Le meilleur des deux mondes, voilà la proposition de l'Odin, la console portable aux faux airs de Switch conçue par Ayn : d'un côté, la possibilité de jouer aux titres Android les plus gourmands. De l'autre, un rêve de rétro-gamer. Mais l'appareil réussit-il sur tous les tableaux ? Voyons cela ensemble.
Entre l'iPhone et les smartphones Android d'un côté et la Switch de l'autre, le joueur mobile a le choix des armes. Les solutions pour jouer dans le bus ou en loucedé au bureau (je ne fais jamais ça 😇) sont nombreuses. Mais comme l'intérêt généré autour du Steam Deck l'a démontré, il existe un vrai marché pour des consoles portables polyvalentes, capables d'héberger les gros jeux du moment tout en offrant une grande flexibilité pour la bidouille.
Et par bidouille, j'entends « rétro-gaming ». Il existe une quasi-infinité de consoles Android à tous les prix vendues sur Aliexpress et ailleurs, qui permettent de retrouver les bonnes vieilles sensations d'antan des Game Boy, Super NES ou Megadrive. Mais si ces appareils font des merveilles avec les consoles 8 et 16 bits, c'est plus compliqué pour émuler la PlayStation, la Saturn, ou encore la N64. Ce n'est pas impossible, mais il faut accepter des compromis, et on ne parle pas de la GameCube ou de la PSP.