Image Homey.

Le Homey Pro mini est composé d’un ordinateur équivalent au Raspberry Pi 4 et de quelques puces dédiées à la domotique, principalement pour créer des réseaux Zigbee et Thread (notamment pour Matter). Par rapport au boîtier Pro complet, il ne gère pas autant de protocoles matériels et il lui manque le Z-Wave, le Bluetooth ou encore la possibilité de contrôler des appareils via infrarouge. Si ces besoins sont importants pour vous, vous pouvez ajouter le Homey Bridge (69 €) et bénéficier de toutes ces fonctionnalités. L’autre différence majeure entre les deux boîtiers est sur la connectique : il n’y a que de l’Ethernet sur la version mini, pas de Wi-Fi.

Si le matériel est important, c’est le logiciel qui est le plus essentiel en domotique. Homey propose son propre système d’exploitation qui a les mêmes ambitions que HomeKit d’Apple ou bien Home Assistant. On peut l’utiliser pour connecter de nombreux appareils, puis pour les contrôler et surtout les automatiser. Sur ce point, l’expérience sera similaire entre les deux boîtiers, même si le Homey Pro mini se contente d’un seul giga de RAM, deux fois moins que le modèle plus cher. Cela peut se comprendre dans le contexte actuel et le fabricant se veut rassurant en indiquant que ce sera suffisant pour la majorité des installations.

L’avantage de Homey face à Home Assistant, c’est qu’il s’agit d’une solution clés en main, avec du matériel prévu pour du logiciel et une simplicité évidente pour la mise en place. L’inconvénient, c’est que vous êtes limité à une plateforme existante et vous ne pourrez pas installer le système sur un Raspberry Pi déjà en votre possession ou un MiniPC. Il faudra aussi se contenter d’un nombre réduit d’intégrations, même si les apps Homey sont très nombreuses et devraient répondre à la majorité des besoins.

Le boîtier Homey Pro mini sera peut-être vendu sur Amazon à terme, ce n’est toutefois pas encore le cas. Les frais de port sont offerts vers la France sur la boutique du fabricant.

Qu’attendre de l’iPad 2026 ?

Christophe Laporte

lundi 08 décembre à 07:15

iPad

L’année 2026 promet d’être très riche en nouveautés. Entre l’iPhone pliable, le MacBook Pro M6 entièrement revisité et d’éventuelles lunettes frappées d’une pomme, il devrait y en avoir pour tous les goûts. Parmi la liste des produits attendus en 2026 figure également l’iPad d’entrée de gamme. Ce n’est probablement pas l’appareil le plus excitant du lot, mais si vous comptiez vous équiper, voici ce qu’il faut savoir à son sujet !

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Un design inchangé

On ne change pas une équipe qui gagne. Aucune rumeur ne laisse penser qu’Apple préparait un nouveau design pour l’iPad 12ᵉ génération. L’entrée de gamme devrait donc reconduire exactement la même formule : un écran de 11 pouces bord à bord, un bouton Touch ID sur la tranche et des bordures toujours assez épaisses.

Apple n’a plus retouché le design de cet iPad depuis la 10ᵉ génération, qui avait enfin adopté une esthétique plus moderne et cohérente avec les iPad Air et iPad Pro. Depuis, la firme semble estimer que la recette fonctionne… et les ventes lui donnent probablement raison.

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Cet iPad reste d’ailleurs le plus épais de la famille : 7 mm au compteur, un seul format d’écran, et un affichage Retina LED sans ProMotion, sans large gamme de couleurs P3 et sans dalle laminée. Autant dire qu’il ne joue pas dans la même cour technologique que les modèles Pro. L’écart est toujours saisissant lorsque l’on passe d’un appareil à l’autre.

Là où Apple pourrait tout de même s’amuser, c’est sur les coloris. La gamme actuelle (bleu, rose, argent et jaune) pourrait accueillir de nouvelles teintes en 2026. C’est souvent le seul terrain sur lequel l’iPad entrée de gamme change d’une année sur l’autre.

Pour le reste, n’attendez rien de neuf : capteur photo, caméra frontale, port USB-C, compatibilité avec les accessoires ou encore prise en charge de l’Apple Pencil devraient rester strictement inchangés.

Un système sur puce qui lui ouvre les portes d’Apple Intelligence ?

Les rumeurs s’accordent à dire que l’iPad d’entrée de gamme devrait passer à la puce A18. C’est le même moteur que l’on trouve dans les iPhone 16e, 16 et 16 Plus : une puce gravée en 3 nm, plus rapide et plus économe que l’A16 qui équipe encore le modèle actuel.

Le prochain iPad d’entrée de gamme est bien parti pour s’ouvrir à Apple Intelligence

Le prochain iPad d’entrée de gamme est bien parti pour s’ouvrir à Apple Intelligence

Et ce changement n’est pas qu’un simple rafraîchissement technique. L’A16 de 2025 ne prenait pas en charge Apple Intelligence. L’A18, si. Avec cette transition, l’iPad 2026 deviendrait le tout premier modèle d’entrée de gamme compatible avec Apple Intelligence.

Autre bénéfice collatéral : l’A18 intègre un ray tracing matériel qui devrait améliorer nettement l’expérience de jeu, même sur ce modèle “budget”.

Reste la mémoire. L’iPad 11ᵉ génération se contente de 6 Go de RAM, mais pour faire tourner Apple Intelligence, Apple devra forcément passer à 8 Go. Une évolution quasi obligatoire si l’entreprise veut proposer une expérience cohérente avec le reste de la gamme.

Des puces Apple pour la communication

Apple pourrait profiter de cette révision pour moderniser toute la partie communication. Après avoir inauguré sa puce maison N1 (Wi-Fi, Bluetooth et Thread) avec l’iPhone 17 puis l’iPad Pro, la firme va sans doute poursuivre dans cette voie l’année prochaine. Le gain serait notable pour l’iPad d’entrée de gamme : le modèle actuel se limite au Wi-Fi 6, tandis que la N1 ouvre la voie au Wi-Fi 7 et à ses réseaux 6 GHz bien plus rapides, ainsi qu’au Bluetooth 6. On verra si 2026 sera l’année du Wi-Fi 7 chez Apple ou si elle réservera cette technologie aux modèles plus haut de gamme.

La puce N1 se charge de tout (ou presque)

Côté modèles cellulaires, Apple pourrait également remplacer les puces Qualcomm par son propre modem, comme elle l’a déjà fait en 2025 sur certains iPhone et iPad avec les C1 et C1X. Ces modems maison offrent une meilleure efficacité énergétique tout en conservant des performances comparables, un bon moyen d’améliorer l’autonomie sans augmenter les coûts ni changer le design.

Prix et lancement

Côté tarif, rien n’indique pour l’instant qu’Apple compte bouleverser sa grille : l’iPad 11ᵉ génération démarre à 389 € en 128 Go, et le futur modèle devrait rester dans les mêmes eaux. Quant au calendrier, Apple viserait un lancement au printemps 2026, quelque part entre mars et avril, période durant laquelle l’iPad Air doit également être renouvelé. Une fenêtre classique pour les mises à jour “raisonnables” de la gamme, sans keynote tapageuse mais avec les ajustements nécessaires pour rester compétitif.

Source :

Test de l’amplificateur Yamaha RX-V6A : le home-cinéma modernisé par AirPlay 2 et même Home Assistant

Nicolas Furno

dimanche 07 décembre à 08:00

Matériel

Les amplificateurs home-cinema associés à un ensemble de haut-parleurs répartis autour du salon n’ont jamais été très populaires et ils ont largement disparu avec l’essor des barres de son. Plus discrètes et tellement plus simples à installer, ces barres à positionner sous un téléviseur ont dominé le marché depuis si longtemps qu’il y a de moins en moins d’amplificateurs et ils sont de plus en plus chers, pour satisfaire les besoins exigeants de la niche d’utilisateurs qui compte encore dessus au quotidien. C’est mon cas, n’ayant jamais été convaincu par la qualité audio des barres de son dans mon budget face à notre antique, mais très performant, kit d’enceintes 5.1.

L’amplificateur Yamaha RX-V6A en action sous mon téléviseur LG. Image iGeneration.

L’amplificateur qui nous sert dans le salon depuis plus de dix ans ayant finalement rendu l’âme pendant l’été, il a fallu lui trouver un successeur. Si je ne suis pas l’actualité du segment avec grande attention, j’avais quelques critères. Je voulais un modèle capable au minimum de gérer nos cinq enceintes principales avec la possibilité éventuellement d’expérimenter l’audio au plafond grâce au Dolby Atmos. Je voulais aussi un appareil qui peut être contrôlé par la même télécommande que l’Apple TV grâce au miracle (théorique) du HDMI CEC. Et bien sûr, un produit connecté pour l’utiliser comme destination AirPlay lorsque l’on veut écouter de la musique. J’ai vite réalisé que ces critères n’étaient pas suffisants, puisqu’on trouvait ces fonctionnalités partout.

Quand Yamaha m’a proposé de tester un de leurs produits, je n’ai ainsi pas hésité. Pour les besoins de l’article, le fabricant m’a prêté pendant quelques mois son RX-V6A, un modèle plutôt au début de sa gamme qui était vendu 700 € à sa sortie, même si on le trouve de nos jours autour de 540 €. Pour ce prix, vous avez un appareil capable de gérer une image en 8K et jusqu’à sept enceintes et deux caissons de basse, le tout avec la compatibilité AirPlay et bien plus encore. Après plus de trois mois dans mon salon, que vaut cet amplificateur ? Voyons-le ensemble.

Un amplificateur de home-cinema à l’ancienne…

Je ne vais pas m’attarder longtemps sur la partie la plus traditionnelle qu’on attendrait d’un test de home-cinéma. Je ne dispose pas d’un auditorium à l’acoustique parfaite et équipé de tout l’équipement nécessaire pour juger des qualités audio de l’appareil, mon salon est configuré au mieux dans une pièce un poil étroite qui nous a contraints à tout placer en diagonale pour tout faire entrer. Bref, je n’ai pas le scénario idéal pour tester ce que vaut le RX-V6A et pour être franc, je n’ai pas non plus les compétences techniques pour le faire.

L’amplificateur au déballage, posé sur notre table de salon. Image iGeneration.

Ce qui m’intéresse le plus, c’est la partie connectée qui viendra ensuite. Avant d’y venir, il faut encore déballer et installer l’appareil, deux étapes qui ne devraient pas vous surprendre si vous avez déjà utilisé un produit de ce type. Les évolutions technologiques se sont surtout faites à l’intérieur, pour le reste un amplificateur home-cinéma ressemble toujours largement à ce que l’on connaissait il y a quinze ou vingt ans. Celui de Yamaha est assez imposant, avec ses 43,5 cm de large, 17 cm de haut et environ 38 cm de profondeur, pour tout juste moins de 10 kg. Il faut de l’espace pour refroidir les composants, notamment ceux qui amplifient le son envoyé aux enceintes, si bien que l’intérieur est surtout composé de vide.

Faisons un rapide tour du propriétaire, avec une façade aussi élégante en photo que pleine de poussière dès la sortie du carton. Le fabricant japonais a opté pour un plastique noir « piano » brillant, un matériau qui n’est joli que sur le papier et assez peu agréable en pratique. Cela dit, on ne touche jamais cette surface, alors ce n’est pas si gênant. La grosse roue centrale qui gère le volume est un élément fort de design, en même temps qu’un contrôle très agréable à utiliser. Sans aller jusqu’à parler de premium, car tout est en plastique ici et cela se sent, on peut saluer la conception générale qui semble bien solide. Un bouton gère l’allumage et la deuxième roue est à la fois un sélecteur et un bouton de confirmation pour naviguer dans les menus.

Si la façade est bien brillante, le reste de l’amplificateur est heureusement plus sobre. Image iGeneration.

À l’arrière de tout ce noir brillant, Yamaha a judicieusement opté pour du métal noir mat nettement plus discret. La coque est largement ajourée pour refroidir ce qu’elle protège, ce qui veut aussi sans doute dire que la poussière se fraiera aisément un chemin. Je manque évidemment de recul pour juger si ce sera un problème sur la durée. En revanche, je peux noter que des vis sur le côté offrent un accès très simple à toute l’électronique embarquée. C’est une bonne nouvelle en matière de durabilité et ce sera sans doute utile pour passer un coup de bombe d’air après quelques années d’utilisation.

L’Inde souhaiterait connaître en permanence la position des citoyens dans son pays en espionnant leur smartphone

Greg Onizuka

samedi 06 décembre à 22:45

Ailleurs

Depuis quelques temps, certains pays semblent dériver progressivement vers une surveillance accrue de leurs citoyens. Si l’idée ne paraît pas étonnante en Chine, ou encore en Russie où le Rozkomnadzor à récemment décidé de bloquer FaceTime, c’est plus surprenant venant d’autres comme le Royaume-Uni et ses envies de fouiller dans les données privées stockées sur les serveurs type iCloud. Pour continuer cette série, l’Inde se joint à la fête avec une demande à la fois très intrusive, et provoquant une levée de boucliers de tous les constructeurs dont Apple.

Tim Cook et Narendra Modi en avril 2023. Image Apple.

C’est AppleInsider qui rapporte la nouvelle, et la réaction des intéressés : l’Inde souhaiterait imposer aux constructeurs de smartphone une géolocalisation précise par GPS toujours activée, afin de pouvoir surveiller les allées et venues de chaque personne présente sur son territoire.

Dans un premier temps, le gouvernement de Narendra Modi a imposé aux fabricants tels Apple ou Samsung d’intégrer obligatoirement un module A-GPS dans chaque smartphone vendu. Jusque là, rien de bien particulier, d’autant que quasi toute la production mondiale contient déjà un tel module.

Là où la demande dérive c’est qu’une fois cette étape franchie, la Cellular Operators Association of India (COAI, regroupant les opérateurs mobiles du pays), très liée au gouvernement sur le domaine de la sécurité nationale, propose maintenant de forcer les smartphones de tout le pays à garder en permanence la position précise A-GPS allumée, afin de connaître les mouvements de chaque citoyen. L’India Cellular and Electronics Association (ICEA), regroupant les constructeurs de smartphones, voit la demande d’un très mauvais œil, et pour cause.

Dans un premier temps, sur le terrain pratique, laisser le module A-GPS allumé en permanence aurait un impact direct sur l’autonomie de la batterie : aucun téléphone actuel ne vérifie en permanence sa position précise, et pour cause, l’autonomie fondrait comme neige au soleil. Il suffit de voir combien de temps dure une batterie avec une app GPS allumée en permanence pour se rendre à l’évidence.

Plus grave encore est l’impact sur la vie privée. Si les citoyens lambda peuvent déjà trouver désagréable d’être traqués en permanence par leur smartphone, cette idée même pose des problèmes de sécurité pour de nombreux cas : militaires, juges, journalistes ou encore lanceurs d’alerte (liste non exhaustive) pourraient se retrouver en danger si leur position était connue en permanence, et consultable à loisir.

Les intentions des parties appelant à cette surveillance ne font aucun mystère, d’autant plus quand on entre dans les détails : la COAI souhaiterait que cette surveillance se fasse en toute discrétion, là où les fabricants de smartphones souhaitent que le message « Carrier is trying to access your location » (Votre opérateur tente d’accéder à votre localisation) reste une obligation en cas de consultation de la position d’un smartphone.

L

L'Inde veut préinstaller une app de sécurité gouvernementale sur les iPhone, Apple refuse 🆕

Quoi qu’il en soit, il semble que la décision finale attendra quelques semaines, voire quelques mois : le ministère de l’intérieur local devait réunir tous les constructeurs de smartphones ce vendredi, mais la réunion a été repoussée sans raison apparente. Le sujet s’accumulant avec les velléités d’installation d’une app de sécurité sur les smartphones des citoyens du pays qui a beaucoup fait parler d’elle en Inde, le gouvernement attendra peut-être que la situation médiatique se calme avant de revenir à la charge ?