Selon AppleInsider, qui cite des sources proches du dossier, la tablette Apple ressemblerait à « un iPhone de premier génération qui aurait rencontré un rouleau à pâtisserie ». En fait, une illustration réalisée il y a plus de 6 mois serait étrangement proche de son design final :

Sa coque serait en aluminium unibody, ce qui lui donnerait un profil proportionnellement plus fin que le premier iPhone, dont elle emprunte d'autres éléments. Elle possèderait en effet exactement les mêmes boutons et ports, jusqu'au bouton d'accueil, mais aussi le connecteur jack 3,5 mm, la grille pour le haut-parleur, le micro, le module GPS, l'emplacement pour la carte SIM qui lui offre une connectivité 3G, et le connecteur Dock 30 broches. L'écran 10 pouces serait entouré d'un cadre noir qui viendrait se fondre dans le dos en aluminium. Si cette description est exacte, elle renverrait directement à une photo de la partie supérieure de la tablette qui traîne depuis quelques jours sur Internet :

Cet iSlate/iPad serait donc bel et bien un gros iPhone, y compris en termes de design.

Interrogé par The Business Insider sur ce que pourrait être la tablette Apple, Gene Munster, l'analyste de Pipper Jaffray a réitéré une de ses idées qui veut que plus les outils sont mobiles, plus ils doivent faire partie d'un écosystème intégré et facile à utiliser. Pour lui, iTunes est plus que jamais la pierre angulaire de la stratégie d'Apple, et la tablette sera avant une « expérience média ».

Allant à contre-courant de la plupart des rumeurs affichant cette tablette à 1000 $, Munster répète qu'elle sera moins chère que les Mac portables (il s'était déjà prononcé sur un prix autour de 600 à 700 $), et qu'elle visera avant tout le même marché que les netbooks : l'accès à Internet de manière plus confortable que sur un smartphone, mais plus mobile que sur un portable. Et c'est son intégration avec iTunes qui fera, encore une fois, la différence, amenant à la tablette des contenus (dont quelques nouveaux, comme tout ce qui est lié à la presse et le monde de l'édition en général) et des applications, ce qui permettra à l'iSlate ou l'iPad, quel que soit son nom, de réussir là où les Tablet PCs ont échoué.

S'il ne se prononce pas sur la taille de l'écran, il indique que ses sources taïwanaises l'ont informé que côté processeur, cette tablette serait très bien équipée, au point qu'il en fait « un ordinateur dans une forme de tablette ». La question étant de savoir si Apple a mis à profit son rachat de PA Semi pour ce produit (lire : Apple : une tablette sur un processeur maison ?).

Il pense qu'Apple pourrait mettre en place deux modèles différents pour la vente de livres et de magazines. La soumission d'applications servant d'interface à des sites ou des magazines serait ainsi relativement libre, comme elle peut l'être sur l'App Store, tandis que la soumission de livres pourrait être plus fermée, comme c'est le cas sur le Music Store. Il se fait d'ailleurs l'écho d'un avis, qui veut que côté livres, Amazon pourrait être de la partie, comme elle l'est déjà avec les livres audio (lire : Amazon plus partageuse sur son Kindle). Apple s'intéresserait en effet d'assez près à la presse, mais beaucoup moins au livre électronique.

Enfin, il rappelle que la tablette ne pourra pas être un produit aussi massivement adopté que l'iPhone (il avait déjà tablé sur 2 millions d'unités écoulées en 2010 là où d'autres parlent de 10), mais qu'elle sera un produit qui aura un impact significatif sur la stratégie mobile d'Apple.

Nous vous avions fait part d'une grève particulièrement musclée dans l'une des usines chinoises du fabriquant Wintek (voir notre article Une grève dure dans l'usine qui fabrique l'écran de l'iPhone). Le constructeur indique qu'une issue favorable a pu être trouvée au conflit, en rétablissant la prime de nouvelle année qui avait été supprimée. Il n'est cependant pas fait mention des autres récriminations des ouvriers, qui suspectaient que des émanations d'hexane pouvaient être à l'origine du décès de plusieurs collègues, et qui se plaignaient également d'une charge de travail trop importante couplée à des salaires trop bas.

La société indique que la grève n'aura pas d'impact sur la production, un élément douteux sachant qu'il a été fait part de destruction de matériel. La rumeur impute également à Wintek la fabrication de l'écran de la fameuse tablette (voir notre article La tablette Apple fait son marché à Taïwan).

Source : MacNN

Depuis quelques semaines déjà, Apple livre ses iPhone avec un nouvel adaptateur secteur USB. Ce dernier est plus compact que son prédécesseur : une prise d'un côté, une fiche USB de l'autre. Il peut être utilisé aussi bien pour un iPhone qu'un iPod. Prix : 25 €.

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Alors que Google avait défrayé la chronique en offrant une application de navigation gratuite sur Android, Nokia lui emboîte le pas en proposant un service équivalent sur certains de ses smartphones.

Cependant, l'offre de Google est jusqu'ici limitée au territoire américain, alors que le service de Nokia fonctionne dans 74 pays et 46 langues, ce qui concernerait quelques 20 millions de smartphones de par le monde. En outre, le service fonctionne même sans la moindre connexion, à l'inverse de Google Navigation.

Ovi Maps donne des consignes de navigation tant pour les véhicules que pour les piétons, inclut également la gestion du trafic dans 10 pays, les alertes radar et dépassement de vitesse. Le mode piéton intègre les passages qui leur sont réservés dans une centaine de villes de par le globe. Ovi Maps intègre également les guides Lonely Planet et Michelin, qui utilisent la localisation GPS pour vous délivrer leur savoir. D'autres guides comme un service météo et un guide des films et spectacles sont également proposés.

Tous les smartphones Nokia seront équipés du logiciel dès le mois de mars, les utilisateurs actuels peuvent d'ores et déjà télécharger l'application. Les appareils concernés sont les N97 Mini, 5800 XpressMusic, 5800 Navigation Edition, E52, E55, E72, 5230, 6710 navigator, 6730 classic et X6. Les grands absents sont le N97 et le N900, mais si Nokia ne se prononce pas pour ce dernier, en revanche elle promet le support du N97 pour le 28 janvier.

De quoi rendre les appareils de Nokia plus attractifs face à l'iPhone ?

Google a semble-t-il décidé de ne pas aller à l'encontre de la volonté d'Apple concernant le multitouch. Si cette fonctionnalité est bridée aux États unis, on pensait à l'image du Droid en Europe, qu'elle serait activée chez nous.

Il n'en est rien, le téléphone de Google lorsqu'il sera commercialisé en France ne sera pas multipoint. Le géant des moteurs l'a confirmé durant de la présentation du Nexus One en France. Techniquement, l'appareil en est parfaitement capable.

Il y a fort à parier qu'en bidouillant un peu, il soit très facile d'activer le multitouch. Ce qui est intéressant, c'est le discours de Google pour expliquer l'absence de cette fonctionnalité.

Pour le géant de l'internet, cette technologie n'est pas si pratique que cela. « Il faut forcément tenir le smartphone à deux mains pour en bénéficier », indique-t-on chez Google France.

via Mobinaute

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Outre les applications de TV mobile sur le réseau 3G, bien des chaînes de télévision ont sorti leur propre application permettant de regarder leurs programmes (TF1, BFM TV, France 24, La Chaîne Météo… ). C'est désormais au tour du groupe public de télévision d'en faire autant [1.1 - 2,6 Mo - gratuite]

S'il n'est pas possible de regarder les programmes en direct, en revanche l'application propose la télé de rattrapage avec certains programmes de France 2 à 5 et France Ô. L'application inclut également un guide TV (sans surprise limité aux chaînes du groupe), mais également différentes catégories (info, météo, sports, traffic). Il est également possible de contacter les équipes de différentes émissions directement à partir de l'application.

L'élément le plus notable c'est qu'il s'agit de la première possibilité offerte à tout internaute de consulter la télévision de rattrapage du groupe audiovisuel public, jusqu'ici celle-ci était réservée aux abonnés d'Orange, qui avait un contrat d'exclusivité avec France Télévisions. La lettre professionnelle Satellifax révélait il y a peu que si le groupe allait renouveler son accord avec Orange, il était probable que la clause d'exclusivité ne serait en revanche pas reconduite.

Pour l'heure, la sélection des programmes proposés dans l'application iPhone est cependant limitée à quelques émissions par chaîne.

Rappelons également que SFR permet depuis peu à ses abonnés de consulter son application de TV par le biais du WiFi (voir notre article SFR TV : l'accès en WiFi avant Orange), et qu'Orange devrait lui emboîter le pas d'ici peu (voir La télé d'Orange bientôt accessible en WiFi).