Facebook essaie de briser la viralité des fausses informations en limitant le nombre de partage possible sur Messenger. En l'occurrence, l'application de messagerie instantanée restreint le partage à cinq personnes ou cinq groupes à la fois. Messenger suit les pas de WhatsApp — également une app Facebook — qui en avril, avait resserré les boulons sur les transferts de message.
Les restrictions de partage ont permis de réduire de 70% la circulation de fausses informations sur WhatsApp. Entre la désinformation sur le coronavirus et les fake news qui circulent en cette période d'élections aux États-Unis, toutes les initiatives sont bonnes à prendre même si Facebook fait partie intégrante du problème. Messenger a par ailleurs ajouté en début d'année l'authentification double facteur et a amélioré le blocage des messages non désirés.