Au fil du temps, les éléments vont et viennent dans les téléphones portables : le port mini-jack est apparu, puis a été supprimé, les ports de synchronisation et de charge sont passés petit à petit de formats propriétaires et divers à un seul et unique port USB-C, et les claviers ont pour la plupart disparu pour laisser la place à un grand écran tactile. Mais il est une chose qui ne pourra jamais être supprimée : la ou les antennes. Ce n’est pas pour autant qu’elles n’ont pas évolué pour se faire discrètes... petit historique.

Les premiers temps : une fréquence, une longueur
Le premier téléphone vraiment mobile de l’histoire, le Motorola DynaTac 8000X, n’était pas ce qu’on pouvait appeler un modèle de poche : avec 1,1 kg sur la balance et une hauteur de 25 cm, même le sac devait être de taille convenable pour le transporter. La plupart des utilisateurs le portaient en bandoulière, ou le laissaient dans leur attaché-case. Durée de charge ? 10 heures. Durée de communication ? 30 minutes.

En plus de ses 25 cm, comme si cela ne suffisait pas, il fallait rajouter un autre élément : une antenne de …