Tony Fadell est venu à la rescousse de son « collègue et ami » Phil Schiller suite aux propos parus dans les bonnes feuilles de l'ouvrage The One Device: The Secret History of the iPhone de Brian Merchant.
Dans un tweet, Fadell assure que l'anecdote au sujet de Schiller pendant la création de l'iPhone est inexacte et qu'il a demandé à l'auteur de corriger les propos qui lui sont attribués.
Hier soir, c'est Schiller lui-même qui remettait en question ce passage de l'ouvrage. L'auteur, qui ne s'est pas exprimé, y transcrit des propos de Fadell décrivant un Schiller entêté et arc-bouté sur l'idée de doter l'iPhone d'un clavier mécanique comme les BlackBerry, et surtout pas d'utiliser la roue des iPod ni un écran tactile avec clavier virtuel.
Une insistance qui avait fini par faire sortir Steve Jobs de ses gonds, menaçant d'écarter Schiller du projet s'il ne se pliait pas à la décision en train d'être validée par tous d'opter pour un clavier virtuel (lire La création tumultueuse du premier iPhone).