Promotion : le thermostat connecté V3 de Tado° à 100 € au lieu de 220

Nicolas Furno |

Si vous avez un système de chauffage centralisé associé à un thermostat, le thermostat de Tado° est un excellent candidat pour le connecter. D’autant plus avec la grosse promotion proposée actuellement sur Amazon : alors que le kit de départ est affiché en temps normal autour de 220 €, on peut l’obtenir en ce moment à 100 € seulement. Un prix exceptionnellement bas qui s’explique par un renouvellement de matériel de la part du constructeur, ce qui n’enlève rien à ce produit.

Image iGeneration.

En effet, Tado° a présenté récemment une mise à jour complète de sa gamme, qui bascule dans l’ère Matter avec du Thread au passage pour la partie matérielle. Les anciens produits, dont le thermostat connecté V3, vont ainsi disparaître, ce qui explique la promotion importante pour vider les stocks. Il faut le garder en tête au moment de l’achat, même s’il n’y a aucun problème à acheter ce thermostat, qui reste parfaitement fonctionnel et propose les mêmes fonctions que le nouveau. La différence principale vient du mode de connexion et vous devrez ajouter le petit module supplémentaire fourni sur votre box internet pour utiliser cet ancien modèle.

Pour le reste, Tado° a toujours l’un des meilleurs systèmes pour gérer une chaudière à distance et de manière moderne. En particulier, sa gestion de la présence avec baisse graduelle de la consigne au fur et à mesure de l’éloignement est à ma connaissance la plus simple et la plus sophistiquée du marché. Pour en savoir plus, je vous renvoie à ce test du matériel Tado°, dont le thermostat V3 en vente ici.

Test du thermostat connecté Tado° V3+ : chaudement recommandé

Test du thermostat connecté Tado° V3+ : chaudement recommandé

Notez que certaines fonctionnalités sont associées à un abonnement sans engagement, ce qui veut dire que vous pouvez l’activer uniquement pendant les mois d’hiver. Les produits Tado° sont aussi compatibles avec l’écosystème d’Apple, via HomeKit ou Matter, ce qui permet de les automatiser par ce biais sans passer par l’abonnement.

Lire les commentaires →

La carte Amazon Business American Express va perdre Apple Pay

Stéphane Moussie |

Une fois n’est pas coutume, la voilure d’Apple Pay va se réduire un petit peu. Les possesseurs de cartes Amazon Business American Express ne pourront plus utiliser Apple Pay à partir du 8 juillet.

Dans un email envoyé aujourd’hui à un client que nous avons pu consulter, American Express insiste sur le fait que cette perte est liée aux « règles Apple Pay concernant les cartes co-marquées » et que « cette décision a été prise par Apple ».

Les cartes Amazon Business American Express déjà ajoutées sur iPhone disparaitront de l’application Cartes le 8 juillet et il ne sera plus possible d’en importer. Les cartes elles-mêmes resteront valables, mais il faudra s’en servir par d’autres moyens, en paiement sans contact par exemple.

L’Amazon Business American Express est une carte à débit différé qui donne droit à un remboursement de 0,75 % sur les achats réalisés sur Amazon.fr et 0,50 % hors Amazon. Elle coûte 50 €/an à partir de la deuxième année et elle est réservée aux professionnels qui justifient de revenus personnels annuels bruts supérieurs à 20 000 €.

Les cartes équivalentes disponibles en Allemagne et en Italie vont également subir le même sort. Les autres cartes co-marquées American Express (il en existe de nombreuses, notamment liées à des compagnies aériennes) ne perdront pas Apple Pay, a précisé un porte-parole d’Amex au site Caschys Blog. Seule la carte liée à Amazon va devoir dire au revoir au service d’Apple.

Lire les commentaires →

Une erreur d'impression sur le clavier Combo Touch pour iPad Pro M4 de Logitech

Pierre Dandumont |

Lors du lancement des iPad Pro M4 et Air M2, Logitech a annoncé de nouveaux claviers dans la gamme Combo Touch. Sur le modèle destiné aux iPad Pro M4 de 13 pouces, la marque a fait une petite erreur d'impression comme nous avons pu le remarquer avec un exemplaire de test.

Cherchez l'erreur (image igeneration)

En effet, les touches ; (marquée aussi d'un .) et : (marquée d'un /) sont mal sérigraphiées. Sur la version de Logitech, la première montre un ; et un : alors que la seconde s'orne d'un . et d'un /. Il s'agit d'une erreur purement cosmétique : les deux touches, une fois pressées, envoient bien les bons caractères.

Un lecteur de nos confrères de Mac4Ever indique qu'Apple et Logitech sont au courant de l'erreur et qu'une nouvelle série de claviers est en production, avec un délai prévu de 4 à 6 semaines. En attendant, les claviers disponibles dans le commerce ont donc une petite erreur. Ce point explique probablement les délais sur le clavier en question sur Amazon : il est annoncé pour une sortie le 30 juin. De même, il est indiqué comme épuisé chez Apple.

Le problème est plus visible avec le Magic Keyboard sur la photo (image iGeneration)

Nous avons contacté Logitech pour plus de détails sur le remplacement pour les premiers acheteurs et nous mettrons cette actualité à jour dès que nous aurons une réponse. Notons enfin que l'erreur n'est pas réellement problématique : nous ne l'avions pas remarquée et elle n'a pas d'impact réel sur la frappe.

Lire les commentaires →

La nouvelle boutique alternative Aptoide d'ores et déjà ouverte sur iOS 🆕

Félix Cattafesta |

La boutique Aptoide pour iOS va faire ses débuts cette semaine. Ses créateurs ont officialisé la nouvelle dans un communiqué de presse où ils expliquent que le lancement se fera graduellement à partir de jeudi. L’accès sera dans un premier temps réservé aux utilisateurs disposant d’une invitation. L’entreprise affiche déjà d’une liste d’attente de 20 000 personnes, et enverra ensuite entre 500 et 1 000 invitations par jour. Les curieux peuvent laisser leur mail sur cette page pour être prévenu au plus vite.

Aptoide est une boutique alternative très connue sur Android, où elle affirme compter plus de 300 millions d’utilisateurs tout en hébergeant 1 million d’apps. Si elle y dispose de déclinaisons dédiées à la VR ou pour TV connectée, la version iOS est ici présentée comme une « boutique de jeux ». Le CEO de l’entreprise a confirmé à The Verge que sa portée pourrait être étendue à d’autres contenus et services à l’avenir.

Sept jeux seront présents sur la boutique au démarrage. On y trouvera des titres basiques comme un solitaire, un jeu de Mahjong ou encore un programme pour « calculer son QI ». Rien de bien alléchant, mais le catalogue devrait s’agrandir assez vite : Aptoide affirme avoir « une centaine de développeurs intéressés », tandis qu’une trentaine de projets seraient en cours d’intégration. Le site de la boutique promet « de nouvelles applications et de nouveaux jeux chaque jour ».

Contrairement à AltStore, la boutique pourra être téléchargée gratuitement. Les équipes vont absorber la Core Technology Fee d’Apple en prélevant une taxe aux développeurs sur les achats in-app. Ce type de jeux va donc être « favorisés » par Aptoide. La boutique sera la première à proposer une solution d’achat in-app alternative aux outils d’Apple, bien qu’elle ait évidemment reçu l’adoubement de Cupertino.

Mise à jour à 21 h 15 — Démarrage anticipé pour Aptoide, qui peut d'ores et déjà être installée sur un iPhone en Europe. Pas la peine de vous précipiter dessus pour autant, le catalogue de jeux est extrêmement maigre et, en plus d'être insipides, ces titres sont bourrés de pubs et de trackers.

Il faut également s'attendre à des achats in-app à tout va, Aptoide ayant conçu son propre système d'achats intégrés, un système qui octroie un bonus de 10 % en AppCoins (la monnaie de la boutique) à chaque dépense. On se demande qui va s'infliger une telle boutique.

Lire les commentaires →

Test de la station de charge 3-en-1 d’Amegat : pratique, mais en avez-vous vraiment besoin ?

Pierre Dandumont |

Apparue récemment dans nos contrées, la marque Amegat propose de nombreux accessoires qui semblent bien finis et qui sont commercialisés à un prix intéressant. Notre test porte sur un nouveau produit, une station de charge 3-en-1 vendue à un tarif séduisant (100 €) et destinée à alimenter un iPhone, des AirPods et une Apple Watch.

iPhone 15, Apple Watch et AirPods 3 sur la station Amegat. Image iGeneration.

Comme nous l'avons déjà expliqué, Amegat est essentiellement une sorte de clone d'Aukey. Il y a quelques années maintenant, la marque Aukey a été bannie d'Amazon parce qu'elle était soupçonnée de manipuler les notes de ses produits. Pourquoi en parler ici ? Car la station C3110 d'Amegat, parfois nommée Omnia-Blitz, est un clone direct de celle d'Aukey… et est en vente sur Amazon.

De nouveaux chargeurs Qi2 chez Amegat, visiblement Aukey avec une moustache

De nouveaux chargeurs Qi2 chez Amegat, visiblement Aukey avec une moustache

Pour 100 €, on a un produit complet sur le papier. La station de charge intègre un palet Qi2 pour un iPhone compatible MagSafe (dès l'iPhone 12), une zone de charge par induction pour des AirPods (et d'autres produits, nous allons le voir) et un emplacement dédié à une Apple Watch. De plus, elle est livrée avec un câble USB-C de 1,5 mètre d'assez mauvaise qualité et avec un chargeur USB-C de 30 W.

Un produit bien fini

Commençons par l'aspect physique. La station est en métal, avec un poids qui donne confiance (321 grammes). La base a des patins antidérapants et la prise USB-C à l'arrière est discrète. Le palet de charge principal est un modèle Qi2 placé sur une charnière, dont l'aimant est efficace. Vous pourrez disposer un iPhone en paysage pour profiter du mode « En veille » d'iOS 17 sans soucis, et il est possible de l'incliner vers le haut de quelques degrés.

Orange Téléphone raccroche en attendant Orange Cybersecure

Florian Innocente |

Les utilisateurs de l'app Orange Téléphone reçoivent une notification les prévenant que celle-ci n'effectuera bientôt plus de blocage des appels indésirables. C'est toute la raison d'être de ce logiciel qui fonctionne avec n'importe quel opérateur actif sur l'iPhone et utilise une fonction spécifique d'iOS. Ce filtre avait été intégré en novembre dernier aux deux apps Sosh et Orange et moi.

À l'époque, Orange nous avait indiqué qu'il s'agissait d'élargir l'audience de ce bloqueur de numéro et qu'Orange Téléphone restait d'actualité. Tellement, qu'en mars dernier, sa base a été gonflée de 6 millions de numéros supplémentaires provenant de services commerciaux.

Cette notification de fin de service ne renvoie vers aucune page d'information pour le moment. Cette communication lacunaire est toutefois à rapprocher d'une autre annonce faite aujourd'hui pour le lancement « d'Orange Cybersecure ».

Il s'agit de proposer à tout le monde une « protection contre les fraudes sur Internet et par téléphone », promet Orange. Il y a un volet gratuit et universel — comme l'est Orange Téléphone — et payant pour les seuls abonnés de l'opérateur.

Sur le portail de ce service qui entrera en fonction le 6 juin, « Toute personne, quel que soit son opérateur, pourra vérifier, gratuitement, par un simple copier/coller, la légitimité d’un site, d’un lien, d’un email ou d’un SMS qui lui semble suspect », explique le communiqué. Il ajoute : « Si le lien est déjà connu la réponse est instantanée. S’il est inconnu, les experts d’Orange Cyberdefense vérifieront rapidement la fiabilité et ajouteront le résultat à sa base de données pour l’enrichir en continu. » Orange mentionne le recours à une IA apprenante qui affinera la base de données de ces contenus à bloquer.

Ça, c'est pour la partie gratuite ouverte à tout le monde. Il y a l'offre payante réservée aux clients Orange et Sosh, vendue 7 € par mois sans engagement. Elle comprendra la sécurisation de 10 appareils (PC, Mac, iPhone, Android, tablette) pour contrer « Les messages malveillants comme les arnaques sur internet, virus, sites frauduleux, usurpation d’identité, etc ». Le blocage de numéros fixes et mobile est également de la partie, en plus d'une assistance technique de personnes d'Orange.

L'opérateur donnera plus de détails sur l'articulation de ces offres. Mais il semble que le service de l'app tel qu'on le connaît aujourd'hui, avec l'intégration à iOS pour bloquer immédiatement un numéro appelant, sera réservé à la formule payante. L'offre gratuite fournira toujours, à tout le monde, des renseignements utiles et plus variés puisqu'ils ne seront plus limités aux numéros. Mais au prix d'une manipulation un peu plus fastidieuse.

Mise à jour le 5 mai

Orange Téléphone va continuer de détecter gratuitement les appels indésirables

Orange Téléphone va continuer de détecter gratuitement les appels indésirables

Lire les commentaires →

De Liam à Daisy, ces robots d'Apple qui démontent les vieux iPhone

Florian Innocente |

Apple a fait visiter à TechCrunch son installation texane de démontage d'iPhone en vue du recylage de leurs pièces. Une initiative démarrée en 2016 avec un système robotique conçu sur mesure, baptisé Liam. Apple a très peu d'installations à travers le monde comme celle d'Austin, c'est aussi à cet endroit que sont assemblés les Mac Pro depuis 2013.

Images Brian Heater/TechCrunch.

La première version du robot d'Apple en 2013, baptisée Liam, tenait du programme pilote plutôt que d'un outil industriel capable de dépecer des iPhone dans de grands volumes. Cela s'est amélioré depuis mais le ratio entre les iPhone disponibles pour recyclage et ceux traités par ces installations reste en faveur des premiers.

Apple a fait détruire des iPhone fonctionnels au lieu de les reconditionner

Apple a fait détruire des iPhone fonctionnels au lieu de les reconditionner

La première génération de Liam travaillait sur des iPhone 5s qu'il mettait 12 minutes à dépiauter. Au-delà de 10 minutes, cette opération n'était pas jugée assez efficace. Aux Etats-Unis seulement, rappelle TechCrunch, 133 millions de téléphones ont été jetés l'an dernier, dont 11% ont été recyclés.

En janvier 2015, Liam 2.0 est entré en piste avec une cadence d'un iPhone toutes les 11 secondes. Mais il n'était capable de séparer que les pièces d'un iPhone 6. Son volume de traitement s'élevait à 1,2 million d'iPhone par an.

Cette génération du robot fut mise en pause en mai 2016 et six mois plus tard remplacée par une troisième surnommée Daisy. Le temps d'opération est remonté à 18 secondes mais l'installation est beaucoup moins imposante. Liam consistait en 29 robots répartis sur 30 mètres, là où Daisy tourne autour de 4 grosses stations. Au lieu de ne gérer qu'un type d'iPhone, Daisy peut démonter 29 références (et 18 il y a un an et demi).

Plutôt que de démonter et dévisser les composants comme le faisaient les premiers robots, les actuels emploient la manière forte et les expulsent en cognant sur les téléphones. Il en résulte une cadence plus importante. Dans la seconde station, par exemple, la température est abaissée à -80° afin de forcer le décollement de l'adhésif qui retient la batterie. Un coup sec et la batterie tombe puis file dans un sachet.

Cette séance de boxe pour forcer la séparation se poursuit dans le quatrième ilot puis les composants sont ventilés vers leurs rangements respectifs avant d'être expédiés chez un tiers.

Apple n'a déployé que deux installations comme Daisy, l'autre est depuis toujours à Breda aux Pays-Bas où Apple a commencé à opérer avec les iPhone récupérés par les opérateurs. En Chine, près de ses usines, Apple a deux autres systèmes, Taz et Dave, mais ils sont spécialisés dans l'extraction des Taptic Engine et des composants audio. Le reste du monde n'a aucun de ces robots. Apple semble toutefois décidée à rendre Daisy obsolète afin de la remplacer par une version plus évoluée.

Lire les commentaires →

Pages