Après tout, on est en droit de se poser la question. La ministre de la Culture n’est pas passée inaperçue ces derniers jours. Elle a au contraire tout fait pour s’attirer les faveurs des médias.
La première affaire concerne Amazon. À plusieurs reprises, la ministre a déclaré : « Aujourd'hui, tout le monde en a assez d'Amazon qui, par des pratiques de dumping, casse les prix pour ensuite pénétrer sur les marchés pour ensuite faire remonter les prix une fois qu'ils sont en situation de quasi-monopoles ».
Ce n’est pas la première fois que la ministre s’en prend au géant du commerce en ligne, qui comme le note Le Figaro, est semble-t-il très sensible aux arguments du Syndicat de la librairie française (SLF).
Il est vrai que dans l’industrie du livre, Amazon est un acteur de plus en plus incontournable, qui ne cesse de gagner des parts de marché face aux librairies traditionnelles.
Plutôt que d’imaginer l’avenir avec le livre numérique où il y a beaucoup à faire, Aurélie Filippetti a fait savoir qu’elle comptait prendre des mesures fortes pour soutenir les « réseaux de libraires indépendants ». Il est plus facile de quémander une subvention qu’une bonne remise en cause.
Les gens en ont-ils assez d’Aurélie Filippetti ?
Après tout, on est en droit de se poser la question. La ministre de la Culture n’est pas passée inaperçue ces derniers jours. Elle a au contraire tout fait pour s’attirer les faveurs des médias.
La première affaire concerne Amazon. À plusieurs reprises, la ministre a déclaré : « Aujourd'hui, tout le monde en a assez d'Amazon qui, par des pratiques de dumping, casse les prix pour ensuite pénétrer sur les marchés pour ensuite faire remonter les prix une fois qu'ils sont en situation de quasi-monopoles ».
Ce n’est pas la première fois que la ministre s’en prend au géant du commerce en ligne, qui comme le note Le Figaro, est semble-t-il très sensible aux arguments du Syndicat de la librairie française (SLF).
Il est vrai que dans l’industrie du livre, Amazon est un acteur de plus en plus incontournable, qui ne cesse de gagner des parts de marché face aux librairies traditionnelles.
Plutôt que d’imaginer l’avenir avec le livre numérique où il y a beaucoup à faire, Aurélie Filippetti a fait savoir qu’elle comptait prendre des mesures fortes pour soutenir les « réseaux de libraires indépendants ». Il est plus facile de quémander une subvention qu’une bonne remise en cause.
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